ANDRÉ MATHIEU, NOTRE PETIT MOZART CANADIEN, SON SOUVENIR VA T-IL RENAÎTRE DE SES CENDRES ?

ANDRÉ MATHIEU, notre petit Mozart Canadien, son souvenir va-t-il renaître de ses cendres ?

Mon amie Denise Lafortune, écrivaine native du Québec et habitant actuellement au Nouveau-Brunswick, va sûrement nous faire connaître encore davantage comme tant d’autres, le célèbre virtuose et pianiste: ANDRÉ MATHIEU.

Mais pas avant qu’un Éditeur découvre son premier roman réalité intitulé : « À l’ombre du Paradis, MES NUITS D’AMOUR AVEC ANDRÉ MATHIEU ».

Ayant eu l’occasion de lire la copie brouillon de ce futur « Best Sellers » assuré, Denise Lafortune pourra ensuite voir son plus grand rêve se réaliser, ainsi que le mien, soit la publication de son second volume : le récit de la vie captivante de son grand Amour, soit Monsieur Roland D’Aigle, le seul illustre guérisseur, qui a gagné ses procès contre le grand pouvoir médical. Après avoir reçu l’appui de ses amis (es) qui l’ont soutenus moralement, Monsieur D’Aigle a vu une Association prendre vie, afin de l’appuyer aussi financièrement, et l’aider ainsi à défrayer ses multiples frais judiciaires.

Quelques recherches m’ont permis de découvrir que, toutes les pièces du puzzle sont en train de se réunir, pour aboutir non seulement au premier livre de Denise Lafortune, mais au premier film sur la vie de ANDRÉ MATHIEU, grâce à son âme-sœur, le grand pianiste Alain Lefèvre.

Toutes une séries de coïncidences quand même, qui m’amène en ce jour, à espérer les heureux évènements qui suivront leurs cours prévus, par réaliser la destiné, de tous et chacun.

Patricia Turcotte © Le 18 mars 2009

Voici quelques extraits tirés du site

RÉFÉRENCES :

Alain Lefèvre et André Mathieu.

Actualité culturelle; Centre culturel Canadien.

Je cite quelques extraits sur ce site ci-haut mentionné :

André Mathieu né en 1929 et décédé en 1968, appelé notre petit Mozart Canadien, est au Canada ce que Chopin est en Pologne. L'orchestre national de France a fêté le 400eme anniversaire de Québec au Théâtre des Champs-Elysées, Paris. Alain Lefevre interprète de Rameau à Corigliano en passant par Bach, Mozart,Moussorgsky,Chopin,Dutilleux,... et André Mathieu bien sur. Il a donné au théatre des champs-élysées le 27 Octobre 2008 à 20h00 le 4ème concerto en mi mineur pour piano et orchetre d'andré Mathieu. L'Orchestre National de France qui l'accompagnait était dirigé par Fabien Gadel. Un film basé sur la biographie d'André Mathieu est en tournage : coproduction franco-canadienne, réalisateur : Luc Dionne. Sortie : fin 2009. Voir site : André Lefèvre.

TANT DE HANDICAPS FACE À L’AMOUR

Qu’il n’est pas simple de plumasser sur le sujet si complexe du mot aimer, c’est-à-dire, sur l’art poétique. Aimer les autres sincèrement et candidement comme un paysan du Danube, est-ce réellement possible, facile et simple pour tous ? Possiblement quand on a découvert nos réelles aptitudes à aimer pour de vrai, et non égoïstement. C’est pourtant si facile et commun, de prononcer les mots: Je t’aime.

La réalité nous apparaît tellement différente, lorsque se pointe dans notre champs de vision, nos handicaps à aimer. Nos fragilités et pauvretés se retrouvent hélas, mises à nues au grand jour, bien souvent face à l’être aimé qui devient alors, tellement désarmé.

Voilà que déjà, on se retrouve prompt au signal du combat, avec notre épée de duel en mains. Une phrase cite: C’est par la petite porte de tes faiblesses et de tes pauvretés, que je me lèverai en force.

Que signifie aimer une personne, sinon essayer de répondre à ses besoins d’abord, et ensuite, aux besoins de la personne choisie. Encore là, reste à savoir quels sont ses véritables besoins, et les nôtres. Trop souvent, les besoins que l’on croit nécessaires pour la personne aimée, se retrouvent plutôt téléchargés dans notre cœur, en nos propres besoins et désirs inassouvis.

Qu’il n’est pas simple d’aimer ! Surtout lorsque l’on n’arrive pas à se dépouiller de sa vieille carapace endurcie, ou de son notre vieil Adam, pour utiliser les notes bibliques. Les termes: nos cœurs de pierres transformés en cœurs de chairs résonnent comme un baume à mes oreilles, pour exprimer cette dernière phrase.

De là, les nombreuses déceptions amères, les esclavages dans les jeux amoureux, ainsi que les tas de mirages face à l’amour. À ne pas s’y méprendre, cela se vit autant dans les amours avec un petit « a », que dans les amours avec un grand « A ».

Patricia Turcotte © Le 19 mars 2009