40 MILLIARDS EN MOINS, POUR LES RETRAITÉS DU QUÉBEC
Libellés : SUJETS SOCIAUX ET POLITIQUES
Des articles sur des sujets sociaux et vie citoyenne-politique, ainsi que des romances d'intérêts publiques. Bienvenue sur mon blog, Patricia Turcotte

Un Vieux-Sage m'a dit:" Patricia, cherche bien dans le plus profond de ton être, ce que tu aimerais accomplir à compter de ce jour, et ce, autant dans la pauvreté financière, dans la maladie et la solitude, que dans la prospérité, la santé, ou la célébrité." Sans hésiter je lui réponds: Écrire. Ce sage me réfère alors au dicton populaire: Plus tu attends d'avoir l'air d'un ange pour agir et plus tu risques d'avoir l'air bête. Bienvenue sur ce blog ! Patricia Turcotte
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ELLE EST CRIARDE ET ÉVIDENTE, LA DÉTRESSE PSYCHOLOGIQUE DE NOS AÎNÉS, Y COMPRIS CEUX VIVANT À LEURS DOMICILES; PAS NÉCESSAIREMENT LES AÎNÉS HABITANT DANS LES ÉTABLISSEMENTTS DE SANTÉ ET/OU DE RETRAITE, ET ÂGÉS DE 65 ANS ET PLUS LA DÉTRESSE PSYCHOLOGIQUE DE NOS AÎNÉS
Une précision très importante, c’est de mentionner que lorsque je fais référence aux aînés, je n’inclus pas seulement les gens âgées de 65 ans ou plus, mais aussi les personnes de tous les âges, vivant quotidiennement avec d’importantes limitations et maladies chroniques physiques ou intellectuelles. Plusieurs de ces personnes résident dans des CHSLD ou des résidences d’hébergements publiques ou privées, et sont âgés de 50 ans et plus; quand ce n’est pas de 18 et 30 ans et plus.
Leurs limitations chroniques apparentes ou non apparentes, leurs causent des tas d’ennuis de toutes sortes; même s’ils ne cadrent pas encore dans la catégorie des aînés, au sens légal; je fais référence aux lois sociales et gouvernementales. Elle est criarde et évidente, la détresse psychologique de nos aînés, y compris ceux vivant à leurs domiciles; pas nécessairement les aînés de 65 ans et plus, vivant en CHSLD.
Des clowns aux CHSLD et aux domiciles des aînés, des logements sociaux pour eux
Je pense à l’allocation-logement qui prend effet seulement à l’âge de 55 ans, alors que plusieurs personnes rencontrant de très grandes difficultés financières, n’y ont pas accès. Un autre exemple concret: il y a tellement peu de logements sociaux à prix modiques et adaptés spécialement pour les personnes vivant avec des limitations physiques et/ou des handicaps de toutes sortes, dans plusieurs grandes villes du Québec; pire encore, ce genres d’établissements de société n’existent même pas. À vrai dire, cet article est encore une suite logique de mon texte intitulé: À quel âge devient-on une personne aînée ?
Des milliers de personnes aînées de tous les âges, habitent encore à leurs domiciles personnels. Hélas, elles sont souvent oubliées dans les discussions qui les concernent personnellement, ainsi que pour les prises de décisions finales, lorsqu’il s’agit de mieux saisir leurs besoins véritables, comme en exemple, l'histoire d'investir $300,000. pour des clowns aux CHSLD, et tant qu'à y être, pourquoi pas à leurs domiciles ?
Faute de ne pas avoir assez de personnel pour faire marcher les aînés, au moins les changer régulièrement de culottes protectrices
À mon avis, il y a tellement de besoins plus urgents, à être combler pour ces aînés: leur donner un bain quotidiennement; faute de ne pas avoir le temps de les aider à conserver les facultés de marcher à l’extérieur, voir à les changer régulièrement leurs culottes protectrices; leur procurer gratuitement des massages musculaires, si elles souffrent de douleurs et de fatigues chroniques; voir à ce qu’elles obtiennent aussi des loisirs à leurs goûts, pas nécessairement toujours pour jouer au bingo; plusieurs de nos aînés ressentent aussi des besoins intimes d’ordres sensuels et sexuels, alors leur donner la chance de vivre en couples dans leurs petites chambres; et tant d’autres à être combler.
La détresse psychologique de nos aînés de tous les âges, même ceux à la maison
Pourtant, les aînés à la maison font parties de la majorité des personnes âgées autonomes et semi-autonomes. Heureusement que dans certains cas, elles ont accès à l’aide aux tâches ménagères, et aux services et soins des CLSC. Énormément de personnes aînées vivent de profondes détresses psychologiques, autant pour des raisons de santé et d’isolement, que pour des raisons économiques.
Ce n’est pas un ajout de médicaments, ni des multiplications de rendez-vous médicaux de toutes sortes, dont ont besoin nos personnes aînées; mais d'avantages d'empathie, d'écoute véritable yeux dans les yeux et non par le biais du téléphone, de respect et d’encouragements véritables, etc; ne serait-ce qu’au niveau de leurs âges, tel que citer plus haut.
Cela permettrait à ces gens de profiter de déductions financières sur leurs logements très élevés dans plusieurs cas, ou encore, ajouter une seule petite gâterie par mois, comme se payer un repas de restaurant, livré directement à la maison, ajouter un taxi par mois pour aller visionner un film au cinéma, participer à un voyage de groupe en autobus, pour aller au casino de Charlevoix, etc.
Organismes communautaires, les oubliés du système social et gouvernemental
Personnellement, je suis entourée de femmes et d’hommes vivant seuls à la maison, et qui passent toute la saison hivernale chez eux, à cause de limitations physiques importantes. Il y a pleins d’organismes communautaires et de loisirs de toutes sortes de publier dans les journaux de leurs régions, mais à quoi cela sert pour ces personnes; elles n’arrivent même pas à sortir dehors, en saison hivernale, et souvent en toutes saisons. Ce sont les oubliés du système social et gouvernemental.
Les soins palliatifs à la maison, mourir dans la dignité directement chez-soi, l’ombre subtil de pensées suicidaires chez les aînés
On entend souvent dire que les soins palliatifs à la maison deviennent de plus en plus populaires. Cela est encore un mirage et non une réalité, pour encore bien des citoyens et citoyennes; peu importe l’âge. Je cite le cas de Mélanie âgée de 50 ans, ayant subit il y a environ 8 mois, une importante chirurgie médicale aux deux genoux; pourtant, quelques minutes seulement à discuter par le biais du téléphone, avec une intervenante du CLSC de sa région, à qui elle a encore dû raconter son histoire de A à Z, pour entendre comme réponse désintéressée et désespérante: « Pourquoi n’allez-vous pas vivre votre convalescence, dans une maison de repos ? »
Pourtant, celle-ci s’était encore humiliée en précisant très bien, sa situation financière précaire. Comme si cela ne suffisait pas, Mélanie a dû attendre plus de 5 semaines, avant qu’une travailleuse d’un organisme communautaire rattaché au CLSC se rende à son loyer, pour lui laver les jambes; c’est tout simplement une situation inhumaine, aberrante et scandaleuse. Fort heureusement, cette dame a rejeté du revers de la main, toutes les idées de découragement; même si les personnes les plus sages d’entre-nous, savent très bien que nul n’est à l’abri de voir flotter dans son entourage, l’ombre subtil de pensées suicidaires.
La perfection n’est pas de ce monde. Mais on doit veiller sans cesse à améliorer les services et soins de santé pour les aînés, et de plus en plus à leurs domiciles personnels. Tant qu’à y être, pourquoi ne pas songer sérieusement aussi, à laisser mourir paisiblement à leurs domiciles personnels, et dans la plus grande dignité humaine, les aînés souffrant sans cesse ?
Une association syndicale pour les citoyens démunis de la société ?
Encore faudra-t-il aussi se pencher sur cette question existentielle, surtout pour nos élus qui ont le pouvoir de faire modifier certains détails des lois civiles et gouvernementales, par exemple, l’âge pour être reconnu une personne aînée: À quel âge une personne est-elle une aînée? D’accord, je vais rester positive en espérant de croire que les choses vont avancer et s’améliorer, et ce, même pour les aînés de toutes les catégories d’âges. Surtout si celles-ci composent quotidiennement avec de sérieuses limitations et handicaps de toutes sortes.
Je m’interroge tout haut: Existe-t-il une association syndicale pour le peuple ordinaire, c'est-à-dire, les personnes les plus démunies de notre société de l’an 2000 ?
Patricia Turcotte © Le 22 mai 2009Libellés : SUJETS SOCIAUX ET POLITIQUES
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Dans la société d’aujourd’hui, il y a des aînés retraités profitant d’une retraite dorée, et habitant dans des résidences luxueuses et sécuritaires. À mon avis, ils méritent vraiment cette vie de repos, tout comme chaque personne âgée devraient aussi accéder à une vie plus enviable, que celle de végéter quotidiennement. La plupart du temps, ces personnes qui sont aussi parfois nos parents, nos grand-parents, nos oncles et tantes, nos amis et nos voisins ont bossés à la sueur de leurs fronts, dans la grande misère économique. On taquine de temps en temps nos aînés avec un bel humour, en les surnommant parfois: les personnes du 3ième âge, les aînés, les retraités, les gens âgés, les petits vieux et les petites vieille.
Cette chronique sur l'avenir des aînés plus défavorisés par la vie, est une suite du texte intitulé: À quel âge on devient une personne aînée?
Je poursuis donc cette réflexion, en partageant brièvement le sort de 4 personnes retraitées de mon entourage: Berthier, Pénélope, Serge et Marie-Rose. Ce sont tous des gens inaptes au travail, donc reconnus par l’assistance-sociale comme étant des personnes inaptes au marché du travail, avec des restrictions sévères à l’emploi. Advenant un boulot à temps partiel, elles ont droit de gagner $100. par mois, sans être pénalisées par l’assistance sociale. En général, elles ont la possibilité de toucher la somme approximative de $1,030. par mois, avec
Berthier est un homme âgé de 65 ans, qui vit de l’assistance sociale depuis quelques années, suite à de graves problèmes de santé physique et mentale. Il touche $900. mensuellement, grâce à l’assistance-sociale et de
J'ajoute que ses poumons et ses bronches resplendissent de santé. Ce que déplore mon vieux copain de toujours, ce sont ces remarques insultantes des autres: "ce qui me ronge de culpabilités et de remords, ce sont les tas de commentaires déplacés, déplaisants et décourageants, au sujet de ma dépendance à la cigarette. D'autant plus que je dois sortir dehors en plein hiver, pour fumer deux cigarettes à la fois, et ce, à toutes les heures, et je ne m’en plains pas du tout; je dérange qui? Qu'en va-ton me foutre la paix bénite ? Si bien que je me questionne à savoir si ce ne serait pas cet énorme stress qui finirait par avoir raison de ma santé "?
Dans une résidence d'accueil depuis plus de 10 ans
Son quotidien se passe dans une résidence d’accueil qui coûte $650. par mois, où logent 5 autres personnes. Berthier a accès à l’allocation-logement au montant de $80. par mois, ce qui revient à un loyer de $570; ses autres dépenses personnelles sont: $20. pour un restaurant par mois, en compagnie de toute la maisonnée; ainsi que des dépenses personnelles de $2. par jour, ce qui s’élève à $60. par mois, pour survivre dignement, dès qu’il ouvre les yeux de sa chienne de vie; pour reprendre l’expression de Berthier.
Encore la douleur chronique, les limitations physiques et mentales
Notre ami vit avec un important handicap physique, et de la douleur chronique présente du matin jusqu’au lendemain matin. Personne ne semble s'apercevoir qu'il aurait grandement besoin de massages musculaires, à chaque jour. Chaque jour, Berthier prends ses marches dans son patelin, en utilisant une canne.
Pourtant, ça ne prends pas un voyant pour constater ses douleurs et difficultés à marcher. Sans aucun loisirs ni sorties, à part le jour de Noël et le jour de l’an., parce que sa grande sœur a l'amabilité et la générosité de venir le chercher. Berthier ressemble à itinérant dans son quartier. Quoique ceux qui ont le bonheur de découvrir un charmant gentlemen en ce personnage, en conservent tous un excellent souvenir, pour le reste de leurs vies.
Cela est vrai, car Berthier fait partie de mes véritables amis, même si on ne se voit que très rarement. Pour terminer son histoire, il lui reste seulement $70. pour survivre à chaque mois. Cela sert à payer ses transports adaptés, ainsi que quelques morceaux de linges achetés au comptoir d’amitié, de son village.
LA SITUATION DE PÉNÉLOPE
Elle cite: "Dans la vie, on ne fait pas toujours ce que l'on veut, mais bien ce que l'on peut". Elle est maman d’un grand garçon adulte et marié depuis 2 ans.
Divorcée devant les lois civiles et religieuses, je considère Pénélope comme étant libre devant Dieu et devant les hommes; enfin c’est ce que font croire les rumeurs populaires et religieuses. Pénélope refuse difficilement de signer dans les documents légaux et gouvernementaux: divorcée.
Pénélope est une femme retraitée par la force des choses, depuis l’âge de 36 ans. Suite à un accident de travail, celle-ci vit depuis 1993 sur
Ah oui, Pénélope n’a pas l’occasion de s’impliquer dans aucune forme de loisirs ou activités sociales, gouvernementales ou religieuses. Les raisons principales étant qu’elle vit en dessous du seuil de la pauvreté, tout en composant chaque jour avec la douleur chronique et un handicap non apparent.
Je reviens aux montants de son revenu et de ses dépenses de bases, à payer mensuellement. Tout s’élève à $700. par mois: son loyer est au prix de $475. exclus le chauffage et l’électricité à $60; son assurance responsabilité s’élève à $20. par mois; la T.V., le téléphone, les appels interurbains et l’inter-net s’élèvent à $115. par mois en forfait tout inclus.
Ici j’ouvre une parenthèse pour écrire que Pénélope n’a pour seuls loisirs: l’écriture et quelques petites marches à l'extérieur.
Je poursuis avec son épicerie de $150. par mois; deux transports adaptés par mois de $12; remède non couvert de $10; l’aide aux tâches ménagères coûtent $30. par mois. Voilà un total de $842. pour survivre dignement, à chaque jour. Pénélope consentirait sans hésiter à obtenir l'euthanasie médicale, tellement ses maudites douleurs chroniques empirent, de semaine en semaine.
Quand survient le temps de toucher
Pénélope et Berthier apprécient énormément d’avoir la chance de ne pas devenir des itinérants du Québec, ou des personnes habitant dans les pays encore bien plus démunis, par exemple, le Mali en Afrique. Leurs vies quotidiennes sont composées de trois repas sûrs à chaque jour, quelques cafés au Bistro du coin à chaque mois, un party ou deux lors des fêtes de Noël et du nouvel an, et bien entendu, des cigarettes pour Berthier et un beau vêtement par année pour Pénélope.
Sans l'ombre d'un doute, je me questionne encore davantage, après avoir rencontré ces braves personnes. Mais à quel âge on devient une personne âgée? À suivre bientôt: les situations semblables mais différentes, de Rose-Aimée et Serge.
Patricia Turcotte © Le 19 mai 2009
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Certains de ces jeunes enfants du divorce ont versés en cachette de tous, trop de larmes de sang sur l’oreiller, mais quelquefois fort heureusement, sur l’épaule d’un véritable ami de route. Plusieurs d’entre eux auront eu cette formidable chance à travers leurs malheurs, d’avoir des parents assez humains et détachés de leurs propres blessures, pour ne pas se servir de leurs enfants, comme des otages ou des boucliers humains.
Leurs exemples peuvent aussi servir à apprendre aux jeunes enfants, que le véritable amour entre deux personnes qui s’aiment vraiment, peut aussi prendre fin légalement, civilement et religieusement, sans toujours mettre fin au véritable amour fraternel. Ainsi, les blessures de tous seraient beaucoup moins profondes, et bien moins longues à cicatriser; quand ce beau rêve est humainement possible, bien entendu.
Soutien affectif, moral, social et spirituel
À tous les niveaux, les jeunes d'aujourd'hui auront besoin des meilleurs soutiens possibles dans la société, autant au niveau affectif, émotif, psychologique, que social et spirituel.
Le ministère de la famille et bien d’autres organisations familiales, sociales, gouvernementales et philosophiques verront j’en suis certaine, à apporter un soutien entier à nos jeunes de l’an 2000; les travailleurs et travailleuses de l’avenir.
Les paradis artificiels, les illusions et les mirages
Plusieurs de nos propres enfants et petits-enfants du divorce ou non, s'en sortiront très bien dans la vie, peu importe quelles difficultées ils auront à traverser. D'autres jeunes n'auront pas d'autres choix que d’engourdir leurs souffrances morales inconsolables, à travers les illusions et les mirages que procurent parfois les paradis artificiels, tels: la boisson à outrance, la dépendance affective, la sexualité débridée, les jeux de hasard, les sciences occultes outre mesures, quand ce ne sera pas le découragement et les tentatives de suicides.
Certains des jeunes venant de toutes catégories, mais moins chanceux, pataugeront à travers les tas de paradis artificiels causés par les multitudes drogues sur le marché. Quand ils auront atteint le fond du baril de la souffrance humaine, les plus éveillés, débrouillards et généreux de nos jeunes auront tout de même atteint à travers ces grande expériences, une sagesse nouvelle qui servira sûrement de tremplin pour venir au secours des jeunes plus miséreux qu’eux-mêmes.
Sortiront de ces milles souffrances, des journalistes, des intervenants sociaux, des artistes, des menuisiers, des policiers, des professionnels de la santé, des députés, etc.
Sortiront alors de ces milles douceurs et misères, des intervenants sociaux, des journalistes, des écrivains, des policiers, des professionnels de la santé, des gardiens de prisons, de casinos ou de résidences d’accueils, des arpenteurs géomètres et des spécialistes en aménagement du territoire dans les MRC et les villes, des diacres pour les paroisses, des coiffeuses, des menuisiers, des artistes, etc.
Et oui, il y aura des papas et des mamans qui répéteront possiblement les mêmes scénarios, tant et aussi longtemps qu’ils ne comprendront pas leurs propres parents qui ont simplement donnés le meilleur d’eux-mêmes, incluant leurs bagages de vies personnelles.
L’accueil inconditionnel, la compassion et un brin d’humanité pour nos enfants et nos jeunes
Soyons compatissants, humains et accueillants avec tous nos jeunes, peu importe les multiples chemins qu’ils choisiront. Ayons confiance en eux le plus possible, en ayant surtout confiance que la vie les guidera mieux que n’importe qui d’entre nous; en s’assurant quand même de leur fournir tous les outils dont ils auront besoin dans leurs familles, dans la communauté et dans la société.
Vaut mieux rêver en couleurs, que de ne plus rêver du tout !
Et si on s'attardait aussi à une nouvelle dimension de l’amour !
L’amour véritable entre un homme et une femme peut aussi durer le temps d’une période indéterminée. Si cette vérité était diffusée à grande échelle dans nos organisations sociales, religieuses et gouvernementales, les jeunes et les parents du divorce trouveraient enfin un nouveau baume, à toutes ces blessures causées par trop de préjugés, d'ignorances et de tabous sur l’amour véritable entre deux personnes qui s'aiment, et dont l'amour peut aussi évoluer et se transformer, et ce, même à travers l'union civile, le sacrement du mariage, le divorce et la nullité de mariage.
Patricia Turcotte © Le 17 mai 2009
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