LES ÉCRITURES DE PATRICIA TURCOTTE

Des articles sur des sujets sociaux et vie citoyenne-politique, ainsi que des romances d'intérêts publiques. Bienvenue sur mon blog, Patricia Turcotte

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Lieu : Saint Georges, Québec, Canada

Un Vieux-Sage m'a dit:" Patricia, cherche bien dans le plus profond de ton être, ce que tu aimerais accomplir à compter de ce jour, et ce, autant dans la pauvreté financière, dans la maladie et la solitude, que dans la prospérité, la santé, ou la célébrité." Sans hésiter je lui réponds: Écrire. Ce sage me réfère alors au dicton populaire: Plus tu attends d'avoir l'air d'un ange pour agir et plus tu risques d'avoir l'air bête. Bienvenue sur ce blog ! Patricia Turcotte

samedi 30 mai 2009

C’EST PAR LA PETITE PORTE DE TES FAIBLESSES, QUE JE ME LÈVERAI EN FORCES

Vendredi soir le 29 mai 2009, tout en écrivant un article sur l'ordinateur, j'écoutais attentivement l’émission de Denis Lévesque à LCN, avec son sympathique invité, Jean-Marc Chaput, le Père des motivateurs. Ce billet est écrit en entendant les propos et partages de Monsieur Chaput. Quant au titre choisit pour ce texte, il provient d’une citation Évangélique, et il me semble qu'il cadre bien avec les paroles du motivologue Jean-Marc Chaput. De plus, un accompagnateur de route m’avait donné il y a quelques années, suite à avoir traversée des épreuves difficiles, un cadre sur lequel la phrase motivante du titre de cette romance, était inscrite. Des articles, des billets et des chroniques....pourquoi pas ? Ce qui m’a le plus impressionné lors des propos de Jean-Marc Chaput, ce sont ses paroles encourageantes pour inciter les gens à passer à l’action, lorsqu’ils nourrissent des projets et des rêves. Par exemple, il mentionnait le cas d’une personne qui désirait écrire un livre, mais qui pour toutes sortes de raisons, retardait toujours la réalisation de son rêve. Ses paroles m’ont rejointes personnellement, puisque en écoutant cet émission de Denis Lévesque que j’apprécie beaucoup, je me suis sentie interpellée. Depuis longtemps je désirais écrire des articles, des chroniques et des billets, sur toutes sortes de sujets sociaux d’intérêts publics, afin de les envoyer à des médias sérieux du Québec ou d’ailleurs, ou encore, sur des sites internet. Jean-Marc Chaput nous encourage à partir à la concrétisation de nos rêves La réalisation de ce grand désir s’est finalement concrétisée depuis déjà un an, suite à avoir envoyé deux textes à une personne qui les avait publiés sur son site. À ce moment-là, je ne me sentais vraiment pas prête à les publier moi-même, mais je me suis repris quelques mois plus tard, et ce, même si je ne suis pas du tout expérimentée sur l’internet et les sites web. Qui d’entre nous ne conserve pas dans ses souvenirs, une grande reconnaissance pour les personnes qui nous ont motivés et encouragés à réaliser nos projets et rêves ? Jean-Marc Chaput dit que l’on ne doit pas attendre que tout soit parfait, pour passer à l’action, sinon on risque de le regretter toute notre vie. Je suis tout à fait en accord avec ses propos. Si vous lisez ces lignes, et que vous avez au fond de votre cœur, des rêves, des projets, des désirs secrets, n’hésitez pas à les réaliser sans tarder. Il suffit de faire le premier pas, pour que la vie nous ouvre toutes les autres portes. Essayez-le car ça marche ! Denis Lévesque à LCN et son invité: le Père des motivologues Les paroles du titre choisit, allait très bien avec celles de l’invité de Denis Lévesque. J’en profite donc pour aller immédiatement réparer une légère erreur, lors de la publication de l’article publié sur mon blog : http://patricia-turcotte.blogspot.com et intitulé: Êtes-vous fatigués d’avoir toujours mal partout ? Parce que j’ai cité quelques références du domaine des statistiques du nombre de personnes touchées par la fibromyalgie, et quelques notions à caractères médicales; il est donc prioritaire de citer la référence de cette source, afin de ne pas m’en donner le crédit. C’est le métier d’auteur qui entre, et la vérité de cette superbe phrase: C’est par la petite porte de tes faiblesses et de tes pauvretés, que je me lèverai en forces ! Patricia Turcotte © Le 30 mai 2009

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mercredi 27 mai 2009

DES CLOWNS THÉRAPEUTES AUX CASINOS

Hier soir, je survolais le site Cent Papiers/Wordpress, lorsqu’un article de Raymond Viger ( Reflets de Société ) a attiré mon attention. Le titre: Loto-Québec, jeux compulsifs et fausses représentations. Vu que j’avais justement rédigé en brouillon, un texte sur les casinos du Québec et nos aînés, pourquoi ne pas publier cette romance, dès aujourd’hui. Les jeux de hasard et la loterie font des ravages dans la vie des personnes qui nous sont chères, et souvent cela les conduit au suicide. La loterie, c’est l’opium de la population. Tous ensemble, nous ferons bouger des choses positivement et constructivement, en plus de soulever des débats de sociétés et d’intérêts publics. Voici donc mon article: Dépendances aux jeux de hasard, thérapies du mode de vie des 12 étapes, pour les jeunes comme les aînés Ce serait une situation urgente à régler, soit que Loto-Québec engage des thérapeutes clowns, pour l’accompagnement des jeunes sur des thérapies à cause de dépendances au jeux, avant qu’ils décident de tirer leurs rideaux de scènes, par des tentatives de suicides secrètes ou publiques; et tant qu’à y être, pourquoi Loto-Québec n’investirait pas comme Marguerite Blais au ministère de la famille, une somme d’au moins $300,000. et plus, pour aider à cette cause sociale prioritaire. Sans oublier de mentionner que plus tard, ce sera peut-être nos aînés du Québec, qui devront se joindre à des thérapies intensives du mode de vie des 12 étapes, pour régler leurs problèmes de dépendances aux jeux du Casinos, ou à l’achat abusif de billets de loteries, etc. Nos aînés aux casinos de Charlevoix, du Mont Tremblant, de Montréal ou de Las Vegas Je n’ai absolument rien contre ces divertissements, même que je compte participer à un de ces agréables voyages organisés par l’âge d’or, cette année. Ne serait-ce que pour investir le $20. offert gratuitement aux aînés lors de ces voyages organisés en autobus, pour aller aux Casinos de Charlevoix, du Mont Tremblant, de Montréal ou à Las Vegas. Une chose est sûre, je profiterais des beaux paysages Québécois, et après une heure à m’ennuyer dans le Casino, je me rendrais dans un petit Bistro du village, pour mon repas du midi. Qui sait ? Peut-être que j’attraperai moi aussi, la piqure du jeu, jusqu’à me rendre à Las Vegas; il y a des gagnants, il y a des perdants, comme au Bingo ou la Loto, y suffit de miser le bon numéro…...comme chante présentement Georges Hamel, sur mon CD; non mais, quel hasard quand même; c’est vrai ! Je vous le jure; croix de bois, croix de fer, si je mens, je retourne en enfer. Hey les jeunes, Hourra les aînés…...Allez achetez un billet de Loterie, le gros lot est de $49 millions: 6/49… super 7… la poule aux œufs d’or… la quotidienne Même au dépanneur du coin de la rue, il y a toujours pleins de monde; autant des jeunes, des grands que des aînés qui investissent leurs sous, dans les billets de loteries: la 6/49… le super 7… la poule aux œufs d’or… la quotidienne… billets de loteries pour la fête des mères et des pères… billets de loteries pour çi et pour ça, et patati et patata. Non mais, ces fameux clowns destinés aux aînés qui s’ennuient à mourir, dans leurs luxueux ou minables établissements de santé à $2,400, $1200. ou $900, aux CHSLD ou à leurs domiciles, ils pourraient les accompagner de temps en temps, à des réunions des 12 étapes, ou à raconter leurs histoires, joyeuses ou désolantes, de dépendances aux Casinos du Québec, ou aux gratteux de Loto-Québec ? Ça bouge au Québec et au Canada, car il y a pleins de débats de sociétés à entreprendre; sûrement comme partout ailleurs, soit en France, au État-Unis, à Las Vegas, au Japon, et dans le monde entier. Patricia Turcotte © Le 27 mai 2009 P.S. Cet article est publié en partie sur: http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/opinions/carrefour/200906/01/01-861956-clowns-the

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mardi 26 mai 2009

L'AUTONOMIE AFFECTIVE CHEZ LES AÎNÉS

Le bonheur, c’est comme du sucre à la crème, si on en veut, il faut s’en faire à chaque matin. Pourquoi ne pas essayer de fabriquer son petit bonheur au quotidien, celui que nul ne peut choisir et confectionner à notre place. Ce serait une façon géniale de préparer ses vieux jours. Un proverbe évangélique cite bien: Aime ton prochain comme toi-même ! L'AUTONOMIE AFFECTIVE CHEZ LES AÎNÉS Cet article ne vient pas radoter les discours habituels, concernant nos aînés à leurs domiciles, ou ceux habitant dans des établissements privés ou publics, ou dans les CHSLD. Rassurez-vous, je ne viens surtout pas jeter le blâme sur qui que ce soit, quand je parle de la dépendance affective versus l’autonomie affective. La dépendance affective est un grand fléau en apparence sans danger, mais qui a déjà empoisonné les cœurs de trop de nos aînés. Nos parents et grand-parents ont appris dès leurs bas âges, à se donner entièrement pour leurs enfants, leurs familles, voisins et amis. Nous sommes tous un peu responsables du sort de nos aînés, et de nos personnes handicapées d’aujourd’hui; parce que la société ne leur a pas enseignés ces choses essentielles à leurs autonomies affectives. Tout comme nous sommes aujourd’hui, responsables du sort, qui est et qui sera le nôtre, comme les aînés d’aujourd’hui et dans l’avenir. La dépendance affective et ses multiples ravages sur nos aînés: dommages affectifs, émotifs, psychologiques et spirituels La dépendance affective a causé d’énormes dommages dans le cœurs de nos aînés, qui pour être heureux et comblés, attendaient inlassablement lorsqu’ils vivaient à leurs domiciles ou qu’ils étaient hospitalisés: une visite de leurs enfants, la compagnie de leurs conjoints, lorsque les couples d’aînés entraient dans un CHSLD, et la visite de tous les êtres chers qui ne venait pas souvent ou jamais. De là, tant de souffrances affectives, émotives, morales et spirituelles qui pourraient être diminuer, pour la génération actuelle de nos aînés, comme celle à venir. Encore faudra-t-il leur enseignés comment se dépouiller des dépendances affectives de toutes sortes, dans le but de retoucher leurs autonomies affectives ? Sur ce sujet, il y a des tas de livres simples accessibles à tous, dans les bibliothèques du quartier, dans les librairies neuves ou usagées, etc. L’important serait de mettre sur pied le plus tôt possible, des ressources réalistes pour tenir compagnie à nos aînés qui nous ont tant donnés, par exemple à travers les organismes communautaires et CLSC, etc. Vous pouvez vous référez à l’article intitulé: Des clowns aux visages humains et assistés sociaux. Se dépouiller de ses dépendances affectives, cela est chose possible pour les aînés de tous les âges Au premier coup d’œil, cette dépendance affective semble inoffensive, pourtant elle cause des dommages douloureux aux personnes qui n’ont pas appris comment s’en libérer. Ceux qui ont atteint l’âge de 50 ans dans la société actuelle, peuvent entrer membres de bien des organisations sociales ou gouvernementales, accessibles aux nouveaux aînés de l’âge d’or. Il y a aussi les habitations à prix modiques appelées HLM, qui sont accessibles aux aînés, selon les catégories d’âges. Souvent une personne handicapée de 50 ans ne se trouve pas au bon endroit, au bon moment. Cela ne m’empêche pas de radoter que même des personnes de 30-40 et 50 ans, vivent souvent des conditions de vies semblables à celles des aînés. Peu importe votre catégorie d’âge, je vous propose amicalement de commencez dès maintenant, à vous documenter sur la dépendance affective et comment s’en dépouiller, pour reconquérir son autonomie affective. Partir à la conquête de son autonomie affective, pourquoi pas ? Je cite l’exemple de plusieurs personnes qui ont apprises à retrouver une liberté affective, à travers les réunions du mode de vie des 12 étapes. Je connais une dame de 52 ans, qui au jour de la fête des mères, ou une autre célébration importante, n’attend absolument pas la visite de qui que ce soit, ni même des ses deux grands étudiants à l’Université; parce qu’elle comprend mieux maintenant, que ses grands adultes n’ont pas de moyens de transports ni les moyens financiers pour partir deux jours, visiter leur sympathique maman qu’ils chérissent tant. Un coup de fil à l’occasion, ou une carte originale par la poste, procure autant de joies à cette maman, qui a en a fait tout un bout de chemin, pour non seulement apprivoiser une saine solitude, mais aussi pour redécouvrir sa vie de citoyenne et de femme. Elle a découvert la débrouillardise, et elle suit actuellement un cours par correspondance à l’Université, en plus d’être bénévole active dans une organisation de personnes handicapées de sa région. Des exemples semblables, tous pourraient en citer plusieurs. Si nos aînés n’ont pas eu accès à ces grands et simples enseignements sur la façon de retrouver une autonomie affective, il n’est pas trop tard pour nous tous. Aime ton prochain comme toi-même ! Ce n’est pas lorsque viendra un âge plus avancé, avec ses malaises physiques de toutes sortes, ses incapacités à se mouvoir et à sortir marcher à l’extérieur, qu’il sera temps de débuter ce nouveau cheminement vers son autonomie affective. Dès aujourd’hui, tout le monde peut essayer de viser ce but qui donne des ailes aux personnes qui, pour aujourd’hui seulement, se sentent plus libres aux niveaux affectifs, moralement et spirituellement. Le bonheur, c’est comme du sucre à la crème, si on en veut, il faut s’en faire à chaque matin. Pourquoi ne pas essayer de fabriquer son petit bonheur au quotidien, celui que nul ne peut choisir pour nous. Ce serait aussi, une belle façon de mieux préparer ses vieux jours. Un proverbe évangélique cite bien: Aime ton prochain comme toi-même! Patricia Turcotte © Le 26 mai 2009 P.S. Cet article est publié dans le journal Le Devoir: http://www.ledevoir.com/2009/05/28/252434.html

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lundi 25 mai 2009

DES CLOWNS AUX VISAGES HUMAINS ET ASSISTÉS SOCIAUX...

Ainsi, nos aînés et nos personnes handicapées physiques ou mentales songeraient peut-être beaucoup moins au suicide, à l'assistance au suicide et à l'euthanasie; et ce n'est pas uniquement de clowns dont ont besoin ces personnes humaines ? DES CLOWNS AUX VISAGES HUMAINS ET ASSISTÉS SOCIAUX, ETC. Les éclats de rires et les grimaces de clowns attristés par la pauvreté économique, et la solitude, il y en a pleins la société Québécoise. Des personnes de cœurs qui n’auraient même pas besoin de se transformer en clowns joyeux ou tristes. Des assistés sociaux ou des personnes retraitées vivant de la Régie des rentes d’invalidité, etc. qui ne demanderaient pas mieux que de se trouver un emploi à temps partiel. De l’accompagnement aux aînés….pourquoi pas ? Vous dites, des clowns assistés sociaux sur le marché du travail ! Et si on invitait toutes ces catégories de personnes sérieuses, humaines et professionnelles, avec expériences ou sans expérience, et vivant surtout en dessous du seuil de la pauvreté, à offrir leurs services pour accompagner les aînés à la maison, ainsi que dans les établissements de santé et les CHSLD. La plupart du temps, ces gens retirés depuis longtemps du marché du travail, ne demanderaient pas mieux, que de venir en aide aux aînés et handicapés dans le besoin, tout en améliorant leurs situations financières souvent catastrophiques. Mais, veut-on réellement voir ces gens au travail ? Accompagner nos aînés de tous âges, pourquoi pas ? Encore là, je ne pense pas seulement aux aînés de 65 et plus vivant dans les CHSLD, mais aux personnes de tous les âges, vivant de la grande misère humaine: des gens touchés par la solitude ou la maladie, des personnes traversant une convalescence à la maison, des gens devant affronter la dure réalité de finir leurs jours à la maison, et ce, sans aucune souffrance inutile, les personnes composant 24 heures sur 24 avec de sérieux handicaps ou limitations de toutes sortes, qu’elles soient apparentes ou non apparentes, etc. Nos aînés de quels âges ? Ceux que l’on surnomme nos aînés, ne sont pas tous âgés de 65 ans et plus. Bien souvent, la réalité est tout autre, si on quitte nos œillères, nos préjugés, ainsi que nos postes administratifs. Qui ne connaît pas des personnes âgées de 25, 30, 40, 50 et 64 ans, qui composent quotidiennement avec des difficultés incroyables, et dont personne ne peut soupçonner l’ampleur; s’il ne les côtoient pas dans leurs tâches quotidiennes ? Ainsi, nos aînés et nos personnes handicapées physiques ou mentales songeraient peut-être beaucoup moins au suicide, à l'assistance au suicide et à l'euthanasie ? Parce que la vieillesse du cœur prend parfois des visages humains de tous les âges, et de toutes les conditions de vies. Patricia Turcotte © Le 25 mai 2009

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dimanche 24 mai 2009

ÊTES-VOUS FATIGUÉS D’AVOIR TOUJOURS MAL PARTOUT ?

CONFIDENCES VENANT D'UN PROFESSIONNEL DE LA SANTÉ: « La fibromyalgie, ce sont des tas de peurs cachées dans les muscles et les os, et si une personne éveille la force de se battre; alors elle va voir disparaître ses peurs, au fur et à mesure que celle-ci les affrontera. De plus, je te conseille fortement de prendre des remèdes naturels, dès que tu seras en mesure de te les payer, bien sûr. » Dans votre entourage immédiat, vous connaissez sûrement une de ces nombreuses personnes, qui ont toujours mal partout dans leurs corps ? Cette maladie reconnue maintenant par l’Organisation mondiale de la santé, s’appelle la fibromyalgie. Il est prioritaire de découvrir des trucs pour diminuer les douleurs et le stress de cette douloureuse et épuisante maladie, qui empoisonne la vie de 6 millions de personnes, seulement aux État-Unis. Autrefois, la majorité des personnes qui en souffraient étaient le lot des femmes, que la médecine diagnostiquaient hélas, comme atteintes du mal imaginaire; quand ce n’était pas de maladies mentales. Nous ne remarquons les jours heureux de notre vie passée, qu'après qu’ils ont fait place à des jours de douleurs. ( Auteur inconnu ) N’étant absolument pas une professionnelle de la santé, je vous invite à vous informer plus en détails, des autres points médicaux importants à mieux connaître, au sujet de la fibromyalgie. Si je suis intéressée à ce sujet, c’est que j’ai passée à un cheveux d’être diagnostiquée de cette maladie. Les points douloureux de mon corps démontraient que je cadrais bien avec ceux de la fibromyalgie. Vu que dans les années passées, j’avais vécue une dépression nerveuse, le spécialiste ne voulait absolument pas établir ce lourd diagnostic final; mais il m’avait pourtant prescrit tous les remèdes reliés à la fibromyalgie. Curieux pareil ! Comme si les personnes touchées par la maladie mentale, ne pouvaient pas être atteints de la fibromyalgie. Il y a quand même matière à réflexions ! De là l’éveil de ma sympathie pour les personnes souffrant de cette maladie ressemblant étrangement à la douleur et fatigue chronique. De là aussi la possibilité de vous partager deux trucs que le médecin traitant m’a ensuite révélé à voix basse et intimement, pour la raison me dit-elle, qu’il n’avait pas le droit de révéler ces choses à ses patients: « La fibromyalgie, ce sont des tas de peurs cachées dans les muscles et les os, et si une personne éveille la force de se battre; alors elle va voir disparaître ses peurs, au fur et à mesure que celle-ci les affrontera. De plus, je te conseille fortement de prendre des remèdes naturels, dès que tu seras en mesure de te les payer, bien sûr. » En France, la fibromyalgie est une maladie orpheline Il n’est peut-être pas loin, le jour où on reconnaîtra la fibromyalgie comme une maladie syndicale? Dans les temps passés, bien des femmes sombraient dans de profondes dépressions nerveuses, à force de se faire juger par leurs proches et amis, et étiqueter de malades mentales. Au lever, les personnes touchées par la fibromyalgie, ne savent jamais à quels endroits de leurs corps, elles souffriront le plus. Quand ce n’est pas la fatigue continuelle accompagnée de douleurs insupportables aux bras et aux épaules, qui font pâtir leurs victimes, ce sont des malaises aux dos et aux jambes qui prennent le dessus. À vrai dire, toutes les parties du corps deviennent extrêmement sensibles, et les douleurs augmentent énormément avec le stress. La fibromyalgie a été reconnue en France, comme une maladie orpheline. Ce n’est jamais facile à vivre pour ces femmes et ces hommes, encore souvent pointés du doigt par l’ignorance de l’entourage, comme si elles étaient plutôt des personnes paresseuses et lamenteuses. Quelle désolation ! La souffrance ne se compare pas, mais elle se partage Il est possible d’entrer membre de l’association des personnes touchées par la fibromyalgie, en contactant une personne responsable dans votre région. Ainsi, vous pourrez obtenir davantage d’informations sur toutes les nouvelles découvertes médicales reliées à cette maladie, en plus de participer à des déjeuners et rencontres régulières. C’est très important de ne pas trop s’isoler dans ses souffrances, mais bien de les partager avec les autres qui ne peuvent faire autrement que de vous comprendre. NOTE: Les références se rapportant aux statistiques et aux symptômes médicaux de la fibromyalgie proviennent du site: L'association Québécoise de la fibromyalgie. Patricia Turcotte © Le 24 mai 2009

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