LES ÉCRITURES DE PATRICIA TURCOTTE

Des articles sur des sujets sociaux et vie citoyenne-politique, ainsi que des romances d'intérêts publiques. Bienvenue sur mon blog, Patricia Turcotte

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Lieu : Saint Georges, Québec, Canada

Un Vieux-Sage m'a dit:" Patricia, cherche bien dans le plus profond de ton être, ce que tu aimerais accomplir à compter de ce jour, et ce, autant dans la pauvreté financière, dans la maladie et la solitude, que dans la prospérité, la santé, ou la célébrité." Sans hésiter je lui réponds: Écrire. Ce sage me réfère alors au dicton populaire: Plus tu attends d'avoir l'air d'un ange pour agir et plus tu risques d'avoir l'air bête. Bienvenue sur ce blog ! Patricia Turcotte

lundi 23 novembre 2009

LA JUSTICE ADMINISTRATIVE QUI REND FOU (3)

LE POUVOIR ABSOLU CORROMPT DE FAÇON ABSOLU Les multiples dédales administratives publiques, bureaucratiques et gouvernementales/État sont similaires à une scène d'Astérix et Obélix, dans le vidéo: La Maison de fous :http: :http://www.youtube.com/watch?v=o4xrbJe1RHM Je vous invite à visionner ce vidéo, ce qui serait beaucoup plus simple et sain pour votre santé mentale. Sinon, lisez cet article témoignage qui est le dernier d'une série de trois. Il a bien fallu que je refasse à l’envers, les chemins de la douce folie. Je suis partie à la recherche de mon enfant intérieur. Ce témoignage est le troisième d'une série de cinq textes. Se réconcilier avec son passé et avec la Vie J'ai connu enfin un processus de rétablissement mental et de guérisons des souvenirs, en poursuivant des sentiers thérapeutiques et en jetant de la lumière d'abord dans mon histoire de santé, et ensuite, celles des routes à caractères paranoïaques de la justice administrative du Québec. Toutes ces expériences, difficiles mais enrichissantes et déniaisantes, parce que ceux-ci m'avaient dirigés tout droit vers de bien sombres tunnels et culs de sac administratifs. Le plus incroyable fut le chemin de la véritable réconciliation avec ce passé, avec moi, les autres et avec la Vie. J'ai même réussit à récupérer l'héritage, de tous ceux qui m'avaient le plus blessée. À travers l'article publié avant celui-ci et intitulé: La guérison des souvenirs, je raconte avec plaisir ces découvertes surprenantes. Tout n'est jamais tout noir ni tout blanc. Ceci est aussi une grande loi de l'Univers. La thérapie par l'écriture N’hésitez pas en cours de route à changer votre choix, pour visionner le vidéo cité plus-haut et cesser la lecture de ce témoignage romancé réalité. Je n’en serai pas offusquée du tout, puisque je ne le saurai même pas. De brouillonner ce témoignage m’a causé à deux reprises, un nettoyage naturel du foi, pas facile à vivre, y compris des maux de têtes insoutenables. Parce que des maux de tête, je ne connais même plus cela depuis une dizaine d'années, depuis que je ne travaille plus à longueur de journée et avec des maux de dos; sur la route et dans un travail dans la vente et le service. Cela aussi fait partie des chemins de libérations et de guérisons du corps, de l'esprit et de l'âme, c'est-à-dire, les chemins de guérisons de la maladie physique et mentale. L’importance du témoignage Depuis 1996, à chaque fois que j'essayais de terminer le récit de mon premier livre, je rencontrais un énorme blocage émotif et psychologique. Jamais je ne parvenais à savoir trop pourquoi, mis à part une chirurgie à la hanche de dernière minute. Je passais pour une malade imaginaire et mentale en portant la robe des fous dans mon propre patelin. Pas dans une grande ville comme Québec, Montréal, Paris ou Boston; mais en région. Autant le dire, j'ai vécu un effondrement physique et mental total. La seule théorie à laquelle je n'adhère plus, c'est la folie On me disait que je souffrais psychologiquement et que toutes ces douleurs étaient dans ma tête. Pourtant, je ne rêvais et ne fabulais absolument pas du tout, puisque ma hanche gauche se trouvait entièrement démolie et pourrie jusqu’à l’os, en plus des maudits lumbagos à répétitions, depuis un accident de travail, en 1981. On a découvert le pot aux roses, deux semaines avant la chirurgie. Il y a bien cent milles fois que je le radote et je suis à un cheveu près de me délivrer de ce cauchemar personnel à caractère public. Sortir du semi-coma psychologique Une seconde raison est que je n’ai jamais pu confier à qui que ce soit jusqu'ici, mis à part à un psychiatre très humain et professionnel, que je surnomme Dr Melançon, ce qui s'est passé lorsque j'ai pris ce chemin inattendu, lors de ma première hospitalisation en santé mentale. C'était à la fin du mois de mars 1990. La plupart de ces expériences passées personnelles, sont d'intérêts publics, même si celles-ci remontent à plus de 25 ans. Dans les placards d'un hôpital Le plus déroutant de cette première hospitalisation en santé mentale, c'est que ce dossier-là n'avait jamais été transféré à qui que ce soit. Ce fut ma pire débandade mentale en profondeur. Un énorme drame personnel et social aurait pu survenir à tout moment. J'y reviendrai dans un autre chapitre. Le plus surprenant est que le bon psychiatre Melançon a diagnostiqué à cette période-là, une crise aigüe d'anxiétés et de paniques. La seconde hospitalisation à ce même endroit et avec le même professionnel de la santé, fut semblable mais beaucoup moins intense. Dans les placard de la Clinique médicale Veuillez me pardonnez si je dois à l'occasion, apporter un diagnostic médical. Les diagnostics médicaux ne sont pas intéressants pour personne, y compris pour moi. Parce que, la plupart des importants médicaux découverts lors de l'achat de mes dossiers médicaux, je n'en ai absolument jamais entendu parler, sinon en prenant connaissance de ces dossiers médicaux, et des années plus tard. Mieux ou pire encore, lorsque la CSST a fait la demande au médecin traitant de ma région, vers l'an 2000-2001, celui-ci a carrément oublié de lui faire parvenir une partie non négligeable de ce vécu médical relié à la CSST, et qui avait été transféré par mon ex-médecin traitant vers 1984, celui qui avait demandé le divorce avec moi et les membres de ma famille. Sur le moment, je ne m'en suis pas du tout aperçu. Ce n'est qu'à la demande écrite de ces documents pour qu'un spécialiste expert se penche sur mon histoire médicale, que j'ai pris connaissance qu'une bonne partie de ceux-ci étaient demeurés dans les placards de cette Clinique médicale. Évidemment, j'ai écrit au médecin pour recevoir la partie importante oubliée par erreur humaine. Dans les loges fermées d'une ex-Clinique Médicale Ce fut pas drôle aussi de découvrir qu'après le divorce médical, aucun rapport de spécialiste n'était compris dans le dossier médical remis, dossier qui se devait d'être complet. Je les ais tous récupérés assez bien, en écrivant aux hôpitaux de l'extérieur de ma région, et le tout m'a coûté plus de 500$. C'est avec tous ses documents que l'expert a rendu l'expertise médicale payée par l'Aide juridique, donc les contribuables. Un jet de lumières Celui-ci mentionne de la dégénérescence osseuse cervicale et lombaire qui s'est déclenchée suite à cet accident de travail de 1981. Ce n'est tout de même pas la faute à la CSST. Au moins, de nouveaux diagnostics furent établis. En plus, celui-ci confirme, sans l'ombre d'un doute que, ce qui a passé quelquefois pour une toute petite hernie discale ou discopathie, aux yeux de médecins et spécialistes qui n'ont jamais accédés aux anciens documents oubliés dans les placards, comme indiqué au début du jugement CLP ou autres, est bel et bien le diagnostic rendu par le neurochirurgien en 1984, soit une anomalie congénitale des racines nerveuses lombaires. Donc, pas de hernie discale durant cet accident de travail en 1981, et jamais par la suite. Seulement des séquelles d'entorses lombaires. La CSST a tenté de soulever le sujet d'une petite hernie discale ou discopathie. Bon Dieu, un moment donné, y faut bien cesser ces luttes épuisantes. Si un neurochirurgien mentionne une anomalie congénitale qui a bien fait l'affaire de la CSST, lorsque j'ai tenté une réouverture après 1982. À l'école des sorciers...comme Harry Potter Quant à la mention ajoutée au début de septembre 2002, au jugement du Tribunal CLP rendu le 23 août 2002, on soulève une ...plexus brachial.... ! Encore une fois je le répète, après ma tentative de suicide de 1993, j'ai fait de la physiothérapie pendant 9 mois, pour un handicap au bras gauche. Au bout de 3 semaines d'hospitalisation, on me transfère d'urgence à un Centre médical de l'extérieur, à cause de la découverte d'un abcès pulmonaire suite à cette tentative de suicide. On me passe des examens des pieds à la tête, sauf des radiographies aux hanches et au bassin, pour découvrir encore une fois, une dégénérescence des bronches, trouvée tout à fait au hasard. Cela n'a encore une fois, rien à voir avec les séquelles de ma tentative de suicide. Toutes les séquelles de cela ont été montrées à l'expert spécialiste payé par l'Aide juridique. Tout n'aura donc pas été fait en vain. Par ailleurs, ce fut très prioritaire pour moi, que l'on ne vienne pas me dire à maintes reprises à la CSST, que tout relève de ma tentative de suicide. Parce que tout a été mis au clair. Plus claire que cela, où je change de prénom Patricia pour celui de Claire comme ma marraine, ou j'entre dans la scientologie pour me faire remettre au clair. Un bureau des miracles Je n'ai pas eu l'occasion de passer à ce que plusieurs sur l'internet appelle: le bureau des miracles, soit le BEM. Y paraît que certains ont vus des hernies discales guérir complètement suite à des tas d'expertises médicales....payées par qui ? Sûrement les contribuables, puisque quelques recherches sur BEM m'ont permises de comprendre, que ce bureau relève du Ministère du Travail du Québec. Quoique je n'aime pas vraiment abordé les sujets que je n'ai pas touchés. Tant mieux si il y a un bureau où il se vit encore des miracles, comme à l'Oratoire Saint-Joseph avec le petit frère André, que j'ai vénéré à partir de l'âge de 8 ans. Dans la filière 13 d'un Centre hospitalier C'est pourquoi je me suis empressée d'en faire parvenir tous ces documents médicaux complets ou assez complets, à la CSST et aux Tribunaux administratifs CLP et TAQ. Je désirais aussi mener à bien une expertise complète, ce qui a été payé par les contribuables, lors de ma demande à l'Aide juridique vers l'an 2001 Mais si je mentionne un seul diagnostic, c'est qu'il a une suite à caractère public. Sauf que j'ai aussi réalisé que la plus importante partie de ces dossiers médicaux étaient aussi restés coincés dans d'autres filières 13 d'un hôpital. C'était ceux concernant toutes mes visites médicales faites immédiatement après cet accident de travail De 1981 et après le divorce médical survenu à ma crise d'octobre 1984. Dans les déchiqueteuses légales, médicales et gouvernementales Imaginez maintenant qu'une lettre légale à mon dossier médical, au sujet des deux semaines d'hospitalisations après cet accident de travail, et objet de la plainte au Dr Laterreur, a été enlevé de par la loi. Finalement, j'ai su que seuls les documents médicaux remis à la CSST par les professionnels de la santé, s'avéraient légaux. Foutaise dans ma situation, et ce, malgré les articles des points de droits et de lois. Il n'y avait pas question que j'embarque le médecin traitant dans une mare aux grenouille pareille. C'est pourquoi seule une expertise médicale s'avérait nécessaire et payée par les contribuables du Québec. Même cet expert a reconnu que l'histoire de ma hanche était nébuleuse au dossier médical. L'ex-Président du Collège des Médecins Je n'ai pas blâmé qui que ce soit comme on a tenté de laisser croire, en disant à qui voulait bien le lire et l'entendre, que j'étais une dérangeante et encore bien d'autres noms disgracieux lancés dans un grand magazine et des médias du Québec, par l'ex-Président du Collège des Médecins du Québec. Celui-ci à part être intervenu par le biais du téléphone, pendant plus de trente minutes, alors que l'enquête du syndic était en cours, ne me connait même pas. Intervention plutôt douteuse et contraire à toute la déontologie médicale et professionnelle, j'en suis convaincue. J'ai plutôt passé vingt ans dans le plus grand silence, pour seulement tenté de me refaire un peu de santé. Dans la boule de cristal Ce n'est pas le meilleur. Une confidence du bon Dr Tarzan: "Patricia, j'étais en congrès médical près du Parlement de Québec, et je discutais avec cet ex-Président du Collège des Médecins. Il disait que tu ne t'en sortirais jamais, alors que je lui ai juré que tu te sortirais même de l'enfer. Incroyable, mais bien vrai ! Dans l'enfer de l'asile psychiatrique, Un diagnostic confidentiel et non pertinent à la cause est toujours étalé dans le site Internet du Tribunal CLP, Le respect des droits humains sont bafoués J'ai bifurqué un brin, mais je reviens à la troisième hospitalisation à l'asile psychiatrique. Dans l'enfer de la maladie mentale ou de la dépression profonde, le psychiatre Métivier a diagnostiqué, après trois minutes de consultations à son bureau médical rattaché à un Centre hospitalier, le pire cancer de la maladie mentale. Pourtant, je n'ai jamais réussit à lui dire plus qu'une seule phrase. C'est à peine si je parviens à raconter ces années d'enfer, à faire des rechutes à l'asile psychiatrique. Chaque chose en son temps. Ce diagnostic qui aurait dû rester confidentiel dans mon dossier de la Régie des rentes du Québec, fut publié dans le site Internet des jugements du Tribunal CLP, pendant plus de 8 ans, et dans une revue publique où ces jugements sont aussi publiés et offerts au public. J'ai signé une autorisation vers l'an 2000, suite à une réouverture de mon ancien dossier à la CSST, pour que ceux-ci obtiennent à leur demande, mon dossier confidentiel à la Régie des Rentes d'invalidité. Une avocate de la Régie des Rentes m'a téléphoné pour me dire qu'on avait tenté de l'obtenir sans mon consentement et que je devais signer une autorisation si je consentais à ce que la CSST obtienne mon dossier. Ce que j'ai fait si je voulais que mon agent à la CSST, puisse poursuivre l'étude de cette réouverture de dossier. Une expertise faite par un orthopédique spécialiste et payée par l'Aide juridique et les contribuables, a reconnu que j'avais des limitations fonctionnelles depuis cet accident de 1981, et que la CSST a confirmé que je n'avais aucune limitations fonctionnelles, lors du règlement final de 1983. Pour cela, j'ai perdu au Tribunal CLP qui recommandait tout de même à la CSST, de défrayer les dépenses en physiothérapie, etc. La CSST a refusé. J'ai tourné la page sur cela, mais je tiens à le préciser à travers ce témoignage thérapeutique. Il y a deux semaines, j'ai demandé que l'on enlève ce diagnostic qui n'a rien à voir avec les séquelles d'entorses au dos, compensées en 1983 par la CSST. Mais on a décidé d'enlever plutôt au début du jugement, mon identité complète. Je me suis rendue compte après quelques jours seulement, que mon identité complète est inscrite quelques lignes plus bas. Cela n'a donc rien donné. Je n'en reviens pas du peu de respect des droits humains, dans le système de justice administrative du Québec. Je ne peux parler des autres systèmes de justices, ne les ayant heureusement jamais empruntés. Cimetières et urnes La suite viendra dans un paragraphe plus bas. C'est que je suis à compléter quelques-uns des paragraphes de ce témoignage prenant en émotions et en souvenirs. J'en ajouterai au fur et à mesure de mes capacités. De même, si je ne parviens jamais à terminer ce livre, la population finira bien par récupérer ces écritures, qui ne dormiront jamais dans une filière 13 de mes classeurs volumineux à craquer. De toute façon, on finira tous égaux dans les filières 13 des cimetières et des urnes. Pas trop de radotage s.v.p. Le plus important n'est pas de redire ou de réécrire ce que j'ai dit et écrit pendant plus de 7 ans, soit de 1984 à 1990, mais bien de rétablir brièvement certaines situations qui sont restées dans l’ombre. Plusieurs autres faits furent publiés ici et là, sur des documents légaux publiés dans des revues ou sites Internet. Une partie plus intime de ma santé mentale a été publié pendant plus de sept ans, dans un site Internet d'un Tribunal administratif, ainsi que dans une revue publiée à cet effet. Pour ce qui est du site Internet du Tribunal CLP, un sympathique avocat a enlevé hier midi, mon identité complète publiée dans le jugement qui mentionnait des détails non pertinents avec un accident de travail de 1981. ( Voir le texte: Lettre à la Commission d'accès à l'information ). De nature extravertie à une nature introvertie C’est pourquoi, la grande majorité de mes passages dans les chemins de la maladie mentale deviennent aujourd’hui des expériences à partager et à caractères publiques. Le seul moyen mis à ma disposition actuellement, est nul autre que ce blog Internet. Je ne parviendrais absolument pas à me raconter verbalement, du moins pour aujourd'hui. J'ai hâte d'être rendue à relater le contenu de deux tests de personnalité, passés en l'an 1997 et en 2000. C'est quoi la mort ? Croyez-le ou non, mais je suis passée d'une personnalité extravertie à une personnalité introvertie. Ce qui à part de la mort physique ou la mort intérieure, est quasi impensable au niveau scientifique. Bon...ok...je n'ai pas eu de funérailles, mais c'est quelque chose qui se vit dans l'intimité de son cœur. Frère André Semblable au petit Frère André de l'Oratoire Saint-Joseph, il faut aussi traverser quelques nuits bien noires. Bon...je mêle un brin de sérieux et d'humour, et cela me fait énormément de bien. Ce sera aussi moins monotone, pour les lecteurs courageux qui auront optés pour lire ce témoignage. Le délire mystique Heureusement que je ne dis pas cela au Psychiatre Métivier, car déjà une note de délire mystique serait inscrite à mon dossier médical. Je sais de quoi je parle ici. Puisque l'on m'avait enseigné que Jésus de Nazareth était un prophète et un ami, dès la maternelle, j'ai osé mentionner son nom dans le cabinet du Psy Métivier. C'est vrai que je me suis tournée vers ce bonhomme prophète qui aurait supposément existé. Ne capote pas dans la foi Lors de quelques-une des mes hospitalisations à l'asile, j'adorais me réfugier vingt minutes seulement, à la messe hebdomadaire. Je trouvais là ce que je ne trouvais pas encore dans le creux de mon cœur. Une note médicale de délire mystique est inscrite à mon dossier médical psychiatrique. Par ailleurs, le psychiatre Métivier m'a peut-être sauvé la vie dans une sens. Car, suite à avoir vécu ce que la religion appelle une conversion à la Saint-Paul, j'avais un peu de difficultés à maîtriser les beautées du cœur que je découvrais à travers ces chemins des fous de Dieu. Sa parole sage:" Madame Patricia, j'espère que vous ne capoterez pas dans la foi", m'a remis les deux trous dans les orbites. Merci pour ce sauvetage de l'âme, Docteur Métivier. Prières de libérations et d'exorcistes, Demander de l'aide à un Mentor Tout a commencé par un religieux qui, alors que je me trouvais dans un état de grande faiblesse physique et psychologique, m'a fortement conseillé de détruire les cruchons de remèdes achetés de Roland D'Aigle...des prières de libérations et d'exorcistes à trois reprises, y compris sur mon chat Bozo...etc. Ce bonhomme qui fut mon second père sur Terre, fut traité de charlatan dans mon dossier médical psychiatrique. Pourtant, c'est à peine si j'ai mentionné ces choses nouvelles. Un mentor, ça peut aussi être utile pour t'aider à sortir des folies religieuses, médicales et gouvernementales, mais surtout, pour t'aider à retrouver ta véritable identité et destinée. Récits colorés mais réalité à venir un bon jour, sûrement. J'ai tout de même assumé toute la part de responsabilités, que je redonne en partie à travers ce mince paragraphe. Tant de choses à soulever et à dénoncer de façon romancée. Si on pense à toutes les personnes humaines enfermées, à vie ou de longue durée, dans les asiles psychiatriques, à cause du délire mystique. Pourtant, il y a des gens professionnels et religieux là-dedans. Le Gouvernement a-t-il quelque chose à voir dans ça ? Je ne le sais pas encore vraiment, mais sûrement. Qui dans le monde de la religion catholique, leur a souvent implanté des idées bizarres sur les folies exagérées du monde religieux ? En réalité, c'est pareil aux enfants de Duplessis. La sagesse des hommes est folie aux yeux de Dieu, et la folie des hommes est sagesse à ses yeux....mais reste à élucider c'est quoi la signification du mot folie ? Dans mon pire bas-fonds, y fallait bien que je me tourne vers une folie ou dépendance passagère. Ce fut dans le côté sectaire de la religion catholique. Un jour, j'ai connu une grande amie qui a pris ces sentiers spéciaux des Fous de Dieu. Je me suis alors mise à genoux, en demandant au Maître intérieur de me délivrer de ces douces folies de la religion catholique. Ce fut pire que d'entrer dans n'importe quel groupe que l'on dit sectaire. Quels chemins je du prendre pour me sortir de ces pétrins de folies. Des gens ou groupes intégristes Dans tous les groupes et toutes les religions, il y a des gens intégristes qui se faufilent et on doit être prudent et vigilants dans ses amitiés et ses relations. Lorsqu'une personne vient de s'enfoncer dans un bas-fonds émotif et psychologique, ce n'est surtout pas le temps de lui parler de se faire exorciser par des prières de libérations et d'exorcistes. Vous croyez peut-être que je m'éloigne du sujet. Oui en apparence. Un Ministre a reçu une photo de Jésus de Nazareth La religion catholique et le Gouvernement et l'État ont longtemps fonctionné mains dans les mains. Par exemple, si on regarde l'histoire des enfants de Duplessis. Dans ma crise du milieu de la vie, j'ai même fait parvenir à un Ministre dont je tairai le nom évidemment, la photo de Jésus de Nazareth que l'on m'avait remis lors d'une thérapie dans le mode de vie des douze étapes des Émotifs Anonymes. Maudit, il me l'a retourné et je suis prise encore avec cette photo; pas moyen de m'en débarrasser, à moins de me décider à le déchirer et l'envoyer à la filière 13 de la récupération des ordures ménagères. Une devinette....Qui pourra deviner de quel Ministre il s'agit ? Le pire ou meilleur, c'est que j'ai beaucoup plus d'aptitudes à écrire sur ces sujets adorés des jeunes, surtout les messes noires et le Diable, que d'écrire sur la justice administrative du Québec. Loto-Québec Certains s'enfoncent démesurément dans le monde de la drogue, la boisson, la sexualité débridée, le jeu démesuré, le crime, etc. Par exemple, si c'est dans le jeu, c'est Loto-Québec qui a une grande part de responsabilité à prendre, en plus du citoyen. Un petit billet de mini Loto, avec ça ? Les Raëliens Je ne regrette absolument rien du tout, comme dit une chanson de Édith Piaf. Mais si je devais recommencer, j'opterais pour entrer dans le groupe des Raëliens. La raison est que je pourrais au moins me payer gratuitement des massages musculaires au dos. Ce n'est pas moi qui invente cette histoire-là, puisqu'elle vient d'un travailleur social et Docteur en psychologie qui me l'a révélé. Ah.... si les jeunes d'aujourd'hui avaient la chance de passer ce genre de test de personnalité, il se connaîtrait beaucoup plus facilement et sans souffrir inutilement. Avenant qu'une personne désire savoir auprès de qui, j'ai passé ces tests, il me ferait énormément plaisir de leur faire connaître mes sources. Au Monastère avec ça ? Je délaisse ce sujet, si je ne veux pas que l'on essaie de me faire entrer au Monastères de petites sœurs opportunistes de la Charité chrétienne. Ces sujets colorés d'intérêts publics, feront l'objet de millions de récits romancés de toutes catégories, si la Vie me prête vie assez longtemps. Les jeunes d'aujourd'hui sont fascinés par l'espoir de réussir leurs études pour travailler et gagner leurs vies honorablement. Ils sont aussi très intéressés par les histoires d'espérances, de charité et de justice. D'autres adorent les histoires de méchants sorciers, du Diable et de messes noires, dans les pires cas. Rien de grave-là, sauf lorsqu'ils tenteront d'en sortir. Ils devront être soutenus humainement d'abord et par des gens qui auront traversés ces choses dites obscures et occultes. Ah misère.....Ah malheur....! Je me discipline pour revenir bientôt à mon sujet principal. Nos êtres chers décédés par le suicide Qui d'entre nous n'a pas été touchés ou témoins, de faits se rapportant à des êtres chers qui ont sombrés dans la dépression et la maladie mentale, ou bien, d'avoir perdu des personnes aimées décédées suite à une tentative de suicide ? Comme Harry Potter, Sortir les squelettes du placard pour être enfin Libre Si Harry Potter a survécu à sa crise d'hormones dans le tome 5, bien peu d'entre nous survivront à toutes les milles misères administratives, mises en place dans le système de justice administrative du Québec. Puisque j'écris la plupart du temps, sans préparation ni censure, il se peut fort bien que je me répète, c'est-à-dire, que je radote à quelques reprises à travers ce témoignage. Je vous remercie sincèrement de votre bonne compréhension. Pour l'instant, je sais que tous mes paragraphes ne sont pas placés dans le bon ordre. Ces faits que je raconte brièvement, sont tellement prenants à écrire. C'est la première fois que j'en parle à travers l'écriture, et je n'ai jamais pu reparler de ces évènements, depuis qu'ils se sont produits; mis à part à un psychiatre lors de ma première hospitalisation en mars 1990, et lors d'une expertise psychiatrique où j'ai pu pour la première fois, abordée les souffrances vécues suite à un choc émotif et aux démarches devant le Collège des Médecins. Pour cela, je vous demande un peu de tolérance s.v.p. en vous remerciant à l'avance. Vous pouvez aussi visionner le vidéo d'Astérix, ce qui serait moins lourd. En appeler d’un jugement du Tribunal des Professions Suite au jugement daté du 20 février 1990, rendu par le Tribunal des Professions, et renversant en entier le jugement daté du 17 novembre 1987 et rendu par le Comité de Discipline du Collège des Médecins du Québec, une opinion juridique de Me Jean-Pierre Ménard fut demandée par Monsieur Roger Beaudoin de l'ACEF de Québec, en date du 15 mars 1990. Est-ce qu'il y avait une possibilité de contester, par voie d'évocation ou par tout autre moyen juridique approprié, la décision rendue par le Tribunal des Professions, siégeant en appel d'une décision du Comité de Discipline de la Corporation professionnelle des médecins du Québec ? Faute de ne pas avoir la possibilité de scanner cette opinion juridique de 10 pages, de Me Ménard. Voici quelques lignes: "Il n'est plus possible, devant la Cour supérieure, d'introduire d'autres preuves. Nous sommes liés par celles présentées devant les instances inférieures. Le Tribunal acquitte la partie adverse, sous le fait qu'aucun traitement ni médicament n'avaient été effectivement donnés par le médecin traitant, en septembre 1984, où elle fit pourtant 3 visites médicales...etc. (Jugement p. 14). La preuve ne permet pas de soutenir ce jugement du Tribunal. Madame le voyait sur une base régulière et même pour de l'aide psychologique (doc. p 378). Le professionnel apparaît comme médecin traitant sur plusieurs rapports de laboratoires (doc. p 970 à 975). Après la demande de consultation au Neurochirurgien de Québec, en date du 01 octobre 1984, c'est ce professionnel qui devait recevoir les résultats. (doc. p. 1004). Il est donc clair qu'il avait encore une relation thérapeutique avec Madame, en date du 04 octobre 1984. Le Tribunal des Professions s'est donc trompé en analysant la preuve déposée et n'aurait donc pas dû rejeté cette plainte. La question consiste à déterminer si cette erreur du Tribunal des Professions, serait de nature à permettre un recours devant la Cour supérieure....! .....La décision de ce Tribunal est finale et sans appel. L'effet des clauses privatives...seules les erreurs de droits ou de faits sur des questions préalables, à l'existence même de la juridiction, peuvent être contrôlées en présence d'une clause restrictive. Les erreurs de droit à la face même du dossier, les erreurs de droit à l'intérieur de la juridiction et les abus de pouvoir ne le sont pas...! Le Tribunal n'a pas donné toute la valeur probante à certains faits, et a plutôt retenu des affirmations qui n'étaient pas appuyées par le reste de la preuve. En conséquence, l'erreur du Tribunal s'est produite sur une question qu'il avait compétence d'étudier. En conséquence, une telle décision ne peut faire l'objet d'un contrôle par la Cour supérieure. Par contre, l'organisme a droit a l'erreur, si on peut dire, sur un sujet qui ne conditionne pas pas, mais qui relève de par la loi de sa compétence, puisque le droit de décider comporte la faculté de se tromper. Ce type d'erreur échappe en principe au contrôle du juge de surveillance, qui n'a pas pour fonction de contrôler l'usage que l'administration fait de ses pouvoirs. ...Nous croyons que les possibilités offertes par le milieu juridique sont virtuellement épuisées. Il faut que la lutte soit davantage orientée sur le terrain politique et dans l'opinion publique, afin de faire changer le système disciplinaire qui laisse à toute fin pratique, le public sans recours envers certaines formes d'abus de pouvoir des professionnels. Votre organisme a déjà avancé la nécessité d'une réforme....! " La mare aux grenouilles Aussi, le psychiatre expert a écrit une expertise sur cette réalité médicale. Tout comme l'opinion de Me Ménard, celle-ci m'a permis de ne pas rester déconnectée de la réalité, pour le reste de mes jours. Les citoyens qui utilisent les services de ce grand professionnel du droit médical, font parties des privilégiés du peuple Québécois. Lors d'un souper en sa présence avec l'équipe de l'ACEF de Québec, je lui ai remis un témoignage thérapeutique coloré et intitulé: La mare aux grenouilles. Toute une mare aux grenouilles ces démarches administratives juridiques mis en place par les lois du gouvernement. Pour protéger qui ? Du support psychologique À travers toutes ces luttes pour la justice, j'ai tout de même vécu énormément de support de l'ACEF de Québec, de la FNACQ et de l'équipe au Protecteur du Citoyen. Même que j'ai vécu aussi énormément d'heures agréables et de plaisir, lors de tous mes déplacements à Québec, autant pour les conférences de Presse, que pour participer aux nombreuses réunions du Comité de santé de l'ACEF de Québec. Je remercie toute les personnes des Associations de consommateurs du Québec et l'équipe du Protecteur des citoyens qui m'ont permis de me rendre jusqu'aux bouts de ces complexes dédales. Dédales mis en place pour la protection du public....j'en doute encore après plus de vingt ans. Toute ma vie, je rechercherai de nouvelles indices et preuves pour démontrer ce dont je ne peux écrire au complet en ce jour. Si des gens détiennent des documents sur cette affaire, cela me ferait énormément plaisir d'en obtenir copie. Jamais je n'accepterai l'inacceptable en ces choses encore à peu près pas modifiées en 2010. La vie dure au psychiatre Mailloux On a juste à regarder dans quelles galères hypocrites et douteuses est mêlé le psychiatre Mailloux, à travers des plaintes de sa Corporation professionnelle. J'ai bien hâte qu'il nous révèle les magouilles vécues dans ce monde plutôt louche à mes yeux de simple citoyenne ayant aussi traversée ces couloirs ténébreux et nébuleux. C'est un piège pour toute la population de créer des systèmes aussi nébuleux, coûteux et injustes, compte tenu des rapports de forces tout à fait inégaux. Le petit citoyen devant la grosse machine administrative légale et médicale, selon les démarches de chacun. Non je ne regrette rien du tout Comme la célèbre chanteuse Édith Piaf, je ne regrette rien du tout. Cette partie de ma vie m'a éveillée aux réalités des tribunaux administratifs mis en place pour assassiner moralement bien du monde. Que j'en sois sortie seulement vivante est déjà presque miraculeux. Imaginez-vous ce que cela devait être pour les citoyens et les professionnels qui passaient dans ces comités de disciplines, lorsque tout était fait à huit-clos. Que d'injustices qui dorment dans les placards de cette société Québécoise qui commence à se réveiller. La fuite est souvent salutaire Cette implication fut importante et inoubliable dans mes souvenirs, à travers les routes plus souffrantes, qu'il a fallu que j'emprunte à la fin de mars 1990, et pendant plus de 9 ans. Avais-je vraiment le choix ? Oui. C'est que je souffrais tellement physiquement depuis un accident d'auto au travail de 1981, c'est-à-dire, encore depuis ma première crise d'octobre 1981. Pire encore, suite à un choc émotif survenu en 1984, je vivais beaucoup de fuites à travers différends chemins qui engourdissaient un temps, ces malaises quasi insoutenables. J'ai écrit au meurtre cette souffrance physique et morale, à travers ma première plainte au Dr Laterreur, qui fut non retenue par le Collège des Médecins. Et, sa façon d'agir par la suite a déclenché un tremblement de terre de haute amplitude à l'échelle Richter 0,6. Passages du jugement du Comité de Discipline Qui n’aurait pas perdu contact avec la réalité en lisant un tel jugement ? Pour citer le plus important de ces procédures administratives, je cite le principal, c’est-à-dire, que j’ai subit un choc émotif majeur, suite au sentiment d’abandon vécu à la perte de mon médecin traitant. Un peu plus bas dans cet article, je cite quelques passages de ce jugement, y compris mes opinions personnelles qui ne changeront pas le contenu de ce document légal, mais qui apporteront à mes yeux, un sentiment de justice. Sans compter l’importance du témoignage dans l’intérêt de la population. Puisque ce jugement final du Tribunal des Professions en arrive à la conclusion que je n’étais la patiente de mon médecin traitant, je cite quelques lignes seulement du jugement du Comité de Discipline du Collège des Médecin ou Corporation professionnelles des médecins du Québec: « Chaque patient de cette clinique médicale, a le choix de son médecin traitant, mais il arrive qu’il puisse être traité par un autre médecin de la clinique, selon la disponibilité de ceux-ci. C’est ainsi que Madame était habituellement traitée par l’intimé, mais en l’absence de celui-ci, elle s’adressait à un autre médecin de la clinique, de sorte qu’elle a consulté pratiquement chacun des médecins de cette clinique médicale. Suite à un accident d’automobile ( Je précise ici que c’était un accident de travail CSST ) en 1981, Madame souffrait de douleurs au cou et de douleurs lombaires qui se prolongeaient. ( Je note ici, qu’il y a eu aussi des douleurs dorsales non négligeables et qui m’ont conduite à une chirurgie de réduction mammaire bilatérale à la fin de 1982. Le Dr Laterreur à qui j'avais porté plainte à l'hôpital, plainte non retenue qui a déclenché la seconde plainte dont on fait mention le Comité de Discipline, me disait suite à cet accident d'auto au travail, que j'avais des gros seins et que je devrais regarder mon allure, etc. Pour me faire conseiller par sa collège de Clinique Médicale, qu'il faisait sûrement allusion à envisager une chirurgie citée plus haut. Delà, j'ai vécu cette chirurgie à la fin de 1982, après que la CSST ait réglé le dossier, en ne parlant plus jamais des douleurs dorsales. ) Elle dit qu’elle était nerveuse et anxieuse et qu’elle consultait les médecins de cette clinique, particulièrement l’intimé, presqu’à toutes les deux semaines. Précédemment, soit en 1979, Madame avait consulté l’intimé pour sa grossesse, lequel l’avait référé à un confrère, pour son accouchement. Le 04 octobre 1984, l’une des secrétaires de la clinique médicale a téléphoné à Madame, que dorénavant aucun des médecins de la clinique médicale n’accepterait de la rencontrer, de même qu’aucun membre de sa famille. Surprise et consternée par cet appel téléphonique, Madame voulait savoir pourquoi cette décision avait été prise. C’était parce Madame avait porté une plainte au Collège des Médecins du Québec, contre l’un des médecins de la clinique en date du 27 septembre 1984, soit le Dr Laterreur. Le Dr Laterreur dit qu’après avoir pris connaissance de cette plainte, il a été « profondément ahurit, blessé et humilié… et il a jugé bon d’informer tous ses collègues de la clinique, de la teneur de cette plainte, le soir du 01 octobre 1984. Les six médecins de la clinique médicale qui étaient présents à la réunion, ont décidé à l’unanimité et par solidarité, de ne plus traiter dorénavant, Madame et sa famille. ( J’ajoute que, cette plainte concernait un événement survenu lors d’une hospitalisation en 1982 et j'étais réellement certaine que cela resterait dans les murs de l'hôpital; je me suis tout à fait trompée. Si j'avais su, jamais je n'aurais porter cette plainte, qui selon moi, durerait quelques semaines seulement et avec des démarches très faciles et accessibles à tous les citoyens ordinaires du peuple Québécois. Mais vu la tournure des évènements, il fut nécessaire que je dénonce un certains temps du moins, le sujet de mon choc émotif en 1984. Le Gouvernement du Québec doit prendre sa part de responsabilités, parce que ces lois ont été crées par le Gouvernement. J'ai été une victime de ces lois professionnelles qui vont à l'encontre de l'intérêt des citoyens du Québec. Quel piège subtil ! Les dommages du cœur ne seront jamais reconnues ni guéris par qui que ce soit, et surtout pas à travers des expertises à répétitions. Ce n'est pas une somme d'argent qui guérit ce genres de blessures intimes ) À lire dans un paragraphe plus bas, le sujet de cette plainte. Madame a été fortement affectée des suites de cette affaire et qu’elle a dû être traitée régulièrement, étant même obligée d’arrêter de travailler pendant deux mois, et tout cela, chez des médecins et dans des hôpitaux à l’extérieur de sa région où elle demeurait. La preuve révèle enfin que lors de la dernière visite qu’elle a faite à l’intimé, soit le 21 septembre 1984, ce dernier l’avait référé à un médecin spécialiste ( Et je précise: neurochirurgien ) de Québec. L’intimé a alors remis à Madame, un document qu’il a décrit comme étant « une prescription pour faire sortir les radiographies de l’hôpital « . La secrétaire de l’intimé a informé Madame, que celui-ci a écrit au médecin spécialiste en question, afin d’obtenir un rendez-vous pour elle….Il a été déposé en preuve, copie d’une lettre datée du 01 octobre 1984 et dictée par l’intimé, a été adressée au spécialiste en question, relativement à ce rendez-vous. Lorsque Madame a reçu, par l’entremise de son procureur, son dossier médical sensé être complet en date du 04 octobre 1984, soit la journée où l’intimé a cessé de prodiguer des soins à Madame, copie de cette lettre du 01 octobre 1984, n’était pas au dossier. La secrétaire de ce spécialiste en question, a témoigné à l’effet que ce spécialiste n’avait jamais reçu de l’intimé, une demande de consultation relativement à Madame. La secrétaire de l’intimé affirme avoir dactylographié la lettre en question, le 01 octobre 1984….placée dans une boîte….à être signée…..et ensuite postée….etc. Ce fut une décision importante prise par l’intimé et ses collègues, puisque Madame la plainte n’était pas formulée contre l’intimé, et qu’elle affectait une patiente qu’il traitait depuis plusieurs années, patiente qu’il venait en plus de référer à un spécialiste…décision qui affectait également l’époux de Madame et son enfant. L’intimé explique sa décision en disant qu’il lui semblait inconcevable que, suite à la plainte qu’elle avait portée, Madame puisse le consulter de nouveau, de même que ses collègues de la clinique. Pourquoi alors, a-t-il décidé de prendre les devants, en chargeant sa secrétaire d’aviser la plaignante de la décision qui avait été prise ? Il aurait pu simplement attendre que Madame le consulte de nouveau. Le seul motif raisonnable pouvant expliquer cette façon d’agir, c’est que Madame était encore la patiente de l’intimé, et que, compte tenu de la décision que celui-ci avait prise, il se devait d’en informer sa patiente, et faire le nécessaire pour que celle-ci puisse être traitée par un autre médecin. La preuve révèle que l’intimé et ses collègues se sont sentis, à tort ou à raison, visés indirectement par l’action de Madame, et ont jugé qu’il ne serait plus possible dans l’avenir, d’établir une relation de confiance mutuelle indispensable pour continuer de traiter, non seulement Madame, mais aussi sa famille. La décision prise par l’intimé, le concerne et il doit en subir les conséquences, s’il y a lieu. D’ailleurs, la plainte telle qu’elle a été portée, ne reproche pas à l’intimé la décision qu’il a prise, mais plutôt, le fait de lui avoir fait annoncer brutalement, sans ménagement et sans avis préalable de sa part, puisqu’il a agit par sa secrétaire, son refus de lui dispenser désormais, des soins médicaux à elle et à sa famille…et cela alors qu’il connaissait suffisamment bien la fragilité de son état de santé. Il est certain que la décision prise par l’intimé, soit de choisir d’annoncer à Madame par sa secrétaire, a été brutale, sans ménagement et sans avis préalable, de la part de l’intimé. Il est certain également que cette façon d’agir, a eu un état de choc sur Madame, et qu’elle en a été affectée, non seulement pour elle-même, mais surtout, à l’endroit de son mari et de son enfant. Il faut ajouter ici que, l’annonce de cette décision a été faite à Madame, non pas parce que celle-ci avait demandé un rendez-vous, mais à l’occasion de l’annulation d’un rendez-vous pris par son mari avec l’intimé, occasion qui est décidée par l’intimé lui-même. La façon d’agir de l’intimé ne pouvait qu’affecter l’intimé; et elle n’était pas justifiée, malgré le sentiment qu’a pu susciter, à l’intimé et à ses collègues, la plainte portée par Madame. L’intimé est un professionnel, médecin par-dessus le marché, la plainte ne le visait pas personnellement. Il traitait Madame depuis plusieurs années, et l’on ne peut supposer, sans lui faire injure, qu’il la traitait sans raison médicale suffisante. Au surplus, la façon d’agir de l’intimé, laissait voir à Madame, que lui et ses collègues exerçaient des représailles contre Madame et sa famille. Du moment qu’il avait pris la décision de ne plus traiter sa patiente, l’intimé se devait d’informer lui-même celle-ci, de sa décision, en lui expliquant pourquoi il agissait ainsi…tout comme il aurait dû recevoir son mari qui avait pris un rendez-vous pour recevoir des soins médicaux, pour lui dire et lui expliquer pourquoi il ne voulait plus le recevoir…! Si l’intimé avait pris la peine de communiquer sa décision directement à Madame, comme le Comité croit qu’il aurait dû faire, le problème pour Madame et sa famille d’être traitées en dehors de leur localité aurait été discuté, et à ce moment-là, l’intimé aurait pu être assuré que sa patiente et les membres de sa famille pourraient avoir accès quand même à des services médicaux. " FIN, en attendant que je puisse scanner au complet ce jugement rendu par le Comité de Discipline du Collège des Médecins du Québec. L'autonomie affective médicale Un grand malheur survenu lors de ce divorce avec le Dr Sansouci qui est l'intimé dans le jugement plus-haut, s'est véritablement transformé plusieurs années plus tard, le temps d'en faire mon deuil à tout jamais, en autonomie affective médicale. Unis médicalement pour le meilleur et pour le pire Aujourd'hui, je sais que je suis unis avec un médecin traitant, pour le meilleur et pour le pire, pour aujourd'hui seulement, et non pas jusqu'à ce que la mort nous sépare, comme dans le sacrement du mariage de l'Église Catholique. Dans le texte qui est publié après celui-ci et intitulé: La guérison des souvenirs, je citerai bientôt toutes l'histoire complète de tous les médecins traitants vu depuis ma naissance et jusqu'à ce jour. Histoire de remettre les pendules à la bonne heure. Parce que ce n'est pas facile de lire le jugement du Tribunal des Professions qui cite tant de visites médicales. Aujourd'hui, j'ai publié le texte: La justice administrative qui rend fou (3), dans lequel vous pourrez mieux comprendre pourquoi j'ai bien dû changer de médecins traitants, en cours de route. Dès que l'énergie me le permettra, je ferai même le bilan de tous ces médecins cités dans ce jugement, et je mettrai les barres sur les "t" et les points sur les "i". Seulement pour me redonner une apparence de justice personnelle, et aussi, dans l'intérêt des citoyens. L'année passée, un jeune adolescent de 9 ans et demi, causait amicalement avec moi, lorsque je me berçais sur le balcon. J'ai tellement restée étonnée, lorsqu'il m'a confié en être rendue à sa 6 ième amoureuse. Il parlait des anciennes copines du cœur, comme de ses 5 ex-amoureuses. Des tas de changements majeurs pour la population Québécoise Je me consolais souvent en sachant qu'à la demande de l'avocate du Protecteur du Citoyen, je lui ai donné mon autorisation pour qu'ils se servent de mon nom, pour la poursuite de la grande réforme des corporations professionnelles et du droit professionnel au Québec. Cette avocate m'a affirmé vers l'été 2000, que je ne supporterais même pas de savoir tous les changements qui se sont produits depuis tout ce temps. Je serais aujourd'hui tout à fait apte à le savoir. Si vous lisez ce témoignage, n'hésitez pas à me fournir les renseignements sur ces changements, ce qui serait pour moi, une importante consolation qui ferait partie de mon rétablissement au quotidien. La loi c'est la loi La loi est ainsi bâtie pour permettre les erreurs des juges qui possèdent entièrement tout pouvoir entre leurs mains, y compris celui de commettre des erreurs à la face même des dossiers. Hop-là, le dossier est clos et sans aucun pouvoir d'appel pour les citoyens; sauf en de très rares exceptions. Pourtant, les professionnels ont le pouvoir d’en appeler d’une décision du Tribunal des Professions, devant la Cour supérieure du Québec, qui est un Tribunal tout à fait indépendant. Tant qu'aux citoyens, qu'ils s'arrangent avec leurs problèmes. Les lois sont ainsi créés pour faire damner les citoyens du Québec. On appelle cela le système de justice administrative d'intérêt public, à travers les complexes Institutions démocratiques du Québec. Les Institutions administratives... chemins de Damas Comment peut-on obtenir une justice impartiale, lorsque les citoyens sont jugés par des professionnels et juges qui ont à juger des causes impliquant leurs pairs ? Où se trouve l’apparence de justice, lorsque des citoyens qui seront jugés par ces mêmes juges et professionnels des Institutions démocratiques, lorsqu'ils ont eu à rapporter au Protecteur du Citoyen ou à d'autres organisations publiques, d’importantes lacunes qui sont survenues en cours des procédures administratives ? Ce n'est tout de même pas pire que les gens de Port-au-Prince en Haïti, qui viennent de perdre complètement toute vie humaine et toutes leurs minces mais prioritaires Institutions; mais est-ce vraiment mieux toutes ces compliquées bureaucraties géantes qui manquent d'apparences de justice, de justices équitables et d'humanité ? Si on sort bien vivant physiquement et moralement de ces chemins administratifs, c'est que nous avons empruntés les Chemins de Damas. Tout quitter et tout perdre Tel un proverbe populaire et Évangélique qui cite: Donne à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. Je lève mon chapeau au Comité de Discipline du Collège des Médecins, pour avoir rendu un jugement très réaliste en ce qui touche le sujet principal de ma plainte, soit un choc émotif vécu suite à....( voir plus-haut ) et l'abandon ressentit suite...voir plus-haut. La suite ne s'écrira pas de sitôt, tellement j'arrive de loin à travers ces profondes blessures jamais cicatrisées jusqu'ici, vu qu'elles n'ont à peu près jamais été partagées. J'ai dû tout quitter et absolument tout perdre....pour retrouver un brin de forces, etc. Un pot de fleurs au Comité de Discipline du Collège des Médecins Les fleurs À travers ces lignes, je remets dans un pot noir, des magnifiques fleurs de lys blanches. au trois membres du Comité de Discipline du Collège des médecins. La justice existe tout de même, et ce n'est qu'à travers ce jugement et celui de l'opinion à Me Ménard, que j'ai pu me sortir de l'enfer émotif et psychologique. Je n'ai pas dansé avec le Diable, parce que le Diable n'existe pas; c'est un curé qui m'a dit que je devrais dire cela aux jeunes d'aujourd'hui. Mais, j'ai dansé avec Lucifer. Le pot de fleurs Pour ce qui est du pot de fleurs, il est de couleur noir et il s'agit de mon expertise psychiatrique qui fut refusée en preuve par l'avocat de l'intimé. Le comité de discipline n'aurait jamais dû refusé cela. Il s'agissait des dommages premiers que m'a causé ce choc émotif du 04 octobre 1984, et des dommages premiers sur les séquelles au dos laissées par un accident de travail survenu le 19 octobre 1981. Pas de Protecteur du Citoyen à cette audience Il y a aussi dans le pot de fleurs au Comité de Discipline du Collège des Médecins, ce qui s'est véritablement produit lors de la dernière audience faite à Montréal, directement au Collège des Médecins. Le Président du Comité de Discipline devait donner sa réprimande à l'intimé. La surprise qui m'attendait, c'est que c'est moi qui l'a plutôt durement reçue, cette maudite réprimande. Réprimande n'est pas le mot juste. Aucune personne des trois membres du Comité de Discipline n'a levé le petit doigt pour me protéger et intervenir, lors de cette audience vécue dans le secret des Dieux, c'est-à-dire, à huit-clos. Je doute que tout était planifié à l'avance. J'entendais des rires sarcastiques et presque diaboliques, en me rendant à la salle de bain, quelques minutes avant l'audience. À mon point de vue, il y avait environ cinq bonshommes qui s'éclataient de rires moqueurs et à voix très hautes. Je vous assure que si je revivais cela en ce jour, que je leur ferais passer un bien mauvais quart d'heure. Placez-vous cinq secondes à ma place, et dites-moi ce que vous feriez si cela vous arrivait aujourd'hui ? La prison pour deux ans Lorsque j'ai demandé légalement de me désister dès le début de la première audience au Comité de discipline, celui-ci m'a été carrément refusé. Est-ce légal ? Le bon Dieu le sait et le Diable s'en doute. On ne peut peser sur "Reset" pour revivre le passé. Mais si c'était à refaire, je choisirais de ne pas me rendre à l'audience, malgré la lettre du huissier qui m'y obligeait. Possiblement que j'aurais été accusé d'outrage au Tribunal ? Tant pis, car deux ans de prison aurait été une douce tendresse à côté de ces sentiers d'enfer. Un discours performant à haute voltige Je vous assure que ce Président du Comité de Discipline de l'époque, a réussit sa performance de haute voltige. Je l'entendais, lors de cette dernière audience, jongler avec les mots colériques, et ce, pour avoir utiliser les médias dans cette affaire qui devait rester secrète et confidentielle. C'est la première fois de ma vie, que je parviens à décrire très brièvement, le harcellement moral que j'ai subis ce jour-là. Est-ce humain, professionnel et légal, un comportement enfantin et autoritaire de ce genre ? L'auto-concentration Par ailleurs, je l'ai soutenu du regard du début jusqu'à la fin, sans laisser paraître aucune émotion extérieure. Cela n'empêchait pas mon cœur de battre la chamade. Je n'ai même pas retenu un seul mot de ce cruel monologue, parce que tout ce qu'il disait était faux dès la première phrase. Pour cette raison, je suis parvenue à m'auto-concentrer et à le regarder droit dans les yeux, ne serait-ce que pour lui retourner toute la merde qu'il essayait de m'envoyer. Le refus de mon expertise psychiatrique suite à ce choc émotif Comment voulez-vous que les citoyens ordinaires du peuple Québécois, puissent démontrer les véritables faits ou liens de cause à effet, si au Comité de Discipline du Collège des Médecins, on refuse en preuve une expertise psychiatrique de grande importance et tout à fait pertinente ? Pourquoi alors a-t-on refusé que cette expertise soit déposée en preuve ? Le Bon Dieu le sait... et le Diable s'en doute... ! Comité de Discipline du Collège des Médecins En ce qui me concerne, c'est quasi impossible de scanner le contenu des jugements, études, rapports et expertises rendus. Par contre, je cite dans ce texte, tous les numéros et dates des documents., au fur et à mesure que je le peux. Je publierai aussi qu'à coups de lettres de huissiers, je devais me présentée aux audiences des Comités de disciplines du Collège des Médecins, ainsi que la copie du refus de mon désistement légal de me présenter aux audiences des Comités de discipline. Ce refus affirme que la plainte ne m’appartenait plus, à part les frais à payer; s'il y a lieu. Une preuve en béton rejetée du revers de la main Cette expertise psychiatrique rejetée du revers de la main au Comité de Discipline, démontrait la preuve évidente de cause à effet, au sujet du litige: suite à ce violent choc émotif, je me suis retrouvée avec une aggravation de 50% des douleurs au dos, ainsi que des problèmes émotifs et psychologiques risquant possiblement de s'aggraver dans l'avenir, car ces importantes démarches devant le Collège des Médecins, n'étaient pas banales du tout. Le jugement du Tribunal des Professions mentionne ne pas avoir reçu de preuve à cet effet. Foutaise ! Comment puis-je avoir réussit à le démontrer, vu que l'on a refusé la preuve la plus importante au dossier? Le jugement du Tribunal des Professions mentionne: « La preuve démontre que la patiente a été très bouleversée et stressée à la suite de cette nouvelle....! Par contre, les examens subséquents ne semblent pas indiquer un rapport de cause à effet entre cette nouvelle et les douleurs thoraciques… » Je mentionne ici une parenthèse. On m'avait tout de même prescrit de la Nitro, pendant plus de neuf mois. Ce n'est quand même pas ridicule ça, de recevoir un médicament aussi important dans notre corps physique. Le médecin de l'urgence qui m'avait vu et hospitalisée suite à ce choc émotif très violent, m'a même dit que j'aurais pû en mourir sur le coup. Est-ce si banal qu'on le laisse croire dans le jugement du Tribunal des Professions. Tant qu'à l'expertise psychiatrique refusée, j'en parle à quelques reprises dans ce témoignage. Le jugement du Tribunal des Professions cite: « La plainte contre le médecin de l’hôpital était transmise au-delà de deux ans et demi après l’hospitalisation, alors que la patiente ne s’était jamais plainte pendant qu’il la traitait… » Minute Papillon ! Revivre une seconde fois un choc émotif, Mon fantôme d'amour reviendra hanter le Tribunal des Profession et le Comité de Discipline du Collège des Médecins si cela ne se fait pas de mon vivant, car la vérité finit toujours par être la gagnante sur tous les mensonges et les abus de pouvoir. Rétablir un fait important cité par le Tribunal des Professions, alors que cette plainte avait été rejetée par le syndic du Collège des médecins en étant classée dans la filière 13, en plus de n'avoir rien à voir avec l'appel devant le Tribunal des Professions. Je commente brièvement ces mentions dans le jugement de ce Tribunal. Gagner ou perdre, ce n'est pas le plus important. C'est de voir que l'on a écrit noir sur blanc et à la face même du jugement, que je n'étais pas sous les soins du Dr Sanfaçon. J'en reviens pas encore. Lorsque j'ai pris conscience de ces lignes, vers la fin de 1990, c'est comme si on venait de me faire revivre un second choc émotif. Pire, c'est comme si on me disait que cela n'est pas réalité. J'ai même perdu pour la première fois de ma vie, contact avec la réalité. Ce fut ma première hospitalisation en santé mentale et cela aurait pu être dramatique pour les êtres chers. Je sais bien que j'étais sa patiente et que cela a été fait pour le protéger, et quoi encore ? C'est du gros passé bien passé, mais je ne l'oublierai jamais de toute ma vie. Même en fantôme, je reviendrai hanter le Tribunal des Professions, avec cette décision. Car, je ne m'attends pas à des excuses publiques ni à une justice de mon vivant. Oh Yes...! Question au Collège des Médecins Avant de porter plainte contre le médecin de l’hôpital, j’ai téléphoné au Collège des Médecins pour demander quelle était la durée légale pour porter plainte suite à….? Je reviens aussi plus bas sur ce point soulevé dans le jugement du Tribunal de Professions. Réponse du Collège des Médecins La réponse fut que le temps pourrait même être d'une durée de plus de 10 ans. Classée ans la filière 13 De plus, j’avais bel et bien discuté de la conduite avec ce médecin de l’hôpital. Par la suite, celui-ci m'a dit bêtement qu'il me prescrirait une troisième injection de Talwin, pour me calmer les nerfs. Injection que j’ai carrément refusée, au point qu’une note a été ensuite inscrite à mon dossier médical, que j’avais mauvais caractère. Pour une fois, je pourrai dire que ce caractère de survie m’a possiblement sauvé la vie. Ah misère...! Ah malheur...! Trois injections intramusculaires de Talwin ne serait pas pire que de recevoir trois aspirines ? Néanmoins, plusieurs mois après le dépôt de ma plainte au Syndic du Collège des Médecins, je ne parvenais absolument pas à terminer ma journée de travail dans le domaine de la vente, qui nécessitait de nombreux déplacements sur la route. Je me rends à l'urgence de l'hôpital, encore pour les mêmes douleurs au dos. On se prépare à m'injecter un puissant calmant contre la forte douleur. Comme une impression ou une intuition féminine, je juge prioritaire d'informer le médecin de garde, que je suis fort possiblement allergique à un puissant remède reçu lors de mon hospitalisation de janvier 1982. Il juge bon de vérifier dans le rapport final du médecin de l'hôpital. Aucune note d'allergie à ce sujet. Je n'en suis pas surprise du tout, puisque le médecin de l'hôpital me disait que, même mes lamentations d'allergies, suite aux injections de calmants contre les fortes douleurs, étaient imaginaires et dans ma tête; comme les douleurs au dos. Je reçois lors de cette visite en urgence, une troisième injection intramusculaire "de Talwin" contre la douleur insoutenable. Les sceptiques seront confondus...dus ( Capitaine bonhomme Michel Noël ) Ce fut catastrophique à mon avis de simple citoyenne et selon la personne qui m'a accompagnée à l'hôpital. Les sceptiques en resteraient sûrement confondus...dus...comme disait le Bon Capitaine Bonhomme à la télévision. Vous lirez la suite un peu plus bas. Peut-être que 3 injections intramusculaires de Talwin, n'est pas plus grave que 3 aspirines, et ce, même s'il y a grandes possibilités de symptômes d'allergies ? Vu que je ne possède aucun diplôme dans le domaine de la santé et du droit, je m'incline devant la grande sagesse de la décision du syndic du Collège des Médecins, soit que cette plainte fut remisée dans la filière 13. Mais Bon Dieu, que l'on cesse de me harceler avec cette plainte sans aucune importance, à travers le jugement du Tribunal des Professions. J'ai même reçu un appel téléphonique quelques semaines après avoir fait cette maudite plainte. Des menaces très importantes si je ne retirais pas ma plainte. Un appel anonyme. Ce n'était quand même pas banal, surtout que je me plaignais pour rien d'important. Encore du passé bien passé, mais qui m'amène souvent à repenser à ma première réflexion, au sujet des gens âgés et des personnes sans aucune défenses, ainsi qu'à ceux qui vivront d'autres sortes de possibles erreurs médicales enterrées 6 pieds sous terre. Rapport de l’ACEF de Québec Voici quelques brefs paragraphes publié dans le rapport d’activités de l’Association d’Économie Familiale de Québec ( ACEF 1993-1994 ) qui est une Association de Consommateurs. Ce rapport fut présenté aux membres de L’ACEF de Québec et à Centraide-Québec. « Madame Turcotte ( Bisson à l’époque ) est sans doute la consommatrice la plus connue qui ait eu des démêlés avec le système disciplinaire des corporations professionnelles, entre autres parce qu’elle a rendu publics ses démêlés, avec l’ACEF de Québec et de notre fédération nationale la ( FNACQ ), mais aussi, parce qu’elle s’est rendue loin, plus loin que la plupart des consommateurs, dans ce système disciplinaire. Son expérience, quoiqu’exceptionnelle, est devenue comme une démonstration des problèmes que peuvent rencontrer les consommateurs face au système. C’est l’équivalent d’un révélateur, comme dans le domaine de la photographie. Les problèmes vécus par Madame ont eu un impact considérable en 1989-1990, auprès de la population et du Gouvernement, celui-ci ayant annoncé en mars 1990, son intention pour 1990-1991, de procéder à des changements au système disciplinaire des corporations professionnelles. Effectivement, des changements ont été annoncés en 1991-1992, mais finalement ce n’est toujours pas un projet de loi mais un avant-projet de loi qui a été présenté à l’automne 1992, pour consultation février 1993. On se référera à notre précédent rapport pour un résumé de nos recommandations. Finalement, à l’automne 1993, un projet de loi est déposé à l’Assemblée Nationale, au sein d’une commission parlementaire à laquelle ne participeraient que des élus. Ce projet de loi est « mort au feuilleton » en décembre 1993. Après le changement de premier ministre et la nomination d’un nouveau cabinet ministériel, ce projet de loi à peu près inchangé, à été déposé et adopté à l’Assemblée Nationale, à la fin de l’année 1993-1994. (Lire le résumé du cas de Patricia Bisson, dans ce rapport ). Dossier fermé à la CSST Une petite parenthèse ici: les spécialistes rencontrés lors du règlement financier final à la CSST, que l'on a bien pris soin dans ce jugement du Tribunal des Professions, d'énumérer les uns après les autres, pour essayer quoi ? Je ne sais pas si cela pourrait être de faire en sorte que je passe pour avoir abuser des visites médicales, autres que celles de mon médecin traitant Dr Sansouci et ses collèges de clinique. Des spécialistes suggéraient à la CSST, de m'aider à faire un retour à temps partiel, dans un autre emploi ne nécessitant que très peu de déplacements en automobile; encore refusé. Tellement fatigué de devoir être référée à un spécialiste orthopédiste.....que l'on a tenté de faire passer pour mon médecin traitant en plus....je disais donc, référée à un spécialiste pour dire à la CSST, que je n'étais pas dans une bonne condition pour retourner au travail, etc. Une commission d'enquête publique devrait avoir lieu à la CSST et cela est urgent, mais encore là, rien ne se concrétise. Suite de faits avec la CSST…à venir bientôt….. Finalement, j'ai décidé de clore le dossier ici, car cela n'est pas très bon pour ma santé. Faire une thérapie par l'écriture, c'est bien. Néanmoins, je ne prolongerai pas ces paragraphes. Qu'est-ce que cela me donnerait en fin de compte. L'important était de débloquer ce qui m'empêchait d'écrire les véritables raisons qui m'ont poussée le 25 avril 1993, à tirer mon rideau de scène par une tentative de suicide. Je ne parvenais plus à finaliser mon récit ou livre en cours, sur la prévention du suicide et l'abolition des préjugés envers les personnes touchées par la dépression et les maladies mentales. La vie citoyenne Quels épuisements physiques et psychologiques ! J'ai donc décidé de régler ce dossier une bonne fois pour toute, comme a essayé de le faire très rapidement la CSST. Mon médecin traitant de l'époque m'a même référée à des traitements de physiothérapie à un hôpital de Québec, et ce, j'y suis allée à mes frais en habitant dans une chambre d'hôtel pendant une semaines complète; mais ce spécialiste a refusé de référer cela à la CSST. De toute façon, on mentionnait à la CSST, que je n'avais aucune limitation fonctionnelle, alors que des spécialistes experts ont reconnus en 2002 et 2004, que je vivais avec des limitations fonctionnelles depuis cet accident d'automobile au travail, et qu'en plus, j'étais bel et bien une personne handicapée physique depuis ce temps. Mes revenus de 20,000$ diminuaient jusqu'à 3,000$ et 0$; est-ce banal cela ? Boff...comme dit si bien une ancienne collègue de travail, c'est du passé bien passé, bien réglé, bien occulté et bien embrassé, mais qui malgré tout, a toujours eu d'importantes répercussions sur mon quotidien.Et, qui font en quelque sorte, parties de la vie citoyenne. Un rapport médical sans parler ni voir le médecin de la CSST On ne devrait interdire à un médecin de toutes Institutions de l'État, de remplir des rapport médicaux sans même avoir rencontré, vu et parler à la personne, qui pourtant, est évaluée et diagnostiquée dans des rapports bidons, contraires à toutes les mentions médicales de leurs médecins traitants et rapports d'experts. Pire encore, on se sert de ce rapport imaginaire et bidon, pour fermer des décisions administratives, qui deviennent sans appel et final devant les Tribunaux administratifs de Québec. J'ose espérer que ce médecin manquant de professionnalisme, n'a pas été payé par l'assurance-maladie, car ce serait bien le comble du ridicule. Droits humains, charité et justice équitable pour tous ? À mon avis de simple citoyenne, ces procédures sont tout à faits illégales et abusives. Je ne vois pas comment les citoyens pourraient dénoncés de tels abus, sans des commissions d'enquêtes publiques dans tout le système de justice du Québec, y compris la justice administrative. Mais je suppose encore là, qu'un minime règlement no: ABC, un banal point de loi no: DEF, ou un important no: XYZ de droit légal, permet d’agir de la sorte, en ne considérant absolument pas les droits humains, la charité et la justice. La loi qui ne tient plus compte des droits humains, est une grosse farce monumentale. Abus de pouvoir à la CSST Une avocate à la Régie des Rentes d'invalidité du Québec, m'a téléphoné pour me dire qu'à la CSST, on avait tenté de faire sortir mon dossier confidentiel. J'ai donc signé sa lettre qu'elle m'a fait parvenir, pour le remettre à la CSST.Cela s'est retrouvé dans l'expertise payée par l'Aide juridique et les contribuables. On vient cette semaine de la mi-janvier 2010, d'enlever mon identité complète dans le jugement du Tribunal CLP. On a donc pendant plus de 8 ans, étalé un diagnostic confidentiel en santé mentale, alors qu'il n'avait rien à voir avec les séquelles compensées par la CSST. Légal ça ? Sûrement qu'un point de loi vient protéger la CSST de tout ça. Depuis quand une personne de la CSST a t-elle de droit de téléphoner à un médecin traitant, dans le seul but que celui-ci commence à douter de sa patiente, et ce, en sachant que sa plus grande blessure passée provient d'un choc émotif relié à la rupture de la relation médecin-patient ? Et oui ! Cela s'est bien produit et je l'ai su de source sûre. Abus de pouvoir flagrant, c'est sûr. Porter plainte, dit-on aux citoyens devant de telles injustices sociales ? De la poudre aux yeux pour les citoyens vulnérables et qui ne connaissent pas les rouages cul-de-sac qui sont instaurés pour empoisonner la santé et la vie des citoyens ordinaires. Abus de pouvoir et erreurs sans aucune surveillance À chaque expertise médicale ou rapport médical rendus dans plusieurs chemins des Institutions administratives du Québec, les usagers et citoyens devraient savoir avec quels documents a servit à être rendu, tel rapport ou telle expertise médicale; sinon, rien n'est vraiment légal à mon humble point de vue. Chaque document envoyé ou reçu, devraient être numéroté. Cela pour éviter quelquefois que s'envolent des notes médicales ou documents médicaux, de très grandes importantes. Ces procédures éviteraient bien des abus de pouvoir ou des erreurs permis légalement, au détriment des citoyens. Les mémoires rendus par le Protecteur du Citoyen Des observations et des propositions ont été remisent au Gouvernement, par le Protecteur du Citoyen en date du 23 janvier 1992, au sujet du mécanisme disciplinaire au Code des professions et l'exercice par l'Office des professions, de sa mission de surveillance des corporations professionnelles, ainsi qu'un mémoire sur l'avant-projet de loi modifiant le Code de Professions et d'autres lois professionnelles; est-ce que ces propositions et recommandations ont été suivies et reconnues au Gouvernement ? Parce que toutes ces heures de travail, accomplis par l'équipe du Protecteur du Citoyen, ce sont les citoyens du Québec qui en paient la facture. À quoi servent toutes ces études, rapports et mémoires de toutes sortes, et de toutes les instances gouvernementales, si à peine le Gouvernement ne s'en préoccupe ou les appliquent vraiment ? Ça coûte des millions et des millions au peuple Québécois, tout cela ! Sans mentionner toutes les mémoires et les rapports tablettés dans les filières 13. Jamais seuls au monde Ces faits du passé ne sont plus contestables devant aucun Tribunal indépendant, comme tous les professionnels ont la possibilité de le faire, face aux décisions du Tribunal des Professions. Pendant plusieurs années, je me trouvais démunie physiquement, émotivement et psychologiquement, et je me sentais bien seule. Jusqu'au jour où un Vieux-Sage m'a enseigné que, nous ne sommes jamais seuls au monde. Encourageons-nous tous ensemble, car: Les grands de ce monde se sont tous pensés fous ( Auteur: Patricia Turcotte ) Comment les simples citoyens ordinaires peuvent-ils espérer obtenir une justice transparente, crédible et indépendante, contre les géants et puissants du pouvoir administratif, qui sont habituellement protégés et armés financièrement jusqu'à la moelle des os ? Encore faut-il que les citoyens qui ont été victimes d'abus de pouvoirs et d'injustices de toutes sortes, soient d’abord écoutés, informés et guidés par des personnes humaines et professionnelles, œuvrant dans les organismes et les Institutions démocratiques. La population est habituellement très hésitante à s’embarquer dans des procédures bureaucratiques et administratives très longues, coûteuses et épuisantes, et où la transparence, la crédibilité et l’impartialité ne se pointent pas souvent le bout du nez, lors des rendez-vous devant la justice administrative extrêmement complexe. En appel devant le Tribunal des Professions Comment se fait-il que dans le jugement du Tribunal des Professions, on aborde le sujet de ce médecin de l’hôpital, puisque le syndic du Collège des Médecins avait classé dans la filière 13, cette plainte, en m'informant que je n'avais ni tort ni raison, et vice-versa pour le médecin ? Suite à cette plainte, le Dr Laterreur de l'hôpital fut très fâché, ahurit et humilié, si bien qu'il a déclenché un important branle-combat d'intérêt public, qui a mit en branle une série de démarches administratives devant le Collège des Médecins et le Tribunal des Professions. Ce sont une toute petite partie miniature de tous ces évènements, que je relate brièvement dans cet article témoignage, qui m'ont conduite dans une saga médiatique d'intérêt public. Cette plainte acheminée devant le Comité de Discipline du Collège des Médecins, n’avait rien à voir avec l’appel devant le Tribunal des Professions, ni même au Comité de Discipline du Collège des Médecins, puisque ceux-ci ne s'en sont pas préoccupés lors du jugement final. L'appel devant le Tribunal des Professions ne concernant absolument pas cette plainte contre le Dr Laterreur de l'hôpital. À cette époque-là, j'étais convaincue que tout ce qui se passait en milieu hospitalier, se devait de rester confidentiel en milieu hospitalier; et non pas de harceler moralement la personne qui porte une plainte, pour des années entières, et surtout, jusqu'au jugement du Tribunal des Professions. Ça va faire les sorciers administratifs et médicaux, pour le harcellement moral ( HM) et la torture psychologique. Est-ce que l’on aurait tenté de protéger un peu trop ce professionnel de l’hôpital ? À suivre: La justice administrative qui rend fou (4) Patricia Turcotte © Le 17 janvier 2010

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samedi 14 novembre 2009

LA LIBERTÉ D'EXPRESSION DES FOUS

Comment vous sentiriez-vous, si dans le site internet d'un jugement d'un Tribunal administratif du Québec, donc au niveau international du Web, ainsi que dans une revue du même Tribunal et offerte au grand public, vous seriez identifiez comme une personne atteinte du pire cancer de la maladie mentale ? Tout comme moi, vous tenteriez sûrement après des années de silence, de vous libérez des profonds sentiments d'humiliation et de honte. Je ne parvenais jamais à terminer le récit de mon premier roman témoignage sur la prévention du suicide et l'abolition des préjugés envers les gens atteints par la dépression et les maladies mentales, et ce, à cause de ce plus grand blocage dont je tente de m'en libérer à travers cet article et les suivants.

Voici le jugement rendu à l'automne 2002, par le Tribunal de la Commission des lésions professionnelles du Québec (CLP) et qui faisait suite à une décision rendue par la CSST. À travers ce jugement, j'ajoute des notes personnelles, histoire de retrouver un brin de dignité humaine et de réputation. Seul le diagnostic du cancer de la maladie mentale a été enlevé, parce que celui-ci n'avait absolument rien à voir avec les séquelles d'entorses au dos avec la CSST.

La liberté d'expression des fous

C'est très important de mentionner que, tant et aussi longtemps que je n'aurai pas obtenu une seconde expertise psychiatrique, je ne pourrai mettre à jour la suite des faits sur ce diagnostic, un peu trop étalé publiquement à mon goût.

Dans la première expertise psychiatrique passée en 1986, et ce, avant de me rendre au Comité de Discipline du Collège des Médecins du Québec, on mentionne que j'ai vécu d'importants troubles d'anxiétés et de paniques, et ce, suite à un choc émotif survenu le 04 octobre 1984 et qui faisait l'objet d'une démarche devant le Collège des Médecins. Hélas, on a jamais accepté que sois retenue en preuve, cette expertise psychiatrique de très grande importance; ce qui a eu comme résultat le minable jugement du Tribunal des Professions rendu en février 1990. Selon cette première expertise psychiatrique passée en 1986, pour la raison citée plus-haut, cela avait empiré de 50% le stress et les douleurs au dos que je vivais depuis un accident de travail en 1981.

Deux victoires personnelles

Ma victoire personnelle fut la fin de mes soins médicaux en santé mentale en mars 1999 et la fin aussi des remèdes complets pour la dépression ou maladie mentale. Depuis plus d'un an, je ne prends plus de remèdes "Ativan" pour diminuer l'anxiété, ainsi que de "Restoril", pour favoriser le sommeil. Mon second exploit fut de renoncer définitivement à une seconde tentative de suicide, et ce, depuis mon aller-retour dans l'enfer du coma /semi-coma suite à une tentative de suicide survenue au printemps 1993. Quelles douces victoires personnelles à partager, même si j'ajoute humblement "pour aujourd'hui seulement.

En rémission, guérie miraculeusement, une femme d'exception ou pas si folle que ça ?

Suis-je en rémission ou suis-je guérie du pire cancer de la maladie mentale; parce que nous savons tous que ce cancer est incurable selon les scientifiques médicaux? Suis-je une femme d'exception comme dans le film intitulé: Un homme d'exception ? Suis-je une miraculée ? Ou est-ce que je suis une personne que l'on a tenté de faire passer pour une folle, comme me l'a confirmé deux professionnels retraités ? Le diagnostic a tout de même été posé dans des conditions assez nébuleuses, après 5 minutes dans le cabinet d'un psychiatre en double conflits d'intérêts:

a) Il avait un lien de parenté avec un professionnel œuvrant dans le même cabinet médical de celui contre qui j'avais porté une plainte.

b) Celui-ci suit médicalement depuis trente-cinq ans et dans le domaine de la psychiatrie, une personne très proche de moi.

J'ai tout de même suivit ses traitements et ceux de ses collègues de bureau, et ce, pendant plus de 9 ans. Je ne parvenais jamais à être transférer à un autre psychiatre, étant trop affaiblit pour réserver mes droits dans ce domaine. On me disait plutôt de lui trouver deux qualités pour le garder, ce que j'ai finit par réaliser, n'ayant pas vraiment le choix, vu à cette période-là, ma minable condition de santé émotive et psychologique. Ce fut à vrai dire un troisième exploit, mais que je ne souhaite même pas à mon pire ennemi.

Condamnée à la folie en m'enlevant toute crédibilité

Vous pourrez lire sur mon blog, à travers les cinq récits personnels à connotation d'intérêt public, les détails à ce sujet. Soyez assurés que vu le diagnostic que l'on a posé sur ma tête comme une épée de Damoclès, je détiens toutes les preuves écrites de ces témoignages. Il faut bien considérer que l'on m'a retiré toute crédibilité. La réalité jusqu'à ce que je puisse me payer une seconde et dernière expertise psychiatrique, est que je suis une cancéreuse inguérissable par la médecine, et ce, à travers ce jugement administratif et dans mes anciens dossiers médicaux. Mis à part avoir frôlée une rechute vers l'été 2000, et ce, parce que je n'avais aucun remède contre les fortes douleurs insoutenables, je n'ai plus jamais été suivit en psychiatrie depuis 1998-1999. On m'avait bien dit vers le printemps 1991, que je prendrais des remèdes à vie, pour le cancer de la maladie mentale, ainsi que je ne pourrais plus jamais retourner sur le marché du travail, pour occuper un emploi à temps plein et rémunérateur. Ce dernier item n'a pas encore été atteint, à part un emploi et deux stages à temps partiels. Le loisir de l'écriture qui est pour l'instant non rémunéré, exige pourtant quelques heures de travail à chaque jour. Je viens tout juste de prendre une pause d'un mois et qui s'avérait nécessaire pour respecter mes limites humaines. Je suis très consciente que je fonctionne au quotidien, avec certaines limites humaines, autant physiques que psychologiques. D'ailleurs, je n'ai pas passé ces trente dernières années, dans une feuille de choux.

Bien sûr, je pourrais ajouter aussi des centaines de notes à ce sujet, mais il faut bien utiliser un brin de sagesse. Ce texte est le cinquième d'une série de cinq articles témoignages, que vous pourrez lire au complet sur ce blog personnel: LES ÉCRITURES DE PATRICIA TURCOTTE: patricia-turcotte.blogspot.com

Le respect des droits humains et de la justice

Je vous remercie de votre compréhension, et je suis fière du pas d'action fait, soit de vous faire confiance en partageant cette grande blessure publiée avec mon identité complète au début du jugement du Tribunal CLP. Tout dernièrement, j'ai demandé à la Commission d'accès à l'information, de rayer le diagnostic du cancer de la maladie mentale, parce que celui-ci ne concernait absolument pas la cause en cours. La CSST ayant exigé d'obtenir mon dossier confidentiel de la Régie des rentes d'invalidité, ce diagnostic s'est évidemment retrouvé écrit dans l'expertise médicale passée avant de me présenter au Tribunal CLP pour des douleurs au dos , et celle-ci fut aussi payée par tous les contribuables. Je ne croyais jamais que celui-ci serait mentionné dans ce jugement, et je considère cela comme un très important abus de pouvoir. À la Commission d'accès à l'information, on m'a référé à l'avocat responsable au CLP, qui a plutôt enlevé mon identité complète au début du jugement. Celui-ci m'a confirmé qu'il est illégal d'enlever un seul mot d'un jugement de ce Tribunal. Ma démarche n'a finalement pas donnée grand-chose, puisque je suis toujours bien identifiée au complet, quelques lignes après le début de ce jugement. Tout comme dans la revue publique publiée par le CLP.

Pensée du jour: "À une politique de lâcheté, il faut substituer le respect du droit et de la justice."

( Me Émile Colas 19-06-98 )

Patricia Turcotte © Le 10 février 2010

NOTE

Suite à ce témoignage, ainsi que les suivants se rapportant aux Tribunaux administratifs du Québec, il a été prioritaire pour moi de faire une longue pause. J'ai essayé à travers ces témoignages thérapeutiques, d'accepter l'inacceptable, mais sans jamais y parvenir. Comment parvenir à accepter que je sois qualifiée sur le site Internet du Tribunal administratif CLP, d'être qualifier publiquement comme une personne atteinte du pire cancer de la maladie mentale?

Je suis donc de retour sur mon site, afin de me préparer à enlever tous ces textes. Finalement, ceux-ci finalement m'auront permis de faire un autre bout de chemin dans mon évolution personnelle. Je ne crois pas que ces partages soient réellement essentiels à l'intérêt du public. Bientôt, je reprendrai mon loisir de l'écriture. Auparavant, je dois faire des copier-coller pour garder en souvenir ces lignes qui ne feront possiblement pas partie de mon roman témoignage à venir. Je dois faire confiance aveugle à la Vie avec un grand "V". Je remercie les quelques lecteurs qui auront pris connaissance de ces partages personnalisés.

Le premier degré de la folie est de se croire sage, et le second est de le proclamer. ( Alchimiste, Sergent )

Amitiés de,

Patricia Turcotte © Le 10 avril 2010

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lundi 5 octobre 2009

LA JUSTICE ADMINISTRATIVE QUI REND FOU (5)

Comment vous sentiriez-vous si depuis plus de dix ans et dans un site internet d'un Tribunal administratif du Québec et dans leur revue publique, vous seriez identifiez comme une personne atteinte de la folie, c'est-à-dire, du cancer de la maladie mentale ? :"Et si la paranoïa était une forme de conscience". ( Kerry Thornley ) Je publie au complet le jugement rendu le 23 août 2002, par le Tribunal de la Commission des lésions professionnelles du Québec (CLP), et qui faisait suite à une décision rendue par la CSST. À travers ce jugement, j'ajoute des notes personnelles pour ce blog et celles-ci sont inscritent en couleur foncée; histoire de retrouver un brin de dignité humaine et de réputation. Bien sûr, je pourrais ajouter aussi des centaines de notes à ce sujet, mais il faut bien utiliser un brin de sagesse. Bonne lecture à tous ! Ce texte est le cinquième d'une série de cinq articles témoignages. Pensée du jour: "À une politique de lâcheté, il faut substituer le respect du droit et de la justice." ( Me Émile Colas 19-06-98 ) COMMISSION DES LÉSIONS PROFESSIONNELLES RÉGION: Chaudière-Appalaches LÉVIS, le 9 septembre 2002 DOSSIER: 185512-03B-0206-C DEVANT LE COMMISSAIRE: Claude Lavigne Avocat ASSISTÉ DES MEMBRES: Jean-Guy Guay Associations d’employeurs Réal Binet Associations syndicales ASSISTÉ DE L'ASSESSEUR : Dr Jean Tremblay DOSSIER CSST : 077666121 AUDIENCE TENUE LE : 13 août 2002 À: Lévis DÉCISION CORRIGÉE ANONYME Note personnelle ajoutée de Patricia Turcotte: Anonyme mon oeil ! Mon identité complète apparait quelques lignes plus bas. ( Note personnelle ajoutée de Patricia pour mon blog: "Ce n'est que depuis la mi-janvier 2010 que l'on a inscrit au début de jugement, "ANONYME"au lieu de mon identité complète, et ce, à une demande à la Commission d'accès à l'information, pour que soit enlevée le diagnostic du pire cancer de la maladie mentale qui n'avait absolument rien à voir avec les séquelles d'entorses au dos compensées en 1983 par la CSST. Depuis 2002, on a publié mon identité complète, ainsi que dans une revue publiée sur tous les jugements du Tribunal CLP. Mon identité complète est de toute façon inscrite quelques lignes plus-bas dès le début du jugement, ce qui n'a pas servit à grand chose de faire ce pas auprès de la Commission d'accès à l'information. Encore une démarche administrative qui n'a rien donné du tout ! ") PARTIE REQUÉRANTE et COMMISSION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL - QUÉBEC PARTIE INTÉRESSÉE DÉCISION [1] Le 23 août 2002, la Commission des lésions professionnelles rendait une décision dans laquelle s'est glissée une erreur de transcription. [2] Au paragraphe 18, on lit : [3] Au mois d'avril 1993, elle tente de mettre fin à ses jours en absorbant une forte quantité de médicaments. À cette occasion, elle tombe dans sa baignoire et y demeure pendant une période approximative de 48 heures. Par la suite, elle présente une atteinte au plexus brachial gauche par compression avec neuropathie axonale des deux nerfs sciatiques. ( Note personnelle ajoutée de Patricia pour mon blog: "L'important est que j’ai rejeté du revers de la main, toutes idées suicidaires en ajoutant sagement « pour aujourd’hui seulement ». La raison principale étant que depuis 2001, les pires douleurs physiques chroniques sont maintenant soulagées de 50%. Je pourrais les soulagées à 90%, mais je préfère endurer tout ce qui est possible, afin de ne pas trop être engourdie. De 1981 à 2001, vous n’avez pas idée de ce que j’ai enduré comme souffrances physiques insoutenables. Qui en aurait pas fait autant, s’il avait vécu un jour seulement, dans ma chair et dans mon esprit ? Croire à 100% que l’on ne fera jamais la bêtise de se rendre jusqu’au suicide, serait simplement un mirage et de l’orgueil spirituel. On ne sait jamais à quelle minute une personne peut perdre la boule, ne serait-ce que pendant quelques secondes de sa vie. Cela peut survenir à tout le monde, même aux personnes les plus saines de corps et d’esprit. Lire le texte plus-haut intitulé: Pour en finir avec le suicide. Une parole philosophique de Vince Lombardi: "L'important, ce n'est pas que vous soyez tombés; Ce qui est important, c'est que vous vous soyez relevé". [4] On aurait dû lire : [5] Au mois d'avril 1993, elle tente de mettre fin à ses jours en absorbant une forte quantité de médicaments. À cette occasion, elle tombe dans sa baignoire et y demeure pendant une période approximative de 48 heures. Par la suite, elle présente une atteinte au plexus brachial gauche par compression et une neuropathie axonale des deux nerfs sciatiques. ( Note personne ajoutée de Patricia pour mon blog: "Des monstrueuses bureaucraties administratives complexes et inhumaines, empruntées pendant: 2 ans à la CSST de 1981 à 1982, avec réouverture administrative refusée vers 1985. La raison de la CSST à cette période-là: refusée à cause d'une malformation congénitale dépistée par un neurochirurgien, mais qui plus tard comme écrite plus-bas, on a tenté de faire passer pour une hernie discale. Sauf qu'après avoir tenté à nouveau une réouverture de 2000 à 2004 et à travers les Tribunaux CLP et TAQ, la CSST a tenté de trouver autre chose qu'une malformation congénitale, et ce, à travers tous les documents médicaux, par exemple, comme une petite hernie discale lombaire que des médecins ou spécialistes appelaient ainsi, n'ayant pas vu ce rapport du neurochirurgien classé dans plusieurs tablettes filières 13, comme une "neuropathie axionale des deux nerfs sciatiques" ajoutée au jugement du CLP et en première coulisse en plus. Je note qu'après cet accident de travail en 1981, même le médecin traitant me disait que je ne devrais pas marcher lorsque la jambe gauche me lâchait. Ça poignait les nerfs principaux du bas du corps et seuls ceux qui ont vécus ce phénomène peuvent comprendre l'intensité des douleurs aux dos et aux jambes. Je n'ai pas eu la chance, comme bien d'autres, d'aller au Bureau des Miracles (BEM). Aussi, il y a eu 7 ans de démarches administratives devant le Palais des injustices, soit au Collège des Médecins du Québec, l'Office des Professions et au Tribunal des Professions. Ce fut une perte d'argent, non seulement pour moi, mais pour toute la population qui en fin du compte en paie aussi le prix à travers leurs taxes et impôts. Ce fut évidemment une énorme perte d'énergie, d'argent et de temps. Mais, comme dit la chanson de Édith Piaf, je ne regrette absolument rien du tout, car vous trouverez dans un de mes textes du même titre, une lettre du Protecteur du Citoyen qui est un peu consolante pour moi et pour le peuple Québécois. Mais l'avocate au Protecteur du Citoyen m'a affirmé en l'a 2000, que je ne supporterais même pas de savoir tout ce qui a été modifié dans le système des lois professionnelles, suite à avoir ajouter ma goutte d'eau personnelle. Mais, dites-moi quelqu'un, qu'est-ce qui a réellement changé ? " Me Claude Lavigne Commissaire PANNETON LESSARD (Me Line Régnier) Représentant de la partie intéressée Note Personnelle ajoutée de Patricia pour mon blog: "Il y a deux semaines, j'ai écrit à la Commission d'accès à l'information qui m'a référé à un avocat, à qui j'ai demandé que l'on raye à travers ce jugement du Tribunal CLP, un diagnostic en santé mentale. Celui-ci n'a rien à voir avec les séquelles d'entorses au dos, compensées par la CSST en 1983. La seule expertise que je possède mentionne des troubles d'anxiétés et de paniques suite à un choc émotif survenu en octobre 1984. Après cet accident de travail de 1981 avec la CSST, j'ai commencé à vivre de l'anxiété et j'ai reçu pendant trois semaines, des anti-dépressifs. Ce choc émotif fut reconnu par un expert psychiatre en 1986, comme ayant aggravé les douleurs au dos de cet accident de travail, et etc. Seule une seconde expertise semblable pourra réellement établir la réalité du cancer de la maladie mentale. C'est que depuis mars 1999, j'ai terminé mes remèdes et mes soins pour ces troubles non négligeables. Je ne nie absolument pas avoir atteint le fond de l'enfer de la maladie mentale, mais vu que cette grave maladie du cancer de la maladie mentale ne se guérirait pas...à suivre. On m'a dit que c'était impossible de changer un seul mot à travers un jugement du Tribunal CLP, et que l'on enlèverait plutôt mon identité complète au début du jugement. Finalement, cela ne donne absolument rien du tout, car on note mon identité complète dans les premières lignes de ce jugement. En plus, une revue publique est disponible au sujet de ces jugements du Tribunal de la Commission des lésions professionnelles du Québec (CLP). En réalité, je suis à la grandeur de l'internet, donc internationalement, et dans la revue publiée sur tous les jugements de ce Tribunal administratif, traitée comme une personne atteinte du pire cancer de la maladie mentale. J'ai rayé ce diagnostic dans ce jugement publié ici, mais j'aborde ailleurs le sujet, histoire de ne plus jamais rester isoler dans cette honte, mais surtout, de tenter de retrouver un once seulement de dignité humaine et de réputation; si dignité humaine et réputation, il me reste. Je mentionne aussi que je ne prends plus aucun remède pour la dépression et/ou maladie mentale et aucun suivit en ce sens, depuis mars 1999. Même les remèdes "Ativan" pour diminuer l'anxiété et "Restoril" pour dormir, ne font plus partie de ma vie depuis maintenant 1 an. Suis-je une miraculée ? Suis-je une femme exceptionnelle comme le film: L'homme d'exception ? Suis-je en rémission ? Où se pourrait-il aussi que je n'ai jamais été atteinte du cancer de la maladie mentale ? Parce que l'on a mit ce diagnostic dans des conditions assez nébuleuses, dont je cite brièvement dans ce jugement, mais à travers mes notes...car ce diagnostic fut mis après 3 minutes de consultation avec le psychiatre Métivier qui est en étroit lien de parenté avec un médecin de la clinique médicale où je fus expulsée avec ma famille en 1984, et ce, pour avoir porter une plainte contre un médecin qui travaille en étroit lien de parenté avec le psychiatre en question. Je précise ici que je demeure en région, et pas dans une grande ville comme Québec, Montréal ou Paris. Comme si ce n'était pas suffisant, il a écrit noir sur blanc, que ma première pensée à caractère paranoïaque fut vécue en lisant la brochure intitulée: Vous pouvez porter plainte contre un professionnel...cela en 1982 alors que j'attendais pour recevoir en milieu hospitalier, des traitements en physiothérapie. Le psychiatre Métivier m'a pourtant vu la première fois, en 1991, et dix ans plus tard, il a ajouté cela à mon dossier médical, sans même consentir à ce que je me confie sur la saga médiatique d'in- intérêt public. Une faillite financière personnelle a suivit le tout, en plus de bouleverser entièrement ma vie personnelle, médicale, familiale et pro- professionnelle. Je désirais comprendre et il ne voulait pas m'entendre. En psychiatrie privée, ça m'aurait coûté 300$ la visite, mais au moins, le psychiatre aurait écouté ce que je devais enfin confier. Bien sûr, si j'avais eu les moyens financiers de me payer le Psychiatre Mailloux, je l'aurais fait sans hésitations aucune. Deux professionnels retraités ont étudiés mon histoire médicale, et ont dit tous les deux que l'on avait plutôt essayé de me faire passer pour une folle. Dans une première expertise psychiatrique passée par un psychiatre tout à fait neutre, je souffrais de troubles importants d'anxiétés après l'accident de 1981 qui se sont aggravés de 50% après le choc émotif de 1984, suite à l'abandon ressentit par la perte de mon médecin traitant, et toutes les démarches administratives juridiques devant le Collège des Médecins du Québec qui pouvaient aussi empirer le tout, etc. Le Comité de discipline du Collège des Médecins du Québec a refusé que soit déposée en preuve, cette importante expertise psychiatrique. Il faut considérer que cette démarche consistait à démontrer ce choc émotif et les dommages. Donc, que je sois folle ou pas aussi folle que l'on a tenté de me le faire croire, je suis tout de même identifiée comme une personne atteinte du pire cancer de la maladie mentale, à travers ce jugement et dans mes dossiers médicaux jusqu'en mars 1999 ? Une seconde expertise psychiatrique viendra, dès que je serai en mesure de me la payer. J'ai pris soin de rayer sur ce blog, les identités complètes du Dr Sansouci et de Laterreur". ) Pensée du jour: "À une politique de lâcheté, il faut substituer le respect du droit et de la justice." ( Me Émile Colas 19-06-98 ) COMMISSION DES LÉSIONS PROFESSIONNELLES RÉGION: Chaudière-Appalaches LÉVIS, le 23 août 2002 DOSSIER : 185512-03B-0206 DEVANT LE COMMISSAIRE : Claude Lavigne Avocat ASSISTÉ DES MEMBRES : Jean-Guy Guay Associations d’employeurs Réal Binet Associations syndicales ASSISTÉ DE L'ASSESSEUR : Dr Jean Tremblay DOSSIER CSST : 077666121 AUDIENCE TENUE LE: 13 août 2002 À: Lévis ANONYME PARTIE REQUÉRANTE et COMMISSION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL – QUÉBEC PARTIE INTÉRESSÉE DÉCISION [1] Le 5 juin 2002, madame Patricia Turcotte (la travailleuse) dépose à la Commission des lésions professionnelles une requête, par laquelle elle conteste la décision rendue le 16 mai 2002, par la Commission de la santé et de la sécurité du travail (la CSST), à la suite d'une révision administrative. [2] Par cette décision, la révision administrative confirme la décision rendue initialement par la CSST le 23 juillet 2001, décision par laquelle elle refuse la réclamation de la travailleuse pour une récidive, rechute ou aggravation survenue le 10 avril 2001. ( "Note personnelle ajoutée de Patricia pour mon blog: « Finalement, c’est une histoire de limitations fonctionnelles reconnues en 2001 par l’expert au dossier, et ce, dès l'accident de 1981, mais jamais reconnues par la CSST lors du règlement final en 1983. » ) [3] Audience tenue le 13 août 2002 en présence de la travailleuse. La CSST est, pour sa part, représentée par Me Line Régnier. L'OBJET DE LA CONTESTATION [4] La travailleuse demande à la Commission des lésions professionnelles d'infirmer cette décision rendue le 16 mai 2002 par la CSST, à la suite d'une révision administrative, et de déclarer qu'elle présente bel et bien, le 9 janvier ou le 10 avril 2001, une lésion professionnelle à titre de récidive, rechute ou aggravation de ses lésions professionnelles vécues le 19 octobre 1981. LES FAITS [5] La travailleuse, aujourd'hui âgée de 46 ans, est impliquée le 19 octobre 1981 dans un accident de la route lorsqu'elle se fait heurter sur le côté gauche en allant rencontrer un client dans le cadre de sa fonction de courtier en assurance-vie. [6] Elle est traitée pour une entorse cervicale et une entorse lombaire et est soumise à une investigation radiologique sous forme de myélographie le 23 août 1982 qui démontre une anomalie congénitale des racines conjointes au niveau L5-S1 du côté gauche. [7] Appelé à la demande de la CSST à évaluer la condition physique de la travailleuse, le docteur Claude Blouin, le 13 octobre 1982, consolide les lésions au 13 octobre 1982 avec un déficit anatomo-physiologique de 2 %. Il adhère à la suggestion faite par le docteur Arsenault quant à la reprise du travail à temps partiel. [8] À la demande du représentant de la travailleuse, le docteur Raymond Lemaire l'examine le 18 février 1983 afin d'évaluer les séquelles laissées par cet accident du travail du 19 octobre 1981. À cette occasion, le docteur Lemaire reconnaît un déficit anatomo-physiologique de 4 % à la travailleuse dont 2 % pour entorse cervicale et 2 % pour entorse lombaire. Il suggère une rencontre avec le service de réadaptation sociale de la CSST, afin qu'un arrangement soit pris pour une tentative de retour au travail à temps partiel. ( Note personnelle ajoutée de Patricia: « Aucune considération pour la recommandation d’une tentative de retour au travail à temps partiel, avec le service de réadaptation sociale de la CSST. Ce fut aussi recommandé par un autre médecin ou spécialiste de la CSST. Les séquelles reconnues légalement ne concernent bien que des séquelles cervicales et lombaires, et non le cancer de la maladie mentale. ») [9] Le 12 avril 1983, le docteur Normand Gagnon, orthopédiste, conclut à des séquelles de contusions cervicale et lombaire, pour lesquelles il recommande un déficit anatomo-physiologique de 2 % . Il soumet que la travailleuse peut reprendre le travail. [10] Le 19 août 1983, le docteur André Gilbert, chirurgien orthopédiste, confirme, pour sa part, le déficit anatomo-physiologique de 4 % dont 2 % pour l'entorse cervicale et 2 % pour l'entorse lombaire. [11] Le 29 septembre 1983, la CSST écrit à la travailleuse pour l'informer qu'elle conserve une incapacité partielle et permanente de 4 % des suites de cet accident du travail vécu le 19 octobre 1981. [12] Par la suite, la travailleuse consulte sur une base régulière, différents médecins pour des douleurs à ses régions cervicale et lombaire. [13] En 1984, la travailleuse entreprend une démarche auprès de la Corporation professionnelle des médecins du Québec contre les docteurs Sansouci et Laterreur. Le 17 novembre 1987, le Comité de discipline, composé de Me Gaston Savard, de la docteure Michelle-Lucie Montplaisir et du docteur Yves Dagenais, accueille deux des quatre chefs d'accusation portés contre le docteur Samson, décision que le Tribunal des professions modifie le 20 février 1990. Le Tribunal des professions acquitte le docteur Sansouci des deux chefs d'accusation et condamne par le fait même la travailleuse, aux déboursés en première instance et en appel, incluant les frais de sténographie. ( Note personnelle ajoutée de Patricia pour mon blog: "J’ai aussi modifié les noms complets des deux hommes d’affaires du domaine médical." ) [14] Il s'ensuit une facture que la travailleuse n'est pas en mesure d'acquitter, d'où sa faillite personnelle en 1990. ( Note personnelle ajoutée de Patricia pour mon blog: « La plainte devant le Comité de Discipline ne concernait que le Dr Sansouci, et non pas Laterreur qui n’a pas été amené au Comité de Discipline, mais seulement devant le syndic du Collège des médecins; choix de mon avocat et qui n’y allait pas devant ce Comité, sans réserver mes droits en dommages et intérêts au civil. Cette cause est un scandale à dénoncer, et qui a aussi coûtée très cher à la population qui en paye aussi le prix financier.») [15] À partir du 29 mars 1990, la travailleuse se fait suivre pour un problème d'anxiété. Toutefois, après de multiples consultations…. .la travailleuse se voit reconnaître invalide par la Régie des rentes du Québec en mars 1993 pour cette condition.( Note ajoutée de Patricia pour mon blog:….J’AI ENLEVÉ LE DIAGNOSTIC QUI AURAIT DÛ TOUJOURS RESTÉ CONFIDENTIEL…).la travailleuse se voit reconnaître invalide par la Régie des rentes du Québec en mars 1993 pour cette condition. ( Note personnelle ajoutée pour le blog de Patricia: « C’est bien écrit noir sur blanc dans mon dossier médical, que le diagnostic de la santé mentale a une cause initiale. Ce psychiatre en étroit lien de parenté avec un des médecins de la clinique médicale du Dr Sansouci et de Laterreur, a trouvé la cause première de ce diagnostic en santé mentale, soit lorsque j’ai eu ma première pensée intime de porter plainte contre Laterreur pour un événement survenu en milieu hospitalier. [16] Entre-temps, la travailleuse divorce et la garde de son enfant est confiée à son mari en 1991. ( Note personnelle ajoutée pour le blog de Patricia: « « C’est moi-même qui a choisit dans l’ harmonie, de quitter le foyer familial et conjugal, en laissant mon fils avec son père. Une thérapie familiale avec mon fils de 12 ans et mon conjoint a suivit pendant plus de 10 ans. Je suis partie pour retrouver des forces d’endurer des douleurs atroces au dos, qui ont été découvertes seulement en 1997 et dont une chirurgie importante a suivit à la hanche gauche. Le diagnostic fut établit seulement en 2001 à Québec, suite à mon déménagement en 1999. L’autre raison principale de ce départ du foyer familial et conjugal, fut que je n’avais plus à faire subir aux miens, mon besoin vital de me confier à propos des complexes démarches devant le Collège des Médecins et le Tribunal des Professions. Après tout, même le psychiatre Métivier en conflits d’intérêts refusait carrément de m’écouter sur ce sujet dont je n’ai même pas pu lui dire un mot. Pourtant, son diagnostic fut mis rétroactivement dix ans avant de me consulter. Heureusement qu’à la fin de mars 1990, le bon Psychiatre Melançon a bien voulu m’entendre à ce propos, mais peu, vu l’état minable dans lequel je me trouvais. Il est même indiqué dans mon dossier médical qui était toujours demeuré dans les filières 13 de l’hôpital, qu’à peu près tout le personnel de l’hôpital se sent très mal en l’aise. C’est que Laterreur et le cousin propre du psychiatre Métivier, travaillaient à cet hôpital. Des recherches qui ont portées fruits pour m’aider à guérir les blessures psychologiques de ce drame. Je n'ai jamais pu changer de psychiatre. Le médecin traitant Dr Tarzan m'a dit de lui trouver deux qualitées, et sinon, il accepterait de me changer de psychiatre. Lors d'une rechute en santé mentale, et je précise ici que c'était souvent causée par le degré de douleurs physiques qui était intolérable, mais on ne me croyait pas, jusqu'à ce qu'un évènement déclencheur me conduise en santé mentale. Donc, je lui ai trouvé deux qualitées en lui disant tout cela: il me faisait confiance de me laisser aller au Restaurant du village, après seulement deux jours d'hospitalisation, et lorsque je lui ai dis, j'ai découvert tout à coup, ses beaux yeux bleus. Par la suite, c'est lui-même qui m'a transféré à sa collègue de bureau, question de territoire. Je pourrais écrire des dizaines de romans sur cela. Etc…») [17] Le 5 mai 1992, la travailleuse a un accident d'automobile qui nécessite une hospitalisation à l'Hôpital de St-Georges de Beauce. Elle est traitée principalement pour un choc nerveux. ( Note personnelle ajouté pour le blog de Patricia: « Voir dans le contenu des articles intitulés: La justice administrative qui rend fou 1-2, la suite complète de ce second accident d’automobile au travail, car la voiture a été finie pour la cour de scrapt et on n’a jamais pris au sérieux, les importantes douleurs aux jambes que je ressentais être enfoncées dans mon bassin, comme les 4 roues de la voiture s’étaient enfoncées complètement dans le fond de l’automobile. Aucune radiographie du bassin, des hanches et des jambes ne fut passée à l'urgence de l'hôpital, mais je fus envoyée encore une fois en psychiatrie pour le choc nerveux. Une fracture du bassin fut découverte en 1996 par un physiatre et à la radiologie de l'hôpital, on me disait que tout était normal sur la radiographie. La CSST m'a demandé au début de la réouverture du dossier en 2000, pourquoi je n'avais pas envoyé cette mention d'accident? J'ai répondu que je ne me souvenais même plus des détails de cet accident. Il a fallu que je consulte le fond de ma mémoire. Finalement, aucun rapport médical ne fut envoyé à la CSST, et j'ai fait sortir le rapport de police venu sur les lieux, pour l'envoyer à la CSST et au Tribunal CLP, avec tous les documents que je trouvais ici et là dans les filières 13 des cliniques médicales et des hôpitaux. ») [18] Au mois d'avril 1993, elle tente de mettre fin à ses jours en absorbant une forte quantité de médicaments. À cette occasion, elle tombe dans sa baignoire et y demeure pendant une période approximative de 48 heures. Par la suite, elle présente une atteinte au plexus brachial gauche par compression avec neuropathie axonale des deux nerfs sciatiques. ( Note personnelle ajoutée de Patricia pour mon blog: "Ce que l'on a découvert de mentionné plus-haut, on l'a trouvé tout à fait par pur hasard. Cela ne signifie pas que ça provient des suites de ma tentative de suicide, comme a tant essayé de me le faire accroire la CSST. J'ai été transférée à un hôpital de Québec pendant 3 semaines, pour un abcès pulmonaire qui était la conséquence de cette tentative de suicide, en plus de faire de la physiothérapie pendant 9 mois, pour mon bras gauche...et non pas pour une neuropathie axonale des deux nerfs sciatiques. Un neurochirurgien de Québec a d'ailleurs diagnostiqué cela en 1985, comme une anomalie congénitale des racines nerveuses S1-L5. À première vue pour les lecteurs de ce jugement, tout semble être relier à ma tentative de suicide, mais ce n'est absolument pas le cas. Voir le détail complète de mon commentaire suite au commentaire de Mutuelle, sur mon blog. ") [19] Le 23 août 1996, la travailleuse passe une tomographie à sa région lombaire qui suggère la présence d'une petite hernie discale centro-latérale gauche au niveau L5-S1. ( Note personnelle ajouté de Patricia pour mon blog: "Encore une fois, on cite ce diagnostic plutôt que de mentionner une anomalie congénitale des racines nerveuses, rapport médical qui était resté coincé dans les tablettes de mon ancien dossier à la CSST. C'est même moi qui a tout trouvé en payant mes dossiers médicaux plus de 500$, pour une expertise d'un spécialiste orthopédique. À la CSST, on prenait ce qui faisait leur affaire et on laissait le reste de côté. De mon côté, j'envoyais tout ce que je découvrais, sauf ce que j'ai trouvé par la suite comme pot aux roses. Voir le même commentaire cité plus haut.") [20] En 1997 et plus particulièrement au mois d'août 1997, on identifie au niveau de sa tête fémorale gauche une nécrose qui donne lieu à une implantation d'une prothèse totale de la hanche gauche le 22 août 1997. ( Note personnelle ajoutée par Patricia pour mon blog: « Et oui, je souffrais depuis cet accident de travail de 1981, de douleurs très intenses diagnostiquées comme des séquelles d'entorses au dos. Sauf que, j'étais bien la seule à croire qu'il y avait autre chose de très bizarre dans le bas de mon dos. Voilà que le 08 août 1997, j'entre à l'hôpital pour douleurs encore atroces. On trouve sur une simple radiographie des hanches suivit d'un scanneur osseux, ma hanche gauche complètement démolie et pourrie jusqu'à l'os. On a même prénommé au laboratoire de l'hôpital, le morceau pourrit enlevé: Spécimen Patricia Turcotte. Jamais depuis 1981, je n'avais passé de radiographies au bassin et aux hanches; à part en 1996. Personne ni même à la CSST, on ne peut savoir d'où provient ce diagnostic de nécrose avasculaire de la hanche gauche. Question de dignité humaine, je me suis battue comme une madone dans l'eau bénite, pour que l'on cesse de tout dire que ces bobos provenaient des suites de ma tentative de suicide. J'ai pris l'entière responsabilité de ce geste, mais je redonnerai jusqu'à mon dernier souffle de vie, la responsabilité qui ne m'appartenait pas tout à fait complètement. Qui dans une situation comme la mienne, n'aurait pas dit qu'elle a possiblement été poussée au suicide ? L’expert qui a rendu son expertise payée par l’Aide juridique et les contribuables, dont on parle souvent dans ce jugement CLP, a reconnu que l’histoire de la hanche est nébuleuse au dossier médical. J’ajoute c’est exactement la même chose pour le diagnostic de la maladie mentale mis dans des conditions plutôt très nébuleuses. Cela sera sûrement confirmé dès que je serai en mesure de me payer une seconde et dernière expertise psychiatrique. » ) [21] Le 2 octobre 1997, le docteur Donald Rivest, neurologue, procède à une étude électrophysiologique chez la travailleuse. De cette étude, il retient que la travailleuse présente une légère neuropathie axonale mixte des membres inférieurs sans signe de dénervation active. ( Note personnelle de Patricia pour mon blog: « Personne n’a jamais pu identifier d’où provenait ce diagnostic, comme bien d’autres ajoutés à part les séquelles d’entorses au dos compensées avec la CSST. Après cet accident d’auto au travail de 1981, j’ai passé après 2 mois seulement,, une simple radiographie au dos et bien plus tard, un Taco ordinaire qui a conduit aux séquelles d’entorses cervicales et lombaires évaluées en 1983 par la CSST. Pourtant, j’avais des pertes de mémoires importantes, des bleus sur les jambes pendant près d’un an, la jambe gauche qui lâchait et qui faisait très mal, comme on a mis de côté les douleurs dorsales qui m’ont conduite à une chirurgie de réduction mammaire bilatérale à la fin 1982, pour diminuer les douleurs dorsales reconnues par la CSST mais jamais évaluées. Pourtant, cette chirurgie fut conseillée par la collègue du Dr Sansouci, en son absence. L’expert a aussi reconnu des limitations fonctionnelles depuis cet accident de travail de 1981. À la fin de 2002, j’ai été reconnue comme une personne handicapée physique, depuis cet accident de travail de 1981, mais jamais reconnu par la CSST qui mentionnait aucune limitation fonctionnelle, dans le règlement final. » ) [22] Ce même jour, le docteur Jean-Maurice D'Anjou examine la travailleuse. Il croit que les douleurs résiduelles chez la travailleuse proviennent d'un syndrome facettaire touchant les régions L4-L5 et L5-S1 droite et gauche. Note personnelle ajoutée de Patricia pour mon blog: « J’avais apporté la radiographie du bassin passée à l’hôpital en 1996, où le résultat indiquait que je n’avais rien et que tout était normal. Pourtant, celui-ci a immédiatement vu sans l’ombre d’un doute, une fracture évidente au bassin. Lorsque j’ai soulevé ce point au médecin traitant, je me suis fait dire sérieusement mais poliment, de ne plus jamais soulever ce point-là. Y faut dire que tout cela se vivait dans ma région natale, et pas dans une grande ville comme Québec, Montréal ou Paris ».) [23] Le 8 octobre 1997, la travailleuse passe cette fois une résonance magnétique au niveau de sa région lombaire qui témoigne d'une discopathie dégénérative légère au niveau L5-S1 sans autre anomalie significative. La radiologiste, la docteure Renée Auger, écarte ainsi le diagnostic de hernie discale à ce niveau. Note personnelle ajoutée de Patricia pour mon blog: « Voilà, c’est exactement ce que mentionnait le neurochirurgien, que c’était une malformation congénitale des racines nerveuses L5-S1. Ce rapport était resté coincé dans la filière 13 des vieux dossiers médicaux de 1997 à 1984 à la Clinique où j’ai dû divorcé du Dr Sansouci. Je me suis fait soulevé à plusieurs reprises par la CSST, que le tout venait de ma tentative de suicide. Je me suis battue envers et contre tous, question de dignité humaine et de justice humaine. Qui dit que tous cela ne provenait pas de l’accident de travail de 1981. On ne voit pas tout avec une radiographie passée après 2 mois d’un accident de voiture. Si on veut vraiment penser à la santé et à la sécurité au travail, il faut réellement passer des examens sérieux et complets immédiatement dans les jours qui suivent l’accident de travail; du moins à mon avis personnel de citoyenne. ») [24] De janvier 1998 à janvier 2001, la travailleuse consulte approximativement 25 médecins différents, dont entre autres la docteure Angèle Turcotte, rhumatologue qui, le 12 juin 2000, rédige un rapport adressé au docteur Paradis en ces termes: « Diagnostic: Patiente qui aurait présenté une nécrose avasculaire gauche documentée en 97 pour laquelle elle a subi un remplacement total de hanche gauche. L'étiologie demeure imprécise. À noter la notion d'un accident de la circulation en octobre 81 pour lequel elle aurait consulté pour une lombosciatalgie gauche. Pourrait-il s'agit d'une nécrose avasculaire post-traumatique à présentation atypique documentée ultérieurement? La patiente demeure avec une coxalgie et limitation résiduelles ainsi qu'un léger flexum. Lombalgie chronique avec notion d'une hernie discale lombaire centro-latérale gauche L5-S1 en 96 recontrôlée à la tomodensitométrie en octobre 99 avec les mêmes trouvailles. Cliniquement, il n'y a pas d'évidence de radiculopathie, myélopathie compressive actuellement. Je n'ai pas d'évidence d'arthropathie inflammatoire surajoutée chez cette patiente malgré les captations articulaires documentées en mai 99 à la scintigraphie. Évaluation : Il s'agit donc d'une patiente âgée de 44 ans qui présente des lombalgies chroniques pour lesquelles on aurait déjà documenté à deux reprises à la tomodensitométrie une hernie discale centro-latérale gauche L5-S1. Elle ne présente pas de sciatalgie franche actuellement et pas de déficit sensitivo-moteur. Elle est également connue pour une nécrose avasculaire de la hanche gauche qui aurait été documentée en 97 pour laquelle elle a subi un remplacement total de la hanche gauche avec coxalgie résiduelle. Elle aurait présenté des crises douloureuses périodiques récemment améliorées surtout depuis 6 mois. Elle présentait surtout un tableau de myalgies diffuses associées avec courbature matinale. Par ailleurs, le questionnaire immunologique est tout à fait négatif. Elle ne présente aucun symptôme suggérant une spondylarthropathie secondaire, aucun antécédent d'urolithiase. Son syndrome polyalgique semble avoir débuté en 1982. À l'examen physique : La patiente présente une surcharge pondérale, 170 livres. Elle présente également des douleurs facettaires L5-S1 bilatéralement ainsi qu'une douleur localisée de type myofascial au niveau du trapèze à droite. La mobilité du rachis est par ailleurs bien conservée. L'examen vasculaire est peu révélateur de même que l'examen systémique. Je suspecte un flexum de la hanche gauche avec limitation résiduelle de la flexion à 80°, rotation externe 5°, rotation interne 0°. Elle présente également une légère atrophie résiduelle de son membre inférieur. J'ai visualisé les radiographies de mars 2000 qui révèlent effectivement une arthrose facettaire L5-S1 bilatéralement, plus marquée à droite associée à un pincement. Suggestion : J'ai donc remis à la patiente un programme de protection axiale. Je lui ai fortement suggéré de réduire sa surcharge pondérale. Je lui ai suggéré d'utiliser du Vioxx 25 mg sur une base périodique. Comme cette patiente est déménagée récemment, je suggèrerais une référence à l'attention du docteur André Girard, orthopédiste, pour un suivi de sa prothèse. Comme l'étiologie de sa nécrose avasculaire est probablement post-traumatique mais pas clairement établie, je suggèrerais de compléter l'investigation par un bilan lipidique lors de ses prochains prélèvements de même qu'un contrôle du bilan phosphocalcique. Je la reverrai donc au besoin avec grand plaisir et j'espère que ces renseignements seront à votre entière satisfaction. » [sic] [25] Le 9 janvier 2001, la docteure Turcotte écrit cette fois au docteur Genest en ces termes : « (...) Vous trouverez copie du rapport de consultation initiale à l'attention du docteur Johanne Paradis. Il s'agit donc d'une patiente qui aurait présenté une nécrose avasculaire de la tête fémorale gauche post-traumatique probable pour laquelle elle a dû subir un remplacement total de la hanche gauche en août 97. Elle demeure avec un flexum résiduel ainsi qu'une douleur résiduelle au niveau de la hanche. La patiente a été dirigée à l'attention du docteur André Girard, orthopédiste de l'Hôtel-Dieu de Québec pour le suivi de sa prothèse et il semble que les radiographies étaient tout à fait satisfaisantes et qu'elle nécessitera un suivi sur une base annuelle. Elle présente également des lombalgies de type mécanique favorisées par une attitude hyperlordotique ainsi que des répercussions biomécaniques en raison de son flexum au niveau de la hanche avec flexum. Elle présente également une surcharge pondérale (164 livres) qui pourrait être également un facteur contributoire. Actuellement, il n'y a aucun signe de radiculopathie, myélopathie compressive. Recommandation : La patiente a déjà reçu toute l'information concernant un programme de protection axiale. Elle doit tenter de réduire sa surcharge pondérale. Malheureusement, elle semble peu améliorée par la prise de Vioxx qui lui occasionnait de la dyspepsie. J'ai donc prévu une sérologie pour H. Pylori compte tenu des sensations de brûlures au niveau des membres inférieurs non spécifiques. Elle aura également un dosage de l'acide folique, vitamine B12 avec copie à votre attention. Sur le plan thérapeutique, j'ai débuté du Célebrex 200 1 co. 2 fois par jour ainsi que du Prévacid 30 mg id. Elle aura un contrôle de la radiographie de la colonne lombaire, du bassin, de la hanche gauche avec copie à votre attention et sera suivie par le docteur Girard sur une base annuelle. Je la reverrai pour ma part au besoin avec grand plaisir. » [sic] Note personnelle ajoutée de Patricia pour mon blog: « Pour cette mention d'avoir consulter 25 médecins, c'est moi-même qui avait remis à la CSST et au Tribunal CLP; toutes les visites médicales reçues à ma demande, de l'assurance-maladie du Québec. Je noterai bientôt, le nom des médecins traitants que j'ai eu depuis ma naissance et jusqu'à ce jour, et les raisons. Vous pourrez constater que je n'ai jamais changé de médecin traitant, sans raisons majeures. majeures des changements. Qui n’aurait pas eu au moins 25 médecins et spécialistes à son dossier médical ? Actuellement, je vois 2 à 3 fois par année le médecin traitant, parce que celui-ci a fait finalisé des diagnostics qui traînaient en longueur depuis belle lurette, en plus de mes démarches administratives personnelles avec la CSST et les Tribunaux CLP et TAQ. Vu 25 médecins…..Surtout que l’on avait jamais dans ma région, finalisé les diagnostics suggérés par le spécialiste du laboratoire après la chirurgie de la hanche de 1997, soit la maladie de Paget ou nécrose vasculaire de la hanche gauche. Les mêmes douleurs reprenaient en plus vers la droite, et on recommençait à me dire que c’était encore psychologique. J’ai été à l’urgence à 2 ou 3 reprises, donc on a noté tous les médecins de l’urgence et ceux référés aussi. Aussi, j’ai décidé qu’il était temps de réaliser un vieux rêve d’enfance, soit de déménager à Québec, et en profiter pour me retrouver un médecin en qui j’aurais grande confiance au point d’écrire un roman médical de 10 pages. Tout comme dans le jugement du Tribunal des Professions rendu en février 1990, on se complaît à mentionner aussi que j'ai vu 25 médecins...etc. J'écris ci-dessous, tous les noms de mes médecins traitants depuis ma naissance, et jusqu'à ce jour du 29 janvier 2010. On verra bien que jamais sans raison majeure, je n'ai perdu du temps à changer de médecins traitant. Et, lorsque les patients ou clients sont transférés à des spécialistes, ou encore, travaillant sur la route à 200 km de leurs domiciles, ou en milieu hospitalier, 5 médecins et spécialistes les examinent, etc. il est normal de voir dans la fiche de l'assurance-maladie, qu'il y eu consultation auprès de 25 médecins. En plus, c'est moi-même qui avait remis au Tribunal CLP et à la CSST, la copie complète de mes documents médicaux obtenus de l'assurance-maladie du Québec (RAMQ), et ,e, pour démontrer comment il a fallu me battre comme une madone dans l'eau bénite, pour voir finaliser des diagnostics médicaux sur des importantes douleurs au dos insupportables depuis 1981. Le premier cité plus haut était super cool, mais de nature nerveuse et cela ne me convient pas pour ma personnalité. J’ai besoin de calme autour de moi. C’est donc le Dr cité en second dans les deux rapports de la spécialistes des os. Aussi, elle a enfin placé le diagnostic final jamais mis dans ma région, soit la nécrose de la hanche. Elle m’a dit en paroles, que c’était un os qui se serait presque sûr, cassé dans ma hanche, ce qui fait comme un infarctus, etc. L’important est qu’elle a enfin établit le vrai diagnostic médical à ma hanche. Quant à l’expert dans ce jugement, il a noté à un autre endroit pas cité dans le rapport, que ce peut aussi être à cause des injections de cortisone reçues pour soulager les douleurs au dos, mais encore là, rien de bien prouvable. J’ai dont entendu dire par la CSST, que tout pouvait provenir des suites de ma tentatives de suicide. Je me suis encore battue comme une madone dans l’eau bénite pour question de dignité et de justice humaine. Advenant que cela proviendrait de cela, on m’aurait fait passé des radiographies aux hanches et au bassin, après cette tentative de suicide de 1993, mais on m’a fait plutôt faire de la physiothérapie pour guérir mon bras et ma main gauche, et ce, pendant 9 mois. Je n’ai jamais eu plus mal au dos, après cette tentative de suicide. Mais j’ai eu mal en maudit aux deux jambes gauches, après le second accident d’auto au travail de l’automne 1992. On a diagnostiqué un choc nerveux. Et c’est vrai que j’en ai vécu tout un. Je me pensais morte en me voyant assis dans l’auto et moi debout à côté de mon corps. J’ai même demandé au policier si j’étais morte. Ce fut tout un choc nerveux qui n’a jamais été envoyé par le médecin de l’hôpital, à la CSST. Mais on n’a jamais pris au gros sérieux, ces sérieuses douleurs aux jambes. C’était terrible comment cela me faisait mal. Et, la douleur physique est le premier symptôme après un stress émotif ou nerveux, pour déclencher ce que le psychiatre Métivier avait mis comme diagnostic grave de la santé mentale.» À venir bientôt, la liste de tous les médecins traitants depuis ma naissance et jusqu'à ce jour:........ 1. Le Docteur Tarzan et en son absence, habituellement le Dr Francoeur ( de ma jeunesse jusqu'à mon déménagement pour raison de mariage, et pour raison que j'habitais à compter de juin 1977, dans sa ville natale. Qui prend mari prend aussi clinique médicale et pays. 2. Le Docteur Sansouci, et en son absence habituellement le Dr Murray de mon mariage dans la ville natale de l'élu de mon cœur, soit de 1977 jusqu'à sa demande de divorce que vous pourrez lire à travers les 2 textes intitulés: La justice administrative qui rend fou 1 et 2. D'ailleurs, ce texte est la suite de ces articles. 3. Après mon expulsion et celle de ma famille, de la clinique médicale du Dr Sansouci, j'ai bien dû à partir du 04 octobre 1984, partir à la recherche d'un véritable médecin traitant qui poursuivrait la continuité de mes soins médicaux en cours. Un médecin a consenti à une visite médicale d'urgence, mais m'a dit qu'il ne pouvait continuer, étant en conflit d'intérêt, vu que le Dr Laterreur de l'hôpital et la clinique en question, travaillait avec lui. Je vivais en région et non dans une ville comme Québec ou Montréal. Après 2 recherches pour les mêmes questions, je suis donc retournée voir le médecin de mon enfance et adolescence et jusqu'à mon mariage en 1977, et ce, à 60 milles aller-retour de ma ville où je demeurais en étant mariée. 3 a) Le Dr Laferrière qui a dû après quelques mois, déménagé dans la ville de Québec. Je suis donc retournée voir le médecin de mon enfance et adolescence et jusqu'à mon mariage en 1977, et ce, à 60 milles aller-retour de ma ville où je demeurais en étant mariée. 4. Je suis donc retournée voir le médecin Dr Tarzan qui m'avait suivit de ma jeunesse, jusquà mon mariage en 1977. Ensuite il a prit sa retraite environ en 1996. J'ai donc continué à la même clinique médicale avec le Dr Hébert, et ce, jusqu'à ce que décide de vivre mon rêve d'enfance, soit de déménager dans le magnifique ville de Sainte-Foy appelée Québec. 5. Le Dr Hébert de la même clinique vu le départ à la retraite du Dr Tarzan. 6. Déménagement à Sainte-Foy Québec, pour débuter avec le Dr Lancy, mais son tempérament nerveux ne me convenait pas tout à fait, même si celle-ci était très humaine et professionnelle. De plus, il fallait que je me confie par le biais de l'écriture romancée, pour raconter brièvement l'histoire de l'expulsion et de ce choc émotif qui a suivit, etc. Comme je n'y arrivais pas avec ce médecin, j'ai cherché plus loin, pour trouver enfin un médecin qui convenait, soit Dr Lévesque. Noter bien que je change tous les noms des professionnels de la santé. 7. Dr Lévesque depuis 2001 et jusqu'à ce jour. Enfin, les diagnostics au sujet de la chirurgie de ma hanche en 1997, furent établis. Ceux-ci nécessitaient en plus de la dégénérescence osseuse cervicale et lombaire et les douleurs d'entorses cervicales et lombaires, des puissants remèdes pour soulager au moins 50% des douleurs insoutenables depuis 1981. NOTE: Tous les autres professionnels de la santé inscrit aux dossiers, sont des transferts pour voir des spécialistes, ou des consultations en milieu hospitalier, ou bien, des visites en urgences alors que je me trouvais quelquefois à l'extérieur de ma ville, pour mon travail. Que l'on cesse de me harceler avec ces 25 médecins, dans les jugements des Tribunaux administratifs CLP, Tribunal des Professions et à la CSST. Je n'avais jamais eu mal au dos avant mon accident de travail de 1981. Ces notes ne sont qu'un once de thérapies et de justice, que je fais semblant de me donner. Cela achève car je pourrais passer toute ma vie, à me raconter avec preuves à l'appui, mais cela ne ferait que patauger dans la merde. [26] Le 17 février 2001, la travailleuse produit à la CSST une formule «Réclamation du travailleur» concernant une récidive, rechute ou aggravation vécue le 9 janvier 2001, récidive, rechute ou aggravation elle-même associée à cet accident du travail vécu le 19 octobre 1981. [27] Le 10 avril 2001, le docteur Genest complète un rapport médical sur formulaire de la CSST où il porte les diagnostics de cervicalgie et lombalgie chroniques chez la travailleuse, conditions pour lesquelles il lui prescrit des anti-inflammatoires et traitements de physiothérapie dans la mesure où la CSST les autorise. [28] Le 23 juillet 2001, la CSST écrit à la travailleuse pour l'informer qu'elle refuse sa réclamation pour récidive, rechute ou aggravation survenue le 10 avril 2001, décision que le représentant de la travailleuse, Me Jean Bellemare, porte en révision le 30 juillet 2001. [29] À la demande de ce même représentant, le docteur Jean-Marc Lépine, chirurgien orthopédiste, examine la travailleuse le 27 février 2002 afin d'évaluer les séquelles anatomiques et fonctionnelles qui résultent de cet accident du travail du 19 octobre 1981. On lui demande également d'émettre son opinion sur les diagnostics actuels et d’établir s'il y a aggravation des conditions cervicale et lombaire de la travailleuse le 10 avril 2001. Dans son expertise rédigée le 6 mars 2002, le docteur Lépine réfère à des limitations fonctionnelles qu'il relie aux séquelles laissées par cet accident du travail du 19 octobre 1981. En aucun moment, le docteur Lépine parle d’une récidive, rechute ou aggravation de la condition physique de la travailleuse le 10 avril 2001. Finalement, le docteur Lépine doute que l'accident du travail d'octobre 1981 soit responsable de cette nécrose de la hanche gauche de la travailleuse qui a nécessité une prothèse totale de la hanche au mois d'août 1997. ( Note personnelle ajoutée de Patricia: « Cet expert a écrit dans son expertise, que la nécrose vasculaire de la hanche gauche peut avoir été causée par des injections de cortisones reçues après cet accident de travail. ») [30] Le 16 mai 2002, la CSST, à la suite d'une révision administrative, confirme sa décision rendue le 23 juillet 2001, d'où la contestation introduite à la Commission des lésions professionnelles par la travailleuse le 5 juin 2002. [31] Avant que le présent tribunal ne procède à une audience de cette cause, la travailleuse lui transmet de nombreux documents afin de compléter son dossier (plus de 1 000 pages). À l'audience, la travailleuse livre témoignage. [32] De celui-ci, la Commission des lésions professionnelles retient que la travailleuse demeure avec des douleurs constantes aux régions cervicale et lombaire des suites de son accident du travail vécu le 19 octobre 1981. [33] Elle allègue que ces mêmes douleurs sont variables dans le temps avec pointes d'exacerbation surtout lorsqu'elle est stressée. ( Note personnelle ajoutée de Patricia pour mon blog: « Le choc émotif vécu le 04 octobre 1984, et dont je fais mention dans cet article, a augmenté de 50% selon l’expertise psychiatrique passée en 1986. Cela ne relève tout de même pas de la responsabilité de la CSST. ») [34] Lors de ces pointes d'exacerbation, elle fait usage de médicaments (Elavil, Célebrex et Tylénol) et doit alterner ses positions assise et debout aux 30 minutes. ( Note personnelle ajoutée de Patricia pour mon blog: « Je suis rendue depuis 2001-2002, aux remèdes dérivés de la morphine, que je veille à diminuer autant que possible. ») ( Note personnelle ajoutée de Patricia: Je n’ai jamais vu la CSST consentir de suivre la recommandation de ce Tribunal CLP, et il faut considérer que ce n’était qu’une recommandation et non un ordre. Il y a aussi de la dégénérescence osseuse cervicale et lombaire, qui selon l’expertise médicale, se serait éveillée suite à l’accident de travail de 1981. Elle était latente en moi, jusqu’à cet accident. Je n’avais jamais eu mal au dos avant cet accident de travail. Pas de chaussures orthopédiques ni soins de physiothérapie défrayés par la CSST. Je me débrouille avec le médecin traitant depuis 2001, qui veuille au bon soulagement des douleurs chroniques. Donc, je suis vraiment aux soins conservateurs / palliatifs à la maison, tel que le mentionne le jugement CLP. ») [35] Elle admet avoir repris son travail en 1982 au début à temps partiel et par la suite à temps plein. Elle réoriente sa carrière en 1985 pour celle de courtier en immeubles mais n'a jamais été en mesure d'obtenir les mêmes revenus qu'avant cet accident du travail du 19 octobre 1981. ( Note personnelle ajoutée de Patricia pour mon blog: « Des revenus de 4,000$, 3,000$, 0$, etc. Ça ne ressemble pas du tout à mes revenus annuels avant cet accident de travail, qui étaient de 20,000$. ») [36] Malgré le fait qu'elle se soit vue reconnaître invalide par la Régie des rentes du Québec, elle se trouve un emploi de gardienne autonome auprès de personnes touchées par des problèmes de santé mentale. Cet emploi lui procure un revenu de 50 $ par semaine, auquel s'ajoute un loyer gratuit. [37] Elle souhaite de tout cœur que la CSST puisse combler la perte financière qu'elle présente ou, à la limite, défrayer le coût des soins ou traitements reçus ou à recevoir pour ses régions cervicale et lombaire. L'AVIS DES MEMBRES [38] Le membre issu des associations d’employeurs de même que le membre issu des associations syndicales sont d'avis que la travailleuse ne présente pas de lésion professionnelle, le 9 janvier ou 10 avril 2001 sous forme de récidive, rechute ou aggravation. [39] Selon eux, la preuve médicale offerte dans ce dossier ne permet pas d'établir de signes cliniques objectifs témoignant d'une détérioration de la condition physique de la travailleuse tant au niveau cervical que lombaire. ( Note personnelle ajoutée de Patricia pour mon blog: « Ce n’est pas aggravé car finalement, c’était les limitations fonctionnelles qui étaient les pires limites, ainsi que le degré des douleurs chroniques qui augmentaient avec le stess. Stress de toute sortes, y compris les pertes de revenus de travail, jusqu’à quitter le marché du travail en 1993, rester debout sur place est intolérable depuis l’accident, assis trop longtemps, couché trop longtemps, le choc émotif qui a aussi empiré de beaucoup le degré des douleurs au dos,…etc. ») [40] Ils reconnaissent néanmoins que la travailleuse est confrontée à des douleurs chroniques aux niveaux cervical et lombaire, qui peuvent nécessiter à l'occasion des soins ou traitements palliatifs. Ils croient sincèrement que la CSST devrait acquitter le coût relié à ces soins ou traitements palliatifs. ( Note personnelle ajoutée de Patricia pour mon blog: « Et oui, je me débrouille seule : traitement de physiothérapie à mon domicile avec tous les trucs appris, remontant à chaussures achetés au Dollarama, exercices de toutes sortes pour le soulagement de la douleur chronique, remèdes puissants, marches à l’air pur, etc. …Au moins, j’ai la maudite paix bénite de me battre pour rien. ») LES MOTIFS DE LA DÉCISION [41] La Commission des lésions professionnelles doit déterminer si la travailleuse présente le 9 janvier ou 10 avril 2001 une lésion professionnelle. [42] La Loi sur les accidents du travail et les maladies professionnelles (L.R.Q., c. A-3.001) (la loi) définit, à son article 2, la lésion professionnelle comme suit : « lésion professionnelle » : une blessure ou une maladie qui survient par le fait ou à l'occasion d'un accident du travail, ou une maladie professionnelle, y compris la récidive, la rechute ou l'aggravation ; [43] Il ressort de cette définition qu'une récidive, rechute ou aggravation peut, pour les droits prévus à la loi précitée, constituer une lésion professionnelle. [44] En semblable matière, la Commission des lésions professionnelles et antérieurement la Commission d’appel en matière de lésions professionnelles (la Commission d’appel) rappellent, et à juste titre, que pour conclure dans le sens souhaité, il faut être en présence d'une preuve prépondérante à cet effet. De plus, ils soulignent que le seul témoignage de la personne visée n'est pas en soi suffisant pour conclure à une récidive, rechute ou aggravation, cette matière relevant, règle générale, du médical. ( Note personnelle ajoutée de Patricia pour mon blog: « Encore faut-il que les dossiers médicaux de 1981 à 1999, ne soient pas restés à 50% dans les filières 13 des cliniques et hôpitaux. Récupérés tout ça n’a pas été de tout repos. ») [45] Compte tenu de la preuve offerte dans ce dossier, la Commission des lésions professionnelles est d'avis que la travailleuse ne présente pas de lésion professionnelle le 9 janvier ou 10 avril 2001. [46] En effet, la Commission des lésions professionnelles retient de la preuve que le 19 octobre 1981, la travailleuse s'inflige une entorse cervicale et une entorse lombaire à la suite d'un accident du travail. ( Note personnelle ajoutée de Patricia pour mon blog: « Il y a eu un rapport de police qui indique bien que je ne suis même pas en faute dans cet accident de 1981. C’est une autre personne qui est venue foncer sur ma voiture, alors que je me rendais à un rendez-vous chez un client, cédulé depuis plusieurs jours. Ce doit être encore un point légal qui fait que les accidentés du travail passent pour s’être infligés des accidents de travail ? Incroyable mais bien la réalité ! De la vraie injustice légale à l’état pur ») [47] Dans le cadre d'un suivi médical pour cette condition, la travailleuse passe une myélographie à la région lombaire le 23 août 1982, investigation qui permet de mettre en évidence une condition préexistante chez la travailleuse se manifestant par une anomalie congénitale des racines conjointes au niveau L5-S1 du côté gauche. [48] Elle est évaluée en 1982 et 1983 par les docteurs Arsenault, Blouin, Lemaire, Gagnon et Gilbert. De ces évaluations, il ressort que ses lésions sont consolidées au 13 octobre 1982 et qu'elle conserve un déficit anatomo-physiologique de 4 % dont 2 % pour entorse cervicale et 2 % pour entorse lombaire. Ces médecins ne traitent pas à proprement parler des limitations fonctionnelles de la travailleuse, ces derniers recommandant tout au plus une réintégration progressive sur le marché du travail. [49] Malgré cette consolidation des lésions fixée au 13 octobre 1982, la travailleuse poursuit ses démarches auprès de médecins au fil des ans pour trouver une solution à ce phénomène douloureux qui s'est ni plus ni moins chronicisé avec le temps. [50] Il est vrai que dès mars 1990, la travailleuse est suivie par certains médecins pour une autre condition qui lui est personnelle (condition psychologique) et qu'elle s'est même vue reconnaître invalide par la Régie des rentes au mois de mars 1993 pour cette condition. [51] À ce tableau s'ajoute également cette tentative de suicide du mois d'avril 1993 qui la laisse avec des séquelles aux niveaux de son membre supérieur gauche et de ses membres inférieurs. [52] Il y a de plus cette nécrose de sa tête fémorale en 1997 qui donne lieu à une implantation d'une prothèse totale de la hanche gauche le 22 août 1997, nécrose que la docteure Angèle Turcotte croit être en relation avec cet accident du travail du 19 octobre 1981 mais que le docteur Jean-Marc Lépine, spécialiste consulté à la demande du représentant de la travailleuse, réfute dans son expertise rédigée le 6 mars 2002. [53] Pendant toutes ces années, et malgré ses conditions dites personnelles, la travailleuse est néanmoins suivie par ces médecins pour ses douleurs cervicale et lombaire. [54] Appelé à se prononcer de façon spécifique sur une aggravation des dites conditions aux niveaux cervical et lombaire chez la travailleuse, le docteur Jean-Marc Lépine passe sous silence ce point, préférant parler de limitations fonctionnelles qu'il relie à cet accident du travail du 19 octobre 1981. [55] Toutefois, en y regardant de plus près, la Commission des lésions professionnelles est en mesure de comprendre le silence du docteur Lépine sur une aggravation de la condition physique de la travailleuse puisque son examen clinique est pratiquement superposable à ceux effectués par les docteurs Blouin (13 octobre 1982), Lemaire (18 février 1983), Gagnon (13 avril 1983) et Gilbert (19 août 1983). [56] Tous ces médecins intervenus auprès de la travailleuse à cette époque et aujourd’hui le docteur Lépine, en arrivent à des amplitudes articulaires cervicale et lombaire qui se trouvent limitées dans une proportion à peu près analogue. Il en est de même de leur examen neurologique qui se révèle être dans les limites de la normale. [57] Il est vrai que la tomodensitométrie passée à la région lombaire de la travailleuse en 1996 laisse suspecter la présence d'une hernie discale au niveau L5-S1. Or, la résonance magnétique du 8 octobre 1997 met en évidence une discopathie dégénérative légère au niveau L5-S1 sans hernie discale à ce niveau, discopathie qui, somme toute, est personnelle à la travailleuse en raison du processus de vieillissement auquel personne n’échappe. [58] Dès lors, en l'absence de signes cliniques objectifs aux niveaux cervical et lombaire démontrant une détérioration de la condition physique de la travailleuse, on peut difficilement parler d'une récidive, rechute ou aggravation au sens propre du terme. [59] Cette conclusion à laquelle en arrive la Commission des lésions professionnelles n'a pas pour effet de nier la présence d'un phénomène douloureux affligeant la travailleuse aux niveaux cervical et lombaire depuis de nombreuses années, phénomène douloureux qui a nécessité de nombreuses consultations médicales depuis 1981. C'est justement à partir de ce suivi médical et des séquelles anatomiques laissées par cet accident du 19 octobre 1981 que la Commission des lésions professionnelles croit sincèrement que cette chronicité des douleurs cervicale et lombaire peut, dans les périodes d’exacerbation, nécessiter des traitements conservateurs afin de contrer ce phénomène douloureux à ces niveaux. [60] Tout en étant conscient que le présent tribunal n'a pas la compétence nécessaire pour se prononcer sur l'assistance médicale relevant des cas couverts par la Loi sur les accidents du travail (la LAT) (L.R.Q. c. A-3), la Commission des lésions professionnelles estime néanmoins important de recommander à la CSST d'acquitter les coûts reliés à ces traitements conservateurs qui, dans les faits, peuvent être assimilés à des traitements palliatifs pour ces lésions professionnelles qui remontent au 19 octobre 1981, lésions professionnelles qui, nous le rappelons, ont laissé chez la travailleuse des séquelles permanentes et des douleurs chroniques tant au niveau cervical que lombaire. PAR CES MOTIFS, LA COMMISSION DES LÉSIONS PROFESSIONNELLES : REJETTE la contestation introduite par madame Patricia Turcotte (la travailleuse) à la Commission des lésions professionnelles le 5 juin 2002. Voici la transmission d'une décision du Tribunal administratif du Québec, section des affaires sociales. Cela devait être un jugement, mais je me suis présentée seule après un an à déposer des documents sérieux devant ce Tribunal. La CSST n'y était pas et j'ai su par les deux juges qu'il n'y avait pas de procès final vu une jurisprudence: Québec le 03 août 2004 Dossiers: SAS-Q-096813-0304 / SAS-Q-099039-0306 Membres du Tribuanl: Yves Bergeron, avocat Isabelle Yowner, médecin Patricia Turcotte, partie requérante CSST, partie intimée DÉCISION 1) Dans le cadre des deux présents dossiers, la requérante conteste deux décisions dites en " reconsidération administrative "rendues par l'intimée, la Commission de la santé et de la sécurité du travail ( CSST ) ayant trait spécifiquement à ce qui suit: - une décision du 07 mars 2003 maintient le refus de rembourser à titre d'aide technique, des chaussures orthopédiques. - une autre décision du 07 mars 2003 maintient le refus de rembourser des traitements de physiothérapie; et, - la décision du 20 juin 2003 maintient le refus de rembourser des médicaments suivants: célébrex, acétaminophène, élavil, oxycocet et percocet. Note personnelle ajoutée ici: Finalement, les médicaments ont augmentés depuis cette date, je me procure des remontants à chaussures, au Dollarama du coin, et je fais des marches régulières et des exercices à la maison. 2) Il est à noter qu'à l'occasion de chacune de ces décisions, la CSST informait la requérante de ce qui suit: " Nous vous informons que cette décision est finale et sans appel. En effet, les prestations demandées sont relatives à des prestations octroyées en vertu de la Loi sur les accidents de travail. Or, les décisions en reconsidération rendues en cette matière ne peuvent faire l'objet d'une révision devant un Bureau de révision, ni d'un recours devant le Tribunal administratif du Québec ou la Commission des lésions professionnelles." Note personnelle que j'ajoute ici: Suite à une demande d'information auprès du Protecteur du Citoyen, une avocate m'a dit à la dernière journée prévue pour en appeler du délai légal, de réserver mes droits devant le Tribunal administratif du Québec. C'est suite à cette recommandation que j'ai choisit de réserver ces droits. Un an à déposer des documents au TAQ, pour apprendre qu'il n'y aurait pas de procès final. 3) Il est à noter également que, dans les écrits de la requérante aux divers intervenants, celle-ci signale que sa démarche au Tribunal a pour but de se faire rembourser " tous les frais engendrés par les traitements reçus ". De façon non limitative, le Tribunal a noté au dossier les frais suivants: Tens, chaussures orthopédiques, transport ( taxi, autobus et transport adapté ), médicaments, etc. 4) À ces données, il convient d'ajouter que les démarches entreprises par la requérante, concernant ces frais semblent originer d'un commentaire de Me Claude Lavigne, commissaire à la Commission des lésions professionnelles, qui écrivait le 23 août 2002, ce qui suit: " (58) Dès lors, en l'absence de signes cliniques objectifs aux niveaux cervical et lombaire démontrant une détérioration de la condition physique de la travailleuse, on peut difficilement parler d'une récidive, rechute ou aggravation au sens propre du terme. ( 59) Cette conclusion à laquelle en arrive la Commission des lésions professionnelles ( CLP ) n'a pas pour effet de nier la présence d'un phénomène douloureux affligeant la travailleuse aux niveaux cervical et lombaire depuis de nombreuses années, phénomène douloureux qui a nécessité de nombreuses consultations médicales depuis 1981. C'est justement à partir de ce suivi médical et des séquelles anatomiques laissées par cet accident du 19 octobre 1981, que la Commission des lésions professionnelles croit sincèrement que cette chronicité des douleurs cervicales et lombaires peut, dans les périodes d'exacerbation, nécessiter des traitements conservateurs afin de contrer ce phénomène douloureux à ces niveaux. (60) Tout en étant conscient que le présent Tribunal n'a pas la compétence nécessaire pour se prononcer sur l'assistance médicale relevant des cas couverts par la Loi sur les accidents de travail ( la LAT ) ( L.R.Q., c. A-3), la Commission des lésions professionnelles estime néanmoins important de recommander à la CSST, d'acquitter les coûts reliés à ces traitements conservateurs qui, dans les faits, peuvent être assimilés à des traitements palliatifs pour ces lésions professionnelles qui remontent au 19 octobre 1981, lésions professionnelles qui, nous le rappelons, ont laissé chez la travailleuse, des séquelles permanentes et des douleurs chroniques tant au niveau cervical que lombaire. " (...)) ( Nos soulignements) 5) Par ailleurs, la requérante a abordé à l'audience, un problème de limitations fonctionnelles qu'elle estime n'avoir jamais été évalué et qui serait à l'origine d'une certaine incapacité à exercer son travail de courtière en assurance et de la baisse de revenu en ayant résulté. 6) Encore ici, parmi les éléments à l'origine de la question, on retrouve un autre commentaire de Me Lavigne dans sa décision du 23 août 2002. Ce commentaire se lit: ( J'ajoute une note personnelle ici: Voir le jugement du Tribunal CLP ) (48) " Elle est évaluée en 1982 et 1983 par les docteurs Arsenault, Blouin, Lemaire Gagnon et Gilbert. De ces évaluations, il ressort que ses lésions sont consolidées au 13 octobre 1982 et qu'elle conserve un déficit anatomo-physiologique de 4% dont 2% pour entorse lombaire. Ces médecins ne traitent pas à proprement parler des limitations fonctionnelles de la travailleuse, ces derniers recommandent tout au plus une réintégration progressive sur le marché du travail." ( Nos soulignements) 7) Qu'en est-il ? 8) En ce qui concerne tout d'abord le problème des limitations fonctionnelles abordé à l'audience et sur lequel il y a eu quelques échanges, le Tribunal se doit de décliner juridiction, puisque les décisions, objet du présent litige, ne sont ni des décisions en révision de limitations fonctionnelles, ni des décisions en révision sur lesquelles porte la seule juridiction du Tribunal: "( 65) Toute personne qui se croit lésée par une décision rendue par un bureau de révision peut, dans les 60 jours de sa notification, la contester devant le Tribunal administratif du Québec..." 9) Quant aux décisions du 7 mars 2003 et 20 juin 2003 et, de façon générale, quand à la demande de la requérante d'être remboursée de "tous les frais engendrés par les traitements reçus", le Tribunal se doit de décliner juridiction. 10) En effet, hormis que les décisions en cause ne soient pas des décisions en révision au sens de l'article 65 précité de la loi, le Tribunal tout comme les bureaux de révision n'ont aucune autre juridiction que celles relatives "au droit à une indemnité, au quantum d'une indemnité et aux taux de diminution de capacité de travail" Or ces matières, que l'on retrouve dans la section 111 de la loi intitulée: " Des indemnités", ne couvrent pas l'assistance médicale qui, elle, se trouve à la section 1V de la loi, et ce, tel que confirmé par plusieurs décisions du Tribunal (ou de l'ancienne Commission des affaires sociales), mais surtout, par l'affaire Halco Inc. décidée par la Cour d'appel du Québec le 12 septembre 1994 et dont la requérante a eu l'occasion de prendre connaissance. 11) PAR CES MOTIFS, le Tribunal administratif du Québec déclare donc irrecevables les recours et les demandes présentées par la requérante dans le cadre des présents litiges, et ce, par défaut de juridiction. Signé en date du 03 août 2004 par Yves Bergeron et Isabelle Towner, et Me Sonia Grenier, Procureur de l'intimée CSST Note personnelle ajoutée ici: J'espère que vous avez choisit d'écouter le vidéo d'Astérix, plutôt que de vous rendre jusqu'au bout de cette décision qui a pris un an de ma vie de citoyenne. Savez-vous que j'en ai raz-le-bol de ces histoires administratives bureaucratiques juridiques du Québec. Non je ne regrette rien du tout, mais je suis allée à l'École de la vie, croyez-moi. Suite à ces expériences citoyennes, j'ai été finalement reconnue à la fin de ces démarches, comme une personne handicapée physique depuis cet accident de travail de 1981, et comme ayant des limitations fonctionnelles depuis toutes ces années. C'est tout de même mieux que d'être déclarée atteinte du mal imaginaire et du cancer de la maladie mentale, comme les diagnostics sont publiquement étalés au grand jour dans le jugement de la Commission des lésions professionnelles à l'automne 2002, et qui n'avaient absolument rien à voir avec les séquelles au dos compensées par la CSST. Y paraît que lorsqu'on découvre la cause de nos malaises, on risque de s'en sortir gagnant et guérit ? Je suis donc retournée à la cause première du cancer de la maladie mentale, ce qui a eu comme résultat que depuis plus de dix ans, je n'ai plus aucun remède en ce domaine-là et aucun traitement médical. Dans sa boule de cristal La cause est écrite noir sur blanc sur un rapport médical psychiatrique fait par un psychiatre en double conflits d'intérêts: " Madame Turcotte a eu sa première pensée à caractère schizophrénique, lorsqu'elle a songé à porter une plainte contre un professionnel de la santé, en milieu hospitalier en janvier 1982." Je me demande bien comment se porte mentalement, les gens en politique et au gouvernement, ceux qui ont mis sur pied cette loi du système professionnel du Québec?

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