BREFS SOUVENIRS DE MON PÈRE
VICTOR TURCOTTE AU COMBAT AVEC SON FRÈRE LÉOPOLD
« Veuillez à ne pas polluer vos cœurs et vos esprits.... ».
Habituellement, je prends très à cœur un avis de ce style-là, surtout venant du Père de l’Église catholique, Benoit XV1. Après avoir vu partir pour l’au-delà, mes trois papas sur terre, je me réfère quelquefois aux plus grands sages de ce monde....!
BREFS SOUVENIRS DE MON PÈRE VICTOR...LÉONARD ET ROLAND D'AIGLE
Quelle coïncidence ! Alors que j’écrivais paisiblement cette première romance sur l’ordinateur, en souvenirs de mon père Victor, un message publié à travers les nouvelles, a soudainement capté mon attention: « Veuillez à ne pas polluer vos cœurs et vos esprits, en laissant passer n’importe quoi.... ».
Habituellement, je prends très à cœur un avis de ce style-là, surtout venant du Père de l’Église catholique, Benoit XV1. Après avoir vu partir pour l’au-delà, mes trois papas sur terre, je me réfère quelquefois aux plus grands et aux plus sages de ce monde, ne serait-ce que pour me guider temporairement en toute sécurité. Soyez sans crainte, chers lecteurs et lectrices, puisque dans mes récits personnalisés ou ceux d’intérêts publics, il n’y a aucune forme quelconque de partisanerie religieuse ou politique. Voici quelques lignes de mon histoire d’amour avec papa Victor…. papa Léonard et papa Roland.
Crise du milieu de la vie ou crise de la quarantaine
Après tout, ce fut la religion que l’on m’a imposée dès ma naissance et enseignée par la suite, celle qui a été remise en question de fond en comble, et avec révisions régulières, lors de ma crise du milieu de la vie ou crise de la quarantaine. Religion catholique que je n’ai pas reniée, même si je pousse mon audace pour écrire publiquement mes réflexions personnelles et mes opinions, afin de soulever des débats d’intérêts publics, et ce, même si celles-ci s’avèrent semblables ou tout à fait différentes de celles de Benoit XV1 ou de d’autres personnages de l’Église catholique; que ce soit dans mon patelin à Saint Georges QUÉBEC, au Diocèse de Québec ou de Montréal, et même au Vatican.
Victor écrit un mot à sa fille de 10 ans
Ce n’est pas évident de décrire brièvement un homme comme mon père Victor: honnête, juste, travaillant, doux et autoritaire à la fois, exemplaire pour les siens, habité aussi par le sens du devoir et de la droiture, ainsi que par de profondes valeurs sur la vie familiale, sociale et religieuses. Vic ne s’appartenait plus en se donnant corps et âme, autant envers les siens, qu’auprès de ses amis. Un humble dévouement l’habitait lorsqu’il venait en aide aux étrangers dans le besoin, et ce, autant dans son simple quotidien ou à son travail comme commis aux pièces d’automobiles, ainsi qu’à travers le célèbre mode de vie des 12 étapes.
VICTOR TURCOTTE AU COMBAT
Ça, ce n’est qu’une toute minuscule description de mon père Victor. Parce que Victor est un ancien soldat qui a protégé son pays en plus des siens. Quant à ses mignons défauts, ils étaient nulles autres que le contraire de ses remarquables qualités. Mon père m’a laissé matériellement en héritage, son jeton dans le mode de vie des 12 étapes, une note dans mon carnet de souvenirs, ainsi qu’un texte intitulé: Tenir. Voici premièrement le contenu de sa note amicale écrite de sa main et datée du 5 septembre 1966, alors que mes dix printemps étaient bien terminé.
:" À ma Patricia chérie, Tout au long de ta vie, quoiqu’il t’arrive d’heureux ou de malheureux, tu pourras toujours compter sur celui qui ne t’abandonnera jamais, ton papa Vic". Voici le récit intitulé: Tenir:
TENIR
Quant tout va de mal en pis, et que la mauvaise route vous ralentit. Quant les recettes diminuent et que les dettes augmentent; et que vous voudriez sourire en dépit de la tourmente. Quant on a besoin de vous, faites une pause, mais restez debout.
La vie est bizarre avec ses détours, nous l’apprenons tous un jour. Mais celui qui lâche et revient sur ses pas, aurait pu gagner en se disant: je ne quitte pas. » Ne quittez pas même si vous avancez lentement, vous réussirez en étant persévérant.
Souvent le but est tout près, mais il semble loin à celui qui n’est pas prêt. Souvent quelqu’un a tout abandonné, alors que la coupe de la victoire lui aurait été donné. Et, il apprend trop tard le cœur serré, comme il était près de la couronne dorée.
Le succès est souvent un échec surmonté. Il suit quelquefois une période où l’on a douté. On peut ignoré où l’on est, et penser être loin quand on est près. Mais il faut continuer le combat, quand le finir on préférerait. Car c’est justement quand tout va mal, qu’il faut à tout prix, TENIR.
Auteur inconnu.
Après avoir vu mourir sous mes yeux à l'âge de 17 ans, mon père Vic âgé seulement de 50 ans, je me sentais devenue orpheline de père, jusqu’au jour où, lors de mon premier emploi, un formidable bonhomme au prénom de Léo est venu prendre, au niveau affectif et professionnel, la relève de mon père.
Léonard prend la relève du paternel
Léonard que je surnommais occasionnellement Léo, se trouvait le directeur adjoint du bureau d’assurance où j’occupais mon premier emploi comme secrétaire. Pendant plus d’un an, il m’encourageait à étudier pour obtenir mon permis d’agent d’assurance-vie. Un an plus tard, même si je ne faisais pas partie de l’équipe à Léo, celui-ci continuait à m’aider et à m’encourager à persévérer dans ce domaine.
Dans la vie, il n’y a pas de hasard, mais seulement des coïncidences. Étant enfant et adolescente, papa recevait à la maison, un gros bonhomme surnommé monsieur Rose, qui essayait d’embaucher Vic comme courtier à la Bourse. Pendant des heures complètes sans me fatiguer, j’écoutais attentivement ces intéressants discours d’affaires. Hélas, l’insécurité financière de cette carrière, obligeait mon père à choisir d’abord les intérêts de sa familles.
Léonard m'a protégé comme l'aurait fait mon père Victor
Lors d’un voyage gagné à Cape Code, on me remettait un trophée pour avoir été classée la recrue de l’année de toute la compagnie, après seulement 6 mois de travail. Un anecdote en apparence banal, mais de très grande importance pour une jeune femme de 18 ans et demi. Tous avaient accès à une très belle et grande chambre d’hôtel, à part moi. N’ayant pas eu la chance d’y participer avec mon fiancé, et ce, parce que nous n’étions pas encore mariés, je ne me sentais pas tellement en sécurité dans une minable petite chambre, dans laquelle la serrure de la porte ne se verrouillait même pas.
Possiblement à cause de mon instinct de survie qui pressentait un danger possible, je vais directement en discuter avec Léonard et son épouse. Deux minutes après, tout en prenant le cocktail d’entrée, lors de l’ouverture de la superbe soirée, Léo arrivait déjà avec une solution à mon problème. Je recevais une belle chambre avec une magnifique vue sur le fleuve, comme tous les autres; mais surtout, avec une porte d’entrée ayant une serrure de sécurité. Suite à l’aide audacieuse de mon ami et compagnon de travail, Léo a traversé par la suite, de multiples problèmes et épreuves.
Les regrets du passé
Même si on ne doit pas vivre avec des regrets, si c’était à recommencer, je n’y serais jamais allée sans mon fiancée; histoire d’amour et de sécurité. La morale de cette histoire: Léo me protégeait exactement comme l’aurait fait mon père, dans une pareille situation. Je dis à mon grand ami de là-haut, Léonard:
« Merci pour ce bon geste que j’ai toujours apprécié tu sais, et dont nous avons radoté les détails si souvent, comme disait Michel, ce fiancé resté chez-lui.»
Malheureusement, un deuxième coup du sort en 2003 a conduit à son tour, Léonard vers l’au-delà.
Interpellée par le message de Benoit XVl en tant que citoyenne
En écoutant cet avis de prudence de Benoit XV1, je me suis encore sentie touchée, mais cette fois-ci en tant que citoyenne. De là, quelques réflexions personnelles ont eu lieu, suivies de cette première romance. Et, si j’ai commencé à me référer occasionnellement aux messages de Jean-Paul II, cela a débuté en 2001, alors que l’on m’enlevait pour la troisième fois sur la terre, mon dernier accompagnateur de route et mon Vieux-Sage, soit Roland D’Aigle.
Après Victor et Léonard, mon vieux-sage Roland D’Aigle
Dans les années 1990-91 suite à une coriace épreuve, j’ai eu l’occasion d’assister à une conférence à Sainte-Marie QUÉBEC, de monsieur Roland D’Aigle, qui n’était pas seulement conférencier, naturopathe, homéopathe et chercheur scientifique, mais le seul illustre guérisseur ayant gagné son procès contre le pouvoir médical.
En cours de route, ses nombreux amis (es) l’ont appuyés en se regroupant pour former une association, afin de le soutenir moralement et financièrement, pour l’aider à payer ses frais d’avocats et de procédures judiciaires. Je surnommais affectueusement monsieur Roland D’Aigle, « mon Vieux-Sage ». Hélas, je n’ai pas eu le temps de connaître beaucoup mon accompagnateur de route, puisque le 11 août 2001, se terminait son parcours dans la réalité visible; de la même façon qu’il a vécu, c’est-à-dire, simplement, sans tambour ni trompette. Une soirée souvenir en son hommage a eu lieu le 08 décembre 2001 au Nouveau-Brunswick, pour festoyer son retour dans la réalité invisible. ( Réf: la carte d'invitation. )
Mes nuits d’amour avec André Mathieu / À l’ombre du paradis, avec Denise Lafortune, écrivaine
Sa bien-aimée Denise est toujours demeurée pour moi, une grande amie et écrivaine, même éloignée au Nouveau-Brunswick. Denise m’a envoyé par la poste, la copie brouillon de son premier roman intitulé: Mes nuits d’amour avec André Mathieu / À l’ombre du paradis. Je souhaite à Denise Lafortune de trouver un excellent Éditeur, pour la publication de ce premier volume. Ce super roman à venir sera suivi par le récit de la vie de son grand Amour Roland D'Aigle, appelé par ses nombreux amis (es) « Monsieur le Conte de Brunswick ».
Ce n’est pas surprenant, que le message télévisé de Benoit XV1 se soit rendu jusqu’à mes oreilles du cœur. À suivre: La pollution du cœur et de l'esprit.
Patricia Turcotte © Le 04 juin 2009
Libellés : ROMANCES D'UN JOUR
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