LES ÉCRITURES DE PATRICIA TURCOTTE

Des articles sur des sujets sociaux et vie citoyenne-politique, ainsi que des romances d'intérêts publiques. Bienvenue sur mon blog, Patricia Turcotte

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Lieu : Saint Georges, Québec, Canada

Un Vieux-Sage m'a dit:" Patricia, cherche bien dans le plus profond de ton être, ce que tu aimerais accomplir à compter de ce jour, et ce, autant dans la pauvreté financière, dans la maladie et la solitude, que dans la prospérité, la santé, ou la célébrité." Sans hésiter je lui réponds: Écrire. Ce sage me réfère alors au dicton populaire: Plus tu attends d'avoir l'air d'un ange pour agir et plus tu risques d'avoir l'air bête. Bienvenue sur ce blog ! Patricia Turcotte

vendredi 15 janvier 2010

MA MAISON DE PAIX ( Chapitre 19 et 20 )

Chapitre -19-

RENAÎTRE DE SES CENDRES

L’autonomisation de la personne dans sa communauté

La seule façon possible pour moi de sortir davantage de la pauvreté économique, passe sans l'ombre d'un doute, par retrouver mon autonomie financière. Pour y arriver, il faut absolument me retrouver un travail rémunérateur et adapté à ma condition.

S’il y a eu une porte d’entrée dans la pauvreté économique, c’est qu’il y a aussi une porte de sortie.

(Auteur: Patricia Turcotte )

Ce n'est pas évident de se retrouver de nouveau sur le marché du travail, quant on vit avec des limitations physiques et des restrictions psychologiques face aux stress. Jamais je ne prendrai pour acquis, que ma place n'existe plus sur le marché du travail, et ce, pour avoir un jour sombrer dans une dépression nerveuse et dans la maladie physique. Constamment, c'est la recherche d'une plus grande autonomie en tous les domaines de mon existence, sans toutefois nier la réalité de mes limites humaines.

J'ai encore besoin des autres, comme les autres ont encore besoin de moi

Il suffit de croire en moi à nouveau et de me souvenir que je ne suis pas venue au monde pour passer le reste de ma vie, à patauger dans la misère économique. Fort heureusement en 2001, un excellent professionnel de la santé me réfère à des spécialistes qui ont découvert les bons diagnostics qui justifient, non seulement deux importantes chirurgies médicales, mais les médicaments adéquats pour composer avec la douleur permanente et souvent insoutenable. Des douleurs physiques non soulagées m’ont conduit dans la passé, dans les tristes chemins de la maladie mentale.

Tout long chemin commence par un premier pas ( Auteur anonyme )

Par chance et par combativité depuis plus de onze années, je suis parvenue au bout de mes remèdes et soins pour la maladie mentale "pour aujourd’hui seulement". Personne n’est à l’abri un jour ou l’autre, de côtoyer la maladie mentale. Qui peut se vanter d’être le maître absolu de toutes ses pensées et de ses émotions, de son cerveau ou de son système nerveux ? C’est la raison pour laquelle j’ajoute après la mention d’une réussite, le terme " pour aujourd’hui seulement ".

Combien de personnes endurent des malaises majeurs qui ne se voient pas au premier coup d’œil, comme par exemple, la douleur chronique, l’arthrose et la fibromyalgie ? C’est avec énormément de patience et de persévérance que je poursuis ma route, comme tant d'autres. Chaque matin à mon réveil, la douleur chronique me pique un clin d’œil. Finalement, mon corps devient un baromètre, ainsi que mon meilleur ami ou mon pire ennemi. Tout dépends de ce que je décide d'en faire.

Je suis toujours classée depuis 1992, comme étant inapte au travail et reconnue comme soutien financier avec des restrictions sévères à l’emploi. Cela ne m'a pas empêchée d’œuvrer pendant plus de cinq ans, auprès des personnes en pertes d’autonomies physiques ou psychologiques. De plus, un second vieux rêve d’enfance a prit forme en 2001, en m’inscrivant à un cours d'écritures créatives par correspondance. Mon diplôme suspendu au mur de mon bureau, me rappelle que l'écriture représentera toujours mon loisir favori, mais surtout, mon meilleur médicament. Le but de ce cours étant de parvenir à débloquer les tas d’émotions et de sentiments refoulés dans mon cœur. Je ne suis pas du tout une écrivaine. Un travail comme Éditrice me plairait davantage. L'avenir m'indiquera la route à suivre.

À la croisée des chemins

Quant survient l'effondrement total de tous nos espoirs, nos rêves, nos buts, nos valeurs et nos projets, c'est la croisée des chemins qui survient dans la vie d'une personne. Le temps de réaliser nos limites, nos faiblesses et nos pauvretés frappe à notre porte. Il est primordial de se souvenir de nos qualités, de nos forces, de nos talents et de nos buts. Ne jamais délaisser les rêves qui sommeillent en chacun de nous. Voilà le secret pour conserver et nourrir l'espérance, lors des pires tempêtes et ouragans de la vie.

J’ai appris par la force des choses, à apprivoiser la douleur et à redonner un nouveau sens à ma vie. C’est simple mon truc. Je me sers de ce que je possède à chaque jour de mon quotidien. Par exemple, mon ordinateur fonctionne toujours, alors il est temps de finaliser ce projet de publier ce témoignage romancé, et ce, même si ce récit ressemble plutôt à une autobiographie romancée. Ma première idée était bien de le poster à une maison d'Édition. D'autant plus que je ne suis pas très experte sur l'ordinateur. Puisque je ne parviens jamais à inscrire ce récit sur un CD ou à l'imprimer sur papier, je m'exécute sur mon blog. Comment procéder sans moyens matériels et financiers ? La vie me donne tout ce dont j’ai besoin à chaque jour de mon existence. Ce sera ainsi jusqu’à la fin de mes jours, comme chacun de nous.

C’était et c’est encore aujourd’hui, une vigilance et une discipline quotidienne de voir à garder le moral, de poursuivre mes exercices réguliers, mes marches quotidiennes, mes temps de détentes et de relaxations, une saine alimentation, ce loisir de l’écriture, etc. Tu vois bien que je n'ai même plus le temps de m'ennuyer. Par contre, je veille à me payer à l’occasion, un café au Bistro du coin en feuilletant les journaux. Fréquemment, je produits quelques articles que j'envoie à certains médias papiers et sociaux. dans ces précieux moments de détentes. Souvent, ceux-ci sont publiés, même si je ne le sais pas toujours. Les résultats ne sont plus entre mes mains. C'est prioritaire d'apprécier cette saine solitude, mais sans sombrer dans l'isolement.

Le plus important est de sauvegarder mon sens de l’humour et d’accomplir ce qui me tient à cœur et surtout ce qui me passionne. J’ai enfin récupéré mon cœur d’enfant qui s’enthousiasme à nouveau. Je parviens maintenant à partager mes joies et mes peines quotidiennes, à des êtres chers en qui je fais confiance, tout simplement. En réalité, je pratique toujours le mode de vie des douze étapes. Tu deviens à travers ce partage, mon meilleur ami et confident.

Retenues en vies artificiellement et dans un état semi-comateux

À mon humble avis, il y a toute une sensibilisation à faire dans la société et auprès des employeurs, pour l’intégration sur le marché du travail, des personnes vivant avec des limitations fonctionnelles, des handicaps ou des déficiences de toutes sortes. Bien des personnes sont retenues en vie artificiellement ou dans un état semi-comateux, dans le système actuel de la société. Une force intérieure en chacun de nous, n'attend que nous lui sollicitions de l’aide pour déserter ces roues de pénuries et de misères.

L’espoir seul ne mène pas bien loin

Personne ne se rend bien loin sans un emploi rémunérateur. À moins d’animer une force intérieure artistique, pourquoi pas ? À chacun de choisir ses sentiers. Voilà la décision prise il y a deux ans, soit celle de tirer un trait final sur les recherches d’emplois. C’est à travers mon loisir de l’écriture que de nouveaux sentiers s’ouvriront pour moi. Sinon, qu’est-ce qui m’empêche d’écrire bénévolement pour le reste de mes jours; du moins, tant et aussi longtemps que vivra mon ordinateur qui commence à souffrir d'Alzheimer.

Une société nouvelle

En attendant, il est indispensable de s'entraider et de partager avec les autres. Éviter l'isolement et le découragement est obligatoire pour ne pas sombrer dans la dépression et la maladie mentale. Peut-être suis-je en train de rêver en couleurs, mais j’y crois encore à une société plus juste, plus humaine et plus solidaire, et ce, dans la joie comme dans l’épreuve. Cette société va se transformer peu à peu, seulement si ce projet s’inaugure d’abord dans notre propre vie et dans notre cour.

L’espoir seul ne conduit pas bien loin. L’être humain ne vit pas seulement d’eau, d’amour et d’espoir, mais de revenus financiers pour continuer à conserver son autonomie financière, en s’impliquant dans la société à travers un travail rémunérateur.

Premier pas d’action dans le monde du travail

Janvier 1998

En janvier 1998, je m’inscris à un premier stage de travail auprès d’un travailleur de la région œuvrant dans le domaine de la location d’automobiles. Le psychiatre Métivier certifie une missive positive pour ce projet, auprès de mon agent du Ministère de la Solidarité sociale. Mes revenus de l’assistance-sociale augmentent de cent dollars par mois, pour effectuer la promotion de cette entreprise, à raison de vingt heures de travail par semaine.

Mon apprentissage fut difficile dès la première journée de travail. Les douleurs au dos m’empêchent de rester assise longtemps. Me voilà à nouveau confrontée à mes limites physiques. Mon gros bon sens me dicte ma conduite. Je propose à mon patron d’accomplir ce boulot à mon domicile et à mon rythme. L’offre acceptée, je fournis le meilleur de moi-même lors aux sondages téléphoniques auprès des propriétaires d’entreprises.

Peu à peu, la confiance l’estime de moi remontent d’une mesure. Je dépasse bien des peurs et des obstacles que j’estimais pourtant insurmontables. Ma petite voix intérieure intuitive me soufflait des mots agréables à l’oreille:

« Patricia, ta présence dans le monde du travail est encore bénéfique. Va là où te porte ton cœur. Les grands de ce monde se sont tous pensés fous. Demande de l’aide, etc. »

J’ai saisi cette chance d’accomplir ce nouveau pas dans l’action. Cette fois-ci, je compose avec mes nouvelles aptitudes découvertes à travers les tas de quêtes de vérités.

Patricia Turcotte © Le 28 mai 2010

Chapitre -20-

L’ESPÉRANCE EST UN RISQUE À COURIR ( Georges Bernanos )

Les rêves de la jeunesse non réalisés reviennent toujours nous hanter ( H. Jackson Brown )

Janvier 1999

Voilà le temps de matérialiser un vieux rêve de jeunesse, soit celui de déménager dans la superbe ville de Sainte-Foy, surnommée aujourd’hui, la ville de Québec. En janvier 1999, je plie bagages avec seulement quelques dollars en poche. Pour concrétiser ce projet, je dois vendre certains meubles, ce qui me rapporte trois cents dollars. Plusieurs mois furent nécessaires pour me familiariser avec ce nouvel environnement et établir de nouvelles relations saines et satisfaisantes. Je me procure quelques vêtements et meubles auprès des organismes de charité et je fréquente peu à peu les organismes communautaires du quartier. Personne ne soupçonne que je suis étampée dans le front, comme une malade mentale ayant déjà fait une tentative de suicide. Pourtant, on me le rabâchait encore il y a à peine quelques semaines, quasi à chaque coin de rue de mon patelin.

Briser mon isolement, autant dans la pauvreté économique que la maladie, devient vital pour mon rétablissement. La solitude malsaine, dans la joie comme dans la souffrance, ne m’apparait plus la bienvenue dans ma maison de paix. Je côtoie des individus fantastiques remplis de talents et de diplômes, même si la plupart ont goûtés à la maladie physique ou mentale. On ne devrait pas juger trop sévèrement, les personnes vivant sur l’assistance-sociale. La plupart démontre clairement avoir du cœur au ventre, lorsque vient le temps de se chercher un job. Le but réaliste à atteindre est nul autre que de retrouver mon autonomie financière et quitter l’assistance sociale. Le seul moyen d’y parvenir est évident, soit celui de me retrouver un travail réellement rémunérateur.

Autonomie rime avec porte de sortie de la pauvreté

Le 5 décembre 1999, mes trouvailles portent quelques fruits. La préparation en équipe d’une conférence de presse auprès d’un organisme communautaire est publiée à mon grand étonnement, dans la première page du journal local. Le titre: Autonomie rime avec porte de sortie de la pauvreté.

Le plaisir, le rire, la bonne humeur s’éveillent à nouveau. L’amitié de personnes à la recherche d’emplois, m’indique bien que je ne suis jamais seule au monde. Avec l’humour et l’amour, je ne peux faire autrement que d’atteindre mes buts, en temps voulu. À la fin de mon implication comme bénévole, j’obtiens une lettre de recommandation que j’insère fièrement dans mon baluchon:

" Madame effectue du travail bénévole pour notre organisme depuis le mois d’octobre 1999. Elle occupe le poste d’agente-représentante avec brio. Madame est ponctuelle, enjouée et ordonnée, en plus de porter une attention à la qualité de son travail. Nous sommes heureux de la compter parmi nos valeureux membres et je peux vous la recommander avec fierté ".

L’espérance de sensibiliser un employeur éventuel, malgré mes limites, représente un risque à courir. J’applique patiemment la phrase philosophique du célèbre écrivain catholique, Georges Bernanos: L’espérance est un risque à courir.

À la recherche d’un boulot

Je remets à jour mon curriculum vitae et je poste des demandes d’emplois. Dans la vie, il n’y a rien de facile et gratuit. J’entame la série de tâches utiles pour m’orienter vers un gagne-pain rémunérateur: la préparation de mon curriculum vitae; l’entretien des vêtements dénichés aux comptoirs communautaires; retirer les valeurs de rachat de ma seule police d’assurance-vie; me procurer des billets de transports en autobus; me présenter convenablement face aux éventuels employeurs, etc. Parfois, le découragement se pointait timidement le bout du nez. Mes choix semblent plus qu’audacieux, mais ce furent les miens et il n’est pas question d’y renoncer avant d’avoir tout essayer.

Ma candidature est retenue

Je tente ma chance d’entreprendre un emploi comme conseillère dans un magasin. Pas de chance, car je réussis à camoufler aussi mes limitations physiques. Ma première chirurgie à la hanche ne m’a pas laissée infirme, c’est-à-dire, que je ne me suis pas retrouvée une jambe plus courte que l’autre, contrairement à la seconde chirurgie. Même la douleur chronique n’apparaît pas inscrite sur mon front. Ce qui me semble le plus important pour l’instant, c’est que ma candidature ait été retenue parmi des dizaines de candidats.

Encore confrontée à mes limites

Le travail que je croyais être à 75% assis, représente pourtant des tâches à accomplir à 75% en station debout et souvent sur place. Ça ne me convient pas du tout. Après une semaine, on me remercie de mes services, étant trop orgueilleuse pour le faire moi-même.

La définition de la folie, c’est de répéter toujours les mêmes expériences en s’attendant à des résultats différents. ( Albert Einstein )

La plus adéquate lettre de recommandation que je détenais de mon ancien employeur, démontrait subtilement une réalité évidente suite à mon accident de voiture de 1981:

" Par la présente, je recommande Lara pour un poste de travailleuse dans un magasin ou dans un bureau. J’ai eu l’occasion de faire son entraînement à titre de gérant adjoint pour une compagnie d’assurances. Elle a été une bonne vendeuse d’assurance pendant quelques années ". Évidemment, après mon accident d'auto en 1981, tout a basculé et ce bonhomme le savait mieux que quiconque.

Je puisais en moi un courage hors du commun. Comment me retrouver un emploi dans la vente, avec une lettre de référence aussi réaliste et représentative de la réalité ? Je ne pouvais lui garder rancune, d’autant plus que ce grand ami Léonard représentait mon second père sur terre. Ces obstacles me donnent l’occasion de ressortir enrichie d’une nouvelle expérience, en autant que je ne la répète pas de nouveau. Dorénavant, je respecterai mes limites et je veillerai mieux au grain. Vaut mieux m’organiser que de me faire organiser.

Grâce à l’écriture, je libère le trop-plein d’émotions époustouflantes. Je révise les attentes qui me conduisent aux déceptions et aux frustrations. Les malaises au dos se font toujours aussi achalants. Cette étape fut riche en expériences nouvelles, mais combien laborieuses et humiliantes à parcourir. Aujourd’hui, j’éprouve de la satisfaction et du plaisir de les communiquer.

Espérer contre toute espérance

Au printemps 2000, en écoutant une émission au poste de Radio Galilée de Québec, je prends l’initiative d’appeler sur les ondes, pour partager ma prochaine démarche, soit un second stage de travail auprès du Ministère de la Solidarité sociale. Par ailleurs, cette émission abordait justement le sujet du patron des travailleurs, soit Saint-Joseph. On se souviens que celui-ci représentait le favori du petit Frère André de la religion catholique. Même si l’harmonie et l’équilibre était entré dans ma vie, à travers ces histoires religieuses, ça me paraissait bien de rendre ce témoignage de foi. L’animatrice me souhaite suite à ce partage, la meilleure des chances pour ce projet de travail. On aurait bien pu me dire tout de suite: Bonne Fête du travail !

Second témoignage

Afin de ne plus m’isoler dans ce baluchon vide, je rends au printemps 2000, un témoignage intitulé : Espérer contre toute espérance. Ce dernier est publié dans un bulletin d’information auprès des organismes communautaires. Je participe, en tant que citoyenne et en présence de collègues de recherches d’emplois, à la Table de concertation pour la lutte contre la pauvreté. Ce témoignage me permet de soulever la dure réalité des chemins complexes de recherches d’emplois que l’on dit pourtant très ,accessibles aux simples citoyens.

Ce chemin parsemé d’embûches pour retrouver mon autonomie financière, est celui que je choisis pour m’en sortir. Ce n’est pas donné à tous d’entreprendre ces démarches, sans aucun accès à aucune forme de crédit des institutions financières. Malgré mes revendications téléphoniques ou écrites auprès des organisations gouvernementales de toutes sortes, les portes que j’ouvrais se refermaient comme des courants d’air. J’apprécie malgré tout le soutien amical transmis par quelques personnes, confrontées elles aussi à leurs limites personnelles et professionnelles.

Ma devise: Aide-toi et le Ciel t’aidera. Demande spéciale: Je veux changer de vie, de André Sylvain.

Patricia Turcotte © Le 28 mai 2010

Note de l'auteur au 26 novembre 2010

En décembre 2006, Lara est revenue dans sa ville natale en Beauce. Je ne peux prédire comment se déroulera son avenir, à moins de me procurer une boule de cristal. Quant à Lara, un songe vécu en décembre 2000 lui a permis de continuer à espérer à un futur meilleur. On lui aurait clairement démontré qu'on la préparait pour un travail d' Éditrice. Ça fait déjà plus de dix ans. Qui vivra verra !

Mot de Lara

Merci beaucoup à Patricia de m'avoir permis de me défouler en partageant ce témoignage romancé. En réalité, il n'y a aucunement matière à la publication d'un livre, puisque ce témoignage fait réellement partie d'une thérapie quotidienne dans le mode de vie des douze étapes. Merci aux personnes qui en ont pris connaissance, quand bien même il n'y en aurait eu qu'une seule.

"La Terre est le berceau de l'humanité, mais on ne passe pas sa vie dans un berceau ". ( Constantin Tsiolkovski )

FIN

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