LES ÉCRITURES DE PATRICIA TURCOTTE

Des articles sur des sujets sociaux et vie citoyenne-politique, ainsi que des romances d'intérêts publiques. Bienvenue sur mon blog, Patricia Turcotte

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Lieu : Saint Georges, Québec, Canada

Un Vieux-Sage m'a dit:" Patricia, cherche bien dans le plus profond de ton être, ce que tu aimerais accomplir à compter de ce jour, et ce, autant dans la pauvreté financière, dans la maladie et la solitude, que dans la prospérité, la santé, ou la célébrité." Sans hésiter je lui réponds: Écrire. Ce sage me réfère alors au dicton populaire: Plus tu attends d'avoir l'air d'un ange pour agir et plus tu risques d'avoir l'air bête. Bienvenue sur ce blog ! Patricia Turcotte

jeudi 26 mars 2009

PRÉSERVATIFS, HOMOPHOBIE, EXCISION DES FILLETTES...

C’est encore à la mode en 2009, l’esclavage des femmes comme l’homophobie. Une preuve récente: l’abolition des condoms pour la lutte contre le fléau du sida, autant en Afrique que dans le monde entier : non dit le pape Benoit XV1. Autrefois, les autorités au pouvoir lapidaient les femmes adultères sur la place publique. Aujourd’hui, ce n’est pas vraiment mieux, puisque le Vatican crucifix sur la place publique, les fillettes d’âges mineurs qui se font avortées médicalement, après avoir été violées. Et que dire de l’homosexualité, la bissexualité et la transsexualité. Combien de personnes vivent leurs différences courageusement, sans que s’en préoccupent les autorités religieuses et gouvernementales de ce monde; sinon de contrecarrer leurs vies, au plan religieux et légal ? Combien de femmes dans le monde entier, ont subies dans les temps passés et pas si lointains encore, l’esclavages sexuels ? Toutes les actions en liens avec la sexualité des femmes, étaient soulevées et condamnées sur la place publique; quand ce n’était pas au sermon à la messe du dimanche. Tout était péché et sale, disent à hautes voix nos grands-parents et nos parents plus audacieux. L'excision des fillettes dans le monde: c'est un grave crime contre l'humanité À bien des endroits sur le globe, on passe l’éponge sur les responsabilités des violeurs de fillettes et de femmes. Pire encore, ceux-ci sont bien souvent blanchis en se lavant les mains. Pourquoi le Vatican ne leur donnent pas de leurs vivants, des indulgences plénières tant qu’à y être ? Que penser maintenant de toutes ces jeunes filles de 8 ans, excisées à froid dans certains pays ? Rares et courageuses sont les personnes, les autorités médicales et les organismes de défenses des droits des êtres humains, qui osent se lever debout pour protester et défendent ces fillettes martyrisées, dès la petite enfance. UN SCANDALE TOUT SIMPLEMENT À bas l'hypocrisie contre les marginaux dans le monde À travers le monde entier, il y a des millions de personnes qui vivent l’homosexualité en toute franchise, même si leurs actes sont condamnés par l’Église catholique, dont le Vatican. Qui n’a pas un jour ou l’autre, jugé et condamné une personne vivant l’homosexualité, la bisexualité ou la transsexualité ? L’important est d’en arriver à quitter ses crasses ignorances, et d’en arriver un jour ou l’autre, à réaliser que ces différences font parties d’un cheminement vers la quête de son identité sexuelle. L’homophobie et toutes discriminations et violences contre les fillettes et les femmes, y compris les violences envers tous les hommes, et ce, à travers le monde entier, doivent être dénoncées et mit au rancart. À bas l’hypocrisie contre les marginaux, à travers le monde entier; incluant les étiquettes en maladies mentales. Patricia Turcotte © Le 26 mars 2009.

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mardi 24 mars 2009

LA DURE RÉALITÉ DES PERSONNES DIVORCÉES

LA SOUFFRANCE NE SE COMPARE PAS, MAIS ELLE SE PARTAGE... Bien des hommes se font lavés financièrement, suite à une procédure de divorce. Heureusement, toutes les femmes n’entrent pas dans la catégorie des profiteuses, lorsque survient un échec matrimonial. Peu de structures existent pour encourager, informer et soutenir les hommes divorcés. Malheureusement, dans le but d’être écouter, quelques-uns plus audacieux escaladent le pont Jacques-Cartier à Montréal. D’autres grimpent jusqu’à la croix du Mont-Royal. Leurs souffrances criardes ne sont pas plus importantes, que celles des femmes divorcées. Sauf que: la souffrance ne se compare pas, mais elle se partage. Tous n’ont quand même pas le cran de faire entendre leurs voix, en posant des gestes aussi spectaculaires. En ce qui touche le sort de bien des femmes en instances de divorces, elles vivent malheureusement leurs douleurs, en s’isolant trop longtemps avant de demander de l’aide. Il existe davantage d’organismes venant en aide aux femmes en détresses psychologiques. On ne les compte même pas sur les doigts d'une main, les organismes en places, pour écouter avec empathie la voix des hommes. À mon avis, je trouve cela très injuste pour les pères, trop souvent laisser pour compte, lorsque survient un divorce et les procédures judiciaires. Plus on écrira ou parlera sur ce sujet, plus le gouvernement au pouvoir sera en mesure d’agir pour soutenir les messieurs, autant que les madames; à passer à travers des pénibles et lourdes procédures bureaucratiques, menant jusqu’aux divorces. En certaines situations, les deux personnes du couple songeant à divorcer, le font dans l’harmonie et à l’amiable. Mieux encore, ils ne passent parfois même pas devant le juge; puisque leur avocat commun s'occupe de tout. Pour arriver à cette solution pacifique, les deux personnes impliquées ajoutent de l’eau et un peu de vinaigre dans la coupe de vin, évidemment. Quant il y a des enfants, cela est tellement important de régler ces litiges, à l’amiable. Les deux conjoints doivent être consentants pour arriver à un tel résultat. Alors, les démarches juridiques peuvent aussi être très brèves. Ainsi, chaque personne concernée dans la procédure du divorce, évite le chemin des larmes, ainsi que les coûteux et complexes sentiers de la bureaucratie légale civile, gouvernementale et religieuse, dans certaines situations plus rares. Elles sont profondes les souffrances des femmes et des hommes qui réalisent brutalement, que leurs vieilles et confortables croyances et valeurs d’antan, ne leur conviennent plus du tout. Même si elles ont été inculquées de leurs parents, leurs éducateurs, de la société, du gouvernement et de la religion à sa base. Je suis persuadée que les personnes qui sont sur le point d’amorcer des procédures judiciaires de divorce, se souviendront de ce fondamental dicton: ORGANISEZ-VOUS AVANT DE VOUS FAIRE ORGANISER ! Patricia Turcotte © Le 24 mars 2009

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LE TÉMOIGNAGE ÉMOUVANT DE SUNNY BOY

Est-ce que cela vous arrive de temps en temps, de ressentir une honte de faire partie de la race humaine ? Quant à moi, cela m’arrive en certaines occasions, par exemple, après avoir lu le récit émouvant de Sunny Boy. Un jeune adulte qui songe au suicide, depuis si longtemps....depuis trop longtemps. Voici un bref résumé synthétisé de son touchant récit, publié au complet dans le site de Raymond Viger, sur Reflet de Société: www.refletdesociete.com Voici quelques extraits, d’ici à ce que vous alliez lire la suite. PASSAGES NUAGEUX, SUR CIEL ENSOLEILLÉ « En 2006, j’ai essayé de me pendre. Les gens qui songent au suicide ne le font pas toujours sur un coup de tête, mais y pensent, y travaillent, l’envisagent pendant de longs mois ou des années, consciemment, patiemment, méticuleusement. Désirer se tuer sincèrement est une chose, et passer à l’acte est une autre chose. Mais la seconde ne vient pas, si on ne passe pas à la première. Quiconque n’a jamais pensé au suicide, ne devrait pas être autorisé à faire des reproches et des accusations, à ceux qui vivent avec cette idée depuis des années, ou encore, prétendent que la vie est super belle. C’est son avis, sa vision de la vie. C’est peut-être sa vie, mais ça n’a rien à voir avec la souffrance de l’autre. Les mauvais conseillers n’écoutent qu’eux-mêmes, et n’essaient pas de se mettre dans la peau de l’autre, de celui qui souffre. L’empathie ne s’apprend pas à l’école. Depuis l’adolescence, je pensais à mettre fin à mes jours.Je ne me sentais pas à ma place. C’est souvent le cas : viols répétés…! À 24 ans, j’ai cherché les meilleures méthodes pour me pendre….. » Mon commentaire suite à la lecture du témoignage de Sunny Boy: Je me sens si pauvre et démunie pour venir en aide à Sunny Boy, même si je suis moi-aussi passée par ces chemins de souffrances indescriptibles. Je suis convaincue que ce jeune homme reçoit sûrement un excellent soutien de l’équipe de Monsieur Raymond Viger, à Reflet de Société. Sunny Boy m’a ouvert les yeux, car je crois que ne serai plus capable d’écrire que la vie est tellement cool, si belle. Parce que la vie est belle parfois, mais bien plate à d’autres occasions. Là est la réalité, la mienne pour aujourd’hui. Je me rappelle il y a environ 7 ans, une jeune fille que je vais surnomme ici Sylvie, afin de respecter son identité. Étudiante au Cégep, elle s’était confiée à moi suite à avoir entendu mon partage, lors d’une réunion du mode de vie des 12 étapes. Sylvie était complètement démolie, épuisée et découragée. Quelle détresse ! Elle se battait sans relâche, avec les procédures administratives et bureaucratiques de l’école, des « çi et des ça », pour obtenir sa bouse; jusqu’à ce qu’elle baisse les bras, en se laissant abattre par la fatigue insurmontable et les idées suicidaires. Bien sûr, d’autres raisons étaient aussi présentes dans sa vie: le divorce de ses parents, le suicide de sa meilleure amie, etc. Finalement, je lui ai conseillé d’écrire au ministre de l’éducation à cette période: François Legeault. Celui-ci me semblait apprécié et à l’écoute des jeunes. Quelle heureuse surprise d’apprendre que cette fille avait finalement obtenu sa bourse d’étudiante; tout s’était réglé facilement. Depuis, Sylvie a poursuivie ses études à l’Université, pour devenir pédiatre. Et tant d’autres histoires semblables à celles de Sunny Boy et de mon amie Sylvie, mais toutes des histoires réalités, tellement différentes et uniques ! Patricia Turcotte © Le 24 mars 2009

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