LES ÉCRITURES DE PATRICIA TURCOTTE

Des articles sur des sujets sociaux et vie citoyenne-politique, ainsi que des romances d'intérêts publiques. Bienvenue sur mon blog, Patricia Turcotte

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Lieu : Saint Georges, Québec, Canada

Un Vieux-Sage m'a dit:" Patricia, cherche bien dans le plus profond de ton être, ce que tu aimerais accomplir à compter de ce jour, et ce, autant dans la pauvreté financière, dans la maladie et la solitude, que dans la prospérité, la santé, ou la célébrité." Sans hésiter je lui réponds: Écrire. Ce sage me réfère alors au dicton populaire: Plus tu attends d'avoir l'air d'un ange pour agir et plus tu risques d'avoir l'air bête. Bienvenue sur ce blog ! Patricia Turcotte

samedi 18 juillet 2009

MÉCHANTS À CRAVATES / À VESTONS DE CUIRS NOIRS À TÊTES DE MORTS

DES DURS À CUIRE EN HABITS ET CRAVATES DU DIMANCHE / EN MOTOS ET BLOUSONS À TÊTES DE MORTS / OU EN CHEMISIERS TROUÉS DE COTON À travers quelques lignes, j'apporte un son de cloche bien personnel, en ce qui concerne trois catégories d'individus. La première étant ceux et celles qui volent de manières détournées, ou qui abusent trop souvent de leurs pouvoirs au détriment des honnêtes citoyens et citoyennes de la population sage, patiente et peureuse; dormant ces temps-ci au gaz, au fluor, à l'environnement pollué, ainsi qu'aux petites pilules et granules. Mais comment reconnaître ces visages à deux faces affichant des tas de diplômes aux murs de leurs luxueux bureaux payés souvent par les contribuables, en plus d'être vêtus en vêtements et habits propres, à jolies cravates rayées jaunes ? Une seconde catégorie qualifiée souvent de méchants, voleurs ou bandits hors-la-loi se promenant avec des grosses motos et habillés en pantalons et vestons de cuirs noirs à têtes de morts; possiblement pas mieux, mais pas pire que la première série de sépulcres blanchies. Au moins, ceux-là affichent leurs couleurs. Une troisième classe de personnes humaines vêtues en chemisiers troués et jeans de quêteux, qui parfois fraudent le système, partout où il y a des failles, et faisant souvent partie de la classe moyenne ou pauvre de la société, vivant souvent en dessous du seuil de la pauvreté financière. Parce que l'habit ne fait pas le moine.

Les durs à cuirs en vestons à têtes de morts, les démunis de la société

Les deux dernières catégories de gens affichent leurs couleurs, la plupart du temps, et lorsqu’ils se font coincés par les autorités gouvernementales ou policières, ceux-ci paient souvent la note en payant jusqu’au dernier centime volé au système; quant ce n’est pas quelques mois ou plusieurs années derrière les barreaux de nos institutions pénitencières provinciales ou fédérales. Sans compter que dans les médias, on les traitent souvent de présumés criminels, de fraudeurs, de bandits; quand ce n’est pas de psychopathes ou schizophrènes dangereux. Si on s’adresse à ces individus, on sait à qui on a affaire, la plupart du temps; là, se trouve le point favorable.

Des gants de velours sous des mains de fer et des cerneaux déséquilibrés

Pour la première séries d’individus ayant des allures d’anges blanchis au lavage, on ne sait jamais de quels bords ils se situent. Des citoyens et citoyennes ordinaires du peuple Québécois et Canadien se tournent vers eux pour demander du secours, et dès qu’ils ont le dos tournés, ces derniers s'en servent comme des boucliers humains en rigolant d'eux, haut et fort; ou encore, en se servant de ces citoyens comme s’ils étaient de minables marionnettes ignorantes et insignifiantes. On a tous vus dans les multiples médias, des voleurs en habits prendre les chemins des prisons pour quelques mois, ou quelques années.

Une protection assurée à 110%

Quant une personne défraye les manchettes de tous les médias du Québec et du monde entier, pour des vols faramineux ou des crimes odieux, la plupart du temps jamais commis seuls; bien souvent, on accuse un seul individu qui paie la note un peu trop cher, surtout que tous savent très bien que d’autres crapules de son espèce se camouflent derrière des titres de noblesses et de beaux habits, derrière des murs de bétons impénétrables et bien protégés. Mais protégés par qui, par quoi, pourquoi, comment et où ?

Patricia Turcotte © Le 18 juillet 2009

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mercredi 15 juillet 2009

HEY LES AMIS..…PRENONS ÇA PLUS COOL!

Il y a des jours où tout nous semble aller de travers, au point où l’on se dit: J’aurais dont dû rester au lit ce matin. Alors là, notre baluchon semble être tout à fait vide, complètement vide. Se pointent parfois la tristesse, l’ennui, la solitude, la honte, quand ce n’est pas le désespoir. Hey les amis, prenons ça plus cool!

Dans ces jours plus sombres de notre vie, il y a des personnes qui nous démontrent de l’amabilité, de la générosité et de la compréhension. Il devient évident que ces individus désirent nous venir en aide, selon leurs forces, leurs talents et leurs capacités, mais aussi, en tenant compte de leurs faiblesses, de leurs pauvretés et de leurs limites humaines. Hélas, des individus sans aucun scrupule se moquent parfois de nous, en n’hésitant pas à nous rabaisser aux rangs des mal-aimés; pour ne pas écrire au rang des lépreux de l’esprit. Hey les amis, prenons ça plus cool !

Cette phrase très motivante me vient d’un jeune adolescent. Je n’hésite pas à la placer à chaque jour, au creux de mon baluchon. L’essentiel dans la vie ne se trouve jamais dans les apparences, trop souvent trompeuses.

Souvent, c’est lorsque notre baluchon semble vide, qu’il est disponible à être rempli de nouveau. Nous devons alors nous préparez à recevoir pleins d’étonnantes surprises et des cadeaux de la vie. Mais, préparons-nous aussi à partager avec les plus démunis. C’est pourquoi il faut dès maintenant, reconnaître nos limites humaines, nos qualités, nos talents, nos défauts, nos pauvretés et nos forces. Ce n’est jamais facile de répondre négativement, lorsqu’un personne demande notre intervention. Rien ne nous empêche à ce moment-là, de la référer à des personnes plus aptes à lui venir en aide.

Personne nous a dit ou a écrit que tout serait simple et facile dans la vie. Vivre dans une prison dorée est vraiment désolant, croyez-moi. Chaque matin et chaque soir, essayons si possible de déposer notre baluchon vide ou plein, au pied de votre lit. Levez les yeux vers le Ciel, et n’hésitons pas à demander ce que j’appelle dans mon langage populaire: L’Aide-d’en-Haut qui se sert toujours des êtres humains pour répondre à nos appels ou à nos prières et nos vœux.

Si cet article d’espérance a pu vous remonter le moral pour aujourd’hui seulement, c’est bien tant mieux. Et, souvenons-nous que nous recevons notre pain quotidien, seulement pour aujourd’hui.

À bientôt les amis, et ensemble, prenons ça plus cool !

Patricia Turcotte © Le 15 juillet 2009

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L’AUTONOMISATION DE LA PERSONNE DANS SA COMMUNAUTÉ

La seule façon possible pour moi de sortir davantage de la pauvreté, passe sans l'ombre d'un doute, par retrouver mon autonomie financière. Pour y arriver, il faut absolument me retrouver un travail rémunérateur, adapté à ma condition de santé. S’il y a eu une porte d’entrée dans la pauvreté économique, c’est qu’il y a aussi une porte de sortie. ( Auteur: Patricia Turcotte ) Ce n'est pas évident de se retrouver de nouveau sur le marché du travail, quant tu vis avec des limitations physiques et des restrictions face aux stress. Jamais je ne prendrai pour acquis, que ma place n'est plus sur le marché du travail, parce que dans les années passées, j'ai sombré dans une dépression nerveuse et dans la maladie physique. Constamment, c'est la recherche d'une plus grande autonomie, sans toutefois refuser la réalité de mes limites humaines. J'ai encore besoin des autres, comme les autres ont encore besoin de moi. Il suffit de croire en moi à nouveau et de me souvenir que je ne suis pas venue au monde, pour passer le reste de ma vie, dans la pauvreté financière. Fort heureusement, en 2001, un excellent professionnel de la santé m’ayant référé à des spécialistes, a découvert les diagnostics qui justifient, non seulement deux importantes chirurgies médicales, mais les médicaments adéquats pour arriver à composer 24 heures sur 24, avec la douleur permanente insoutenable, sans soulagement des malaises. Des douleurs physiques non soulagées m’ont conduit dans la passé, dans les tristes chemins de la maladie mentale. Par chance et par combativité, depuis plus de 9 ans, je ne prends plus aucun remède pour la maladie mentale. Combien de personnes endurent des malaises majeurs qui ne se voient pas au premier coup d’œil, comme par exemple, la douleur chronique et la fibromyalgie. C’est avec énormément de patience et de persévérance que je poursuis ma route, comme tant d'autres: chaque matin, je me réveille et, la douleur me pique un clin d'œil. Finalement, mon corps devient un baromètre et mon meilleur ami, comme mon pire ennemi. Tout dépends de ce que je décide d'en faire. Je suis toujours classée depuis 1992, comme étant inapte au travail et reconnue comme soutien financier avec des restrictions sévères à l’emploi. Cela ne m'a pas empêchée d’œuvrer pendant plus de cinq ans, auprès des personnes âgées en pertes d’autonomies physiques ou psychologiques, ainsi que de réaliser un vieux rêve d’enfance, en m'inscrivant à un cours d'écritures créatives. Mon diplôme suspendu au mur de mon bureau, me rappelle que l'écriture est mon loisir favori, mais surtout mon meilleur médicament. Un véritable OUI à la Vie Un jour, j'ai pris conscience que j’étais l’artisane de mon propre bonheur, comme de mon malheur. Toutefois, comme nous vivons en société, il ne faut pas tomber dans la fatalité. La vie est peut-être un jeu, mais encore faut-il en connaître les règles. L’entraide entre les gens, dans la société et dans les gouvernements, cela existe aussi; sinon, nous habiterions chacun sur notre propre planète. Quant survient l'effondrement total de tous nos espoirs, nos rêves, nos buts, nos valeurs et nos projets; c'est alors la croisée des chemins qui survient dans la vie d'une personne. Le temps de réaliser nos limites, nos faiblesses et nos pauvretés frappe à notre porte. Il est important de se souvenir de nos qualités, de nos forces, de nos talents et de nos rêves. Ne jamais délaisser nos rêves qui sommeillent en chacun de nous. Voilà le secret pour garder l'espérance durant les tempêtes et les ouragans de la vie. J’ai appris par la force des choses, à apprivoiser la douleur et à redonner malgré tout, un nouveau sens à ma vie. C’était et c’est encore aujourd’hui, une vigilance et une discipline quotidienne de poursuivre mes exercices réguliers, mes marches quotidiennes même si ça fait encore plus mal, mes temps de détentes et de relaxations, une saine alimentation, mon loisir de l’écriture, etc. Par contre, je veille à me payer à l’occasion, le seul loisir qui m'est accessible: un café au Bistro du coin, tout en lisant les journaux. Souvent, je compose mes meilleurs articles dans ces précieux moments. Le plus important est de conserver mon sens de l’humour et faire de plus en plus ce que j’aime vraiment; ce qui me tient à cœur et surtout ce qui me passionne. J’ai enfin retrouver mon cœur d’enfant qui s’émerveille à nouveau. Je parviens maintenant à partager mes joies et mes peines quotidiennes, à des êtres chers en qui je fais confiance, tout simplement. Retenues en vies artificiellement, dans un état semi-comateux À mon humble avis, il y a toute une sensibilisation à faire dans la société et auprès des employeurs, pour l’intégration sur le marché du travail, des personnes vivant avec des limitations fonctionnelles, des handicaps ou des déficiences de toutes sortes. Bien des personnes comme moi sont à vrai dire, retenues en vie artificiellement, c’est-à-dire, dans un état semi-comateux, dans le système actuel de la société. Une force intérieure en chacun de nous, n'attend que nous lui demandions de nous sortir de ces roues de misères et de pauvretés. Sauf, qu'une personne seule ne va pas très loin, si l’assistance sociale et gouvernementale ne nous donnent pas la main pour se retrouver un emploi rémunérateur. À moins que, nous éveillons notre force intérieure artistique... pourquoi pas ? En attendant, il est nécessaire de s'entraider et de partager avec les autres; éviter l'isolement et le découragement est obligatoire pour ne pas sombrer dans la dépression sévère et risquer un geste trop souvent irréparable, comme une tentative de suicide. Peut-être suis-je en train de rêver en couleurs, mais j’y crois encore à une société plus juste, plus humaine et plus solidaire; dans la joie comme dans l’épreuve. Patricia Turcotte © Le 15 juillet 2009

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mardi 14 juillet 2009

SOUFFRIR LE PLUS DIGNEMENT POSSIBLE

D'où proviennent toutes ces maladies ? Il y a d’importantes maladies physiques maintenant bien reconnues par la médecine, telles: la fibromyalgie, la douleur chronique, la fatigue chronique, l’arthrite, l’arthrose sévère, etc. Quant on songe à toutes ces personnes qui portaient autrefois sur leurs fronts, la honte de passer pour des malades imaginaires, lorsqu'elles étaient touchées par ces maladies mieux reconnues aujourd'hui. Aujourd’hui, ces maladies sont aussi le fléau de bien des hommes, des femmes et des jeunes. Plusieurs s'interrogent: "Mais d'où proviennent toutes ces maladies qui se multiplient d’années en années, et qui imposent souvent des importantes opérations chirurgicales, telles les opérations aux hanches et aux genoux ? " Les bienfaits de la recherche pharmaceutique et la science médicale Espérons que toutes les personnes concernées par les maladies chroniques continuent de moins souffrir, c'est-à-dire, de souffrir le plus dignement possible, grâce à une adéquate médication pour le soulagement efficace des douleurs importantes, ainsi qu'à la recherche pharmaceutique et à la science médicale. Patricia Turcotte © Le 15 juillet 2009

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