LES ÉCRITURES DE PATRICIA TURCOTTE

Des articles sur des sujets sociaux et vie citoyenne-politique, ainsi que des romances d'intérêts publiques. Bienvenue sur mon blog, Patricia Turcotte

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Lieu : Saint Georges, Québec, Canada

Un Vieux-Sage m'a dit:" Patricia, cherche bien dans le plus profond de ton être, ce que tu aimerais accomplir à compter de ce jour, et ce, autant dans la pauvreté financière, dans la maladie et la solitude, que dans la prospérité, la santé, ou la célébrité." Sans hésiter je lui réponds: Écrire. Ce sage me réfère alors au dicton populaire: Plus tu attends d'avoir l'air d'un ange pour agir et plus tu risques d'avoir l'air bête. Bienvenue sur ce blog ! Patricia Turcotte

mercredi 5 août 2009

LA JUSTICE ADMINISTRATIVE QUI REND FOU ( 4)

Le pouvoir absolu corrompt de façon absolu. "À une politique de lâcheté, il faut substituer le respect du droit et de la justice." (Me Émile Dolas 19-06-1998 ) Les multiples dédales administratives publiques, bureaucratiques et gouvernementales/État sont similaires à une scène d'Astérix et Obélix, dans le vidéo: La Maison de fous: http://www.youtube.com/watch?v=o4xrbJe1RHM Je vous invite à visionner ce vidéo, ce qui serait beaucoup plus simple et sain, que de lire cet article témoignage thérapeutique. Il a bien fallu que je refasse à l’envers, les chemins de la douce folie. Je suis partie à la recherche de mon enfant intérieur. Cet article témoignage est le quatrième d'une série de cinq textes.) Porter plainte contre un professionnel En janvier 1982, assise à la salle d'attente de la physiothérapie de l'hôpital, une brochure attire mon attention. Celle-ci mentionnait aux citoyens du Québec, à ne pas hésiter de porter plainte contre un professionnel. Je ne connaissais absolument pas ce système de plaintes et toutes les démarches semblaient simples et très accessibles. D'autant plus que je venais tout juste de vivre une situation très pénible, avec le Dr Laterreur de l'hôpital. J'étais hospitalisée pour deux semaines, dans le but premier de recevoir mes traitements en physiothérapies, directement à l'hôpital pour m'éviter les trajets en automobile. La seconde raison était que je vivais d'importantes douleurs au dos, suite à un accident d'automobile au travail, et je commençais à ressentir des symptômes d'anxiétés. Il fallait donc éviter une dépression nerveuse. J'ai reçu des remèdes contre la dépression, pendant trois semaines seulement. Je me suis surpris à songer sérieusement à porter plainte contre le Dr Laterreur, qui me suivait lors de cette hospitalisation qui a durée deux semaines. 7 ans de démarches administratives juridiques :"Vous avez coupé le tronc de l'arbre de la liberté, mais pas les racines. Il reviendra encore plus fort." ( Proverbe créole ) La conversation vécue avec lui la veille, me permettait de constater son manque d'humanité et de professionnalisme. Même si le fait de lui avoir porter une plainte non retenue par le syndic du Collège des Médecins, Le Dr Laterreur a provoqué suite à cette plainte, un branle-bas de combat qui m’a entraînée dans une aventure incroyable, "non pas à l'École des Sorciers comme Harry Potter, mais devant le Comité de Discipline du Collège des Médecins du Québec et devant le Tribunal des Professions, pour une durée de 7 ans. Tout cela pour me retrouver avec la facture à payer, en plus de celle de mon avocat. Après avoir payé la somme de 4,000$ à celui-ci, j'ai dû déclarer une faillite personnelle, pour avoir tenter de dénoncer une situation qui m'avait grandement affectée, en me causant un choc émotif. Dans l'intérêt du public, on ne devrait jamais faire payer ses frais aux citoyens qui se retrouvent complètement anéantie à tous les niveaux, y compris financièrement. Ma pensée intime cataloguée rétroactivement et dix ans plus tard, de pensée à caractère paranoïaque, et ce, par un psychiatre prophète, voyant et sorcier. Celui-ci se trouvait en double conflits d'intérêts: Le psychiatre Métivier était en étroit lien de parenté avec un professionnel de la clinique médicale où le Dr Laterreur œuvrait, en plus de l'hôpital. Très ahurit et humilié par ma plainte, celui-ci a convaincu tous les médecins de sa clinique médicale où j'étais suivit par le Dr Sansouci, de m'expulser de la clinique médicale, y compris les membres de ma famille, et ce, pour la raison que j'avais porté plainte. Pour cette raison majeure, le psychiatre Métivier aurait dû se retirer du dossier, en me transférant à un collègue. De plus, ce psychiatre suivait depuis plus de 25 ans, une personne de ma famille. Cette loi professionnelle a aussi été mis sur pied par le Gouvernement. Pourtant, après ces 7 années de démarches qui m'ont entraînée dans un cul de sac infranchissable par la plupart des citoyens du Québec, le Gouvernement aurait dû mettre ses culottes et prendre ses responsabilités envers moi et ma famille.Voici donc cette pensée intime que j'ai eu en lisant la brochure de l'Association d'Économie Familiale de Québec ( l'ACEF ) de Québec, et intitulée: Vous pouvez porter plainte contre un professionnel. - « Qu’est-ce qui va arriver aux personnes âgées, aux gens handicapés et aux personnes malades et démunies, si je ne porte pas plainte contre ce médecin ? » ais-je pensé intimement. Du moins, je croyais bien que personne ne possédait le pouvoir de lire rétroactivement dans mes pensées intimes et secrètes. Dans ma boule de cristal Je ne me méfiais pas que cette noble réflexion du cœur serait cataloguée par le psychiatre Métivier, comme une pensée à caractère paranoïaque, et ce, rétroactivement et dix années plus tard, soit lors de ma troisième rechute en santé mentale. Mon rendez-vous a duré environ 5 minutes. Celui-ci a carrément refusé de m'écouter, après lui avoir dit que je ressentais le besoin de me confier au sujet de ces 7 années devant le Collège des Médecins et le Tribunal des Professions. Je ne pouvais plus parler de ce sujet à qui que ce soit dans mes proches et mon entourage. Il fallait bien que je reçoive l'aide dont j'affirmais avoir grand besoin. Surtout lorsque l'on se retrouve en milieu psychiatrique. Celui-ci ne voulait absolument rien entendre de cette histoire-là. Pourtant, ce psychiatre était bien le seul professionnel à qui je pouvais confier cette saga médiatique d'intérêt public, qui a suivit cette plainte contre le Dr Laterreur. Cette note médicale psychiatrique citée plus haut et plutôt surprenante, se trouve bel et bien citée dans mes dossiers médicaux. Ceux-ci m'ont coûtés plus de cinq cent dollars, pour les recevoir. Ils ont servis à faire une expertise psychiatrique payée par l'Aide juridique, suite à un réouverture de dossier avec la Commission de la santé et de la sécurité au travail ( CSST ), vers le printemps 2000. Encore là, j'ai passé 4 années à me démener comme une madone dans l'eau bénite, pour me retrouver avec rien du tout, sinon que je suis traitée de personne ayant le cancer de la maladie mentale, dans le site internet des jugements du Tribunal CLP. Jeter de la lumière sur des faits ténébreux Par la suite, cela m’a permis d’ajouter davantage de lumières sur cette histoire peu banale, mais surtout, sur la réalité de ma condition de santé. Des rencontres avec des spécialistes et experts ont permis d’établir des diagnostics médicaux qui justifiaient la prise d’importants remèdes pour soulager les insoutenables douleurs physiques que je ressentais depuis cet accident d'auto au travail du 19 octobre 1981. Le temps arrange bien des choses L’histoire de ma hanche gauche, que l’on a diagnostiqué deux semaines avant la chirurgie de remplacement complète de la hanche gauche, a été classée par un expert en ce domaine, comme nébuleuse au dossier médical. Et j’ajoute, le sérieux diagnostic du cancer de la maladie mentale, étalé au public à travers le site internet des jugements rendus par le Tribunal administratif de la Commission des Lésions professionnelles du Québec ( CLP ), pourrait s’avérer aussi très nébuleuse au dossier médical. D’autant plus que celui-ci n’avait rien à voir avec les séquelles d’entorses au dos, compensées par la CSST. On aurait dû protégé ce diagnostic en le rayant de ce jugement administratif, et ce, même si ce diagnostic a été inscrit par un spécialiste qui relatait une page de mon passé. Une seconde expertise médicale psychiatrique, à venir un bon matin. Ça prend des sous pour éclairer ce genre de situations médicales. Mais, je me dis que le temps arrange tout, en autant qu’on puisse lui donner un petit coup de pouce. Je reviens à l’expertise psychiatrique que l’avocat de la partie adverse, a refusé en preuve devant le Comité de Discipline du Collège des médecins et qui n'a pu être déposée devant le Tribunal des Professions: « La patiente étant déjà très vulnérable suite aux douleurs de l’accident d’auto au travail de 1981, on peut donc voir le stress de l’abandon, comme étant un facteur, non pas simplement causal, mais multiplicateur des problèmes pré-existants. Madame fonctionnait difficilement au point de vue psychologique, et par la suite, elle a fonctionné très difficilement. Elle était nerveuse, avait de la difficulté à dormir et s’inquiétait beaucoup de la santé de sa famille. Son appétit a reprit au point de reprendre 20 livres des 40 livres perdues, alors qu’elle avait suivit les conseils du médecin de l’hôpital, soit de perdre 40 livres avant de lui porter une plainte qui a prit 2 ans et demi, en plus de subir une réduction mammaire bilatérale, dans le but de diminuer des douleurs dorsales que l'on n'a même pas évaluées à la CSST. Elle avait une labilité émotionnelle, des conflits familiaux, une grande insécurité et de la difficulté à se concentrer au travail, etc. Madame a donc été affectée par le bris de la relation avec son médecin. Le bris de cette relation a empiré certains problèmes psychologiques qu’elle avait suite à cet accident de travail. Il y a une relation entre les problèmes émotionnels qu’elle a vécus depuis le 04 octobre 1984 et les bris de relation avec son médecin. Selon moi, 50% des problèmes de Madame sont causés par le bris de cette relation avec son médecin. » On appelle cela des démarches transparentes dans le système de la justice administrative du Québec. Le contenu de cette expertise psychiatrique concerne en apparence seulement, ma vie personnelle. Cette expertise fut exigée par mon avocat, avant de me présenter aux audiences du Comité de Discipline du Collège des Médecins, dans le but de démontrer comment j’ai été affectée par un choc émotif, relié directement au sujet principal de cette démarche administrative devant le Collège des Médecins. Dans les luxueuses Auberges de Québec Quatre longues, coûteuses et chiantes audiences à caractères paranoïaques, et ce, durant une journée complète, et qui n’avaient pas lieu dans des salles paroissiales des sous-sol d’églises, mais dans des luxueuses Auberges de Québec, et ce, au coût de 1,000$ par audience à mon avocat, mis à part environ 1,000$ à payer pour les frais du Collège des médecins. Je n'ai pu payer ma facture au Collège des Médecins, puisque j'ai dû faire une faillite financière à cause de cette expérience inoubliable. La dernière audience a eu lieu directement à Montréal au Collège des Médecins, pour donner la réprimande à la partie adverse, c'est-à-dire, pour me donner la réprimande et non au médecin en question. Une citoyenne sévèrement réprimandée par le Président du Comité de Discipline du Collège des Médecins, Harcellement moral ( HM ) et torture psychologique Pourtant, je fus la citoyenne, pas une professionnelle de la santé, qui fut sévèrement réprimandée haut et fort, par le Président du Comité de discipline du Collège des Médecins, et ce, pour avoir utiliser les médias. Quel odieux crime, c'est même surprenant que l'on ne m'est pas mise en prison, pour une période d'au moins pour dix ans. Cela aurait été moins pire que de traverser ces audiences maudites. Il se peut fort bien que ce fut la dernière audience au Comité de discipline à être menée à huit clos, mais je n'ai pu suivre tous ces dossiers du droit professionnel au Québec. Puisque je me suis complètement écroulée dans un profond burn-out, à la fin de mars 1990. Pousssés aux suicides Le labyrinthe des complexes démarches administratives de toutes sortes, y compris les intimidations et le harcellement moral peut conduire des citoyens, jusqu'aux maladies mentales et aux tentatives de suicides. Abus de pouvoir Voilà à quoi cela sert d'utiliser les médias pour ne pas être isoler dans les abus de pouvoir et le harcellement moral. Dommage qu'aucun journaliste ne puisse en obtenir un enregistrement, ne serait-ce que pour constater l'évident abus de pouvoir, que j'ai enduré très courageusement et patiemment, pendant plus de 30 minutes. Ça m'a paru duré plus d'une heure. Ça prend presque 25 ans à s'en remettre. J'ai réellement vécu du harcellement moral ( HM ) et de la torture psychologique. Tout comme la torture physique est interdite par l'ONU dans le monde entier, la torture psychologique et le harcellement moral devraient être reconnus, et très rapidement. On appelle cela la justice administrative J'espère que le Père-Noël répondra à ma demande, soit de me donner tous les équipements utiles sur l'ordinateur, pour scanner tous ces importants documents personnels à caractères d'intérêts publics. Et, je lui ai aussi demandé, un emploi à temps partiel et rémunérateur. Je ne suis pas experte sur le Web et l'internet. Pourtant, je m'étais inscrite à un stage de travail avec le Ministère de l'emploi et de la Solidarité sociale, pour être meilleure. Hélas, j'ai été refusée. Donc, comme tous les hauts placés de cette société démocratique, je ne suis pas à l'abri de faire des erreurs "involontaires", soyez-en assurés. Soyez aussi assurés lecteurs, qu'à la moindre erreur, je m'apercevrais peut-être que je ne suis pas si seule sur mon blog. C'est ça la Vie et c'est rien que ça. Un choc émotif, Des blessures majeures pourtant invisibles pour les autres Ce choc émotif de haute importance dans ma vie, je l’ai vécu comme si j’avais vécue une véritable agression psychologique. Ces blessures ont été confirmées dans l'expertise psychiatrique. Les gens ne voient pas ces blessures invisibles à l'œil nu. Pourtant, celles-ci sont aussi importantes que des blessures physiques qui attirent énormément la sympathie des gens de notre entourage. À part moi et les membres de ma famille qui en ont payés le prix, personne n'a jamais compris ce que je pouvais vivre, suite à ce choc émotif du 04 octobre 1984. J'aborde plus en détails ce sujet, un peu plus loin. Ce choc émotif concernait le sujet prioritaire du débat amorcé, à travers les démarches administratives du Comité de Discipline du Collège des médecins du Québec. Ces dédales administratives extrêmement longues, coûteuses, chiantes et à caractères paranoïaques, conduisaient à des jugements administratifs aux conséquences très importantes. Pour cette raison majeure, on aurait jamais dû refuser en preuve, la seule expertise psychiatrique passée en 1986, à la demande de mon procureur. Une Responsable travaillant au Collège des Médecins du Québec, m'a téléphonée pour m'aviser de ne jamais me rendre au Comité de discipline, sans être accompagnée d'un avocat. Protecteur du Citoyen Par chance, lors d’une réunion devant l’équipe du Protecteur du Citoyen et en compagnie des personnes membres des Associations de Consommateurs du Québec, on m’a affirmé qu’un livre sera écrit et publié sur toute cette affaire d’intérêt public. Néanmoins, ce livre ne pourra jamais être complet, sans que je romance les huit pénibles années qui, en plus de ma faillite financière personnelle, m’ont conduit dans les tristes sentiers de l’asile psychiatrique. Comment me suis-je sortie de cet enfer ? Je suis la seule à pouvoir me raconter à travers un roman réalité à venir, mais avec l’accompagnement d’un écrivain journaliste. Au moins, mon implication en tant que citoyenne a aussi permis de conduire les Associations de Consommateurs du Québec et le Protecteur du Citoyen, à une étape importante de la réforme du droit professionnel au Québec. Robert Bourrassa, Claude Ryan, Raymond Savoie, Daniel Jacoby et Cie Au Protecteur du Citoyen, on a travaillé pendant de nombreuses années, pour que j’obtienne du Gouvernement Libéral de Robert Bourassa à l’époque, et sous le Ministre Claude Ryan, une compensation financière et une reconnaissance publique. L'avocate du Protecteur du Citoyen me téléphonait régulièrement, pour suivre le déroulement de ma vie. Par exemple, elle me demandait le montant de mes revenus et la provenance, comment je me portais et les miens, etc. Parfois, je me sentais intimidée de lui partager mon vécu, par exemple, que la faillite financière m'a énormément affectée, que le divorce a eu lieu ou que je venais de passer sept jours à l'asile psychiatrique, que je me remettais d'une tentative de suicide, etc. Néanmoins, je me sentais moins isolée dans la souffrance, alors que parfois je m'interrogeais sur l'importance de ces appels téléphoniques. Il n'y a pas plus grande blessure psychologique pour moi, que de discuter de mes expériences humaines et délicates, c'est-à-dire, de confier par le biais du téléphone, la suite de ma déchéance aux enfers, c'est-à-dire, l'histoire de mes tripes à vivre avant qu'elle devienne d'intérêt public. Nous nous sommes aussi rencontrées pendant plus de 3 heures, dans un Restaurant de ma région. Le Gouvernement a refusé complètement les recommandations du Protecteur du Citoyen. De toute façon, je ne me demande plus qu'est-ce que le Gouvernement et l'État peut faire pour moi, mais qu'est-ce que je peux faire pour le Gouvernement et l'État ? Une lettre de reconnaissance...pas publique mais privée Une rencontre a eu lieu directement au Parlement de Québec, avec le Ministre des lois professionnelles de l’époque, soit Monsieur Raymond Savoie. On m’a assuré qu’une Commission parlementaire privée avait eu lieu à l'Assemblée Nationale, au sujet de la réforme du droit professionnel au Québec. Possiblement qu'il faut attendre 25 ans pour en connaître le contenu. Un prix de consolation m'a tout de même été remis, c'est-à-dire, une lettre de reconnaissance reçue en mars 1990, du Protecteur du Citoyen de l'époque, soit Monsieur Daniel Jacoby. Celle-ci est publiée au bas de cet article. Les victimes d’erreurs administratives sont plus dérangeantes 6 pieds sur terre, que les victimes d’erreurs administratives enterrées 6 pieds sous terre. On rend public ce qui fait bien l’affaire des gros du pouvoir, et on cache ce qui permettrait souvent de démontrer les véritables preuves. Où est la véritable protection du public, dans de telles dédales administratives qui empoisonnent carrément la vie des citoyens ordinaires. Se servir des médias peut coûter très cher aux citoyens du Québec En plus d'avoir été réprimandée par le Président du Comité de Discipline, j'ai eu comme sentence de payer la moitié des frais, et ce, pour avoir utiliser les médias. De toute façon, les deux parties ont demandées un appel au Tribunal des Professions. À part cette sentence maudite, le jugement rendu par le Comité de discipline représente assez bien ma réalité médicale. Néanmoins, ce jugement fut rejetée du revers de la main, au Tribunal des Professions, en me donnant la facture totale à payer. Des chemins pacifiques et révolutionnaires Heureusement, la colère qui n'habitait est disparue de mon cœur. Toute ma vie et jusqu'à mon dernier souffle de vie, je témoignerai de ces évènements; de toutes les façons possibles mises à ma disposition. Ce sont des injustices incroyables qui conduisent des êtres humains à toutes sortes de drames personnels et sociaux. Trop d'injustices sociales conduisent directement le peuple, à la révolte, au découragement, en prison et au suicide. Par contre, si les citoyens se tournent vers la révolte publique, révoltes publiques, l'armée est bien équipée pour y mettre un terme; fort heureusement. D’autant plus que très bientôt, des lois vont enlever légalement le port des armes à feu, à toute la population du Québec et du Canada. Je n’ai absolument forme de désapprobation de cette loi, mais les chemins pacifiques conduisent souvent les peuples, dans des chemins de pauvretés, de misères et d’injustices de toutes sortes. Quelle démocratie ! Membres du Comité de discipline du Collège des Médecins Les membres de l'époque, du Comité de discipline de la Corporation professionnelles des médecins du Québec, au 17 novembre 1987 et nos: 24-86-00203: Me et Président Gaston Savard, Dr Michelle Lussier-Montplaisir et Dr Yves Dagenais. J'espère que ces renseignements vous permettront de suivre ce dossier, même si celui-ci est bel et bien terminé. Ce genre d'histoire personnelle est aussi une histoire d'intérêts publics. Le but n'étant pas de citer les noms des personnages impliqués, mais de rétablir très brièvement quelques faits. Audiences du passé devraient être tous rendues publiques À vrai dire, tous les professionnels de toutes ordres professionnels vivent sûrement eux-aussi, un calvaire de passer devant les Comités de discipline, et ce, même s'ils sont protégés et assurés aux as. Si au moins, ils parviennent à poursuivre leur travail et à conserver une bonne santé, c'est déjà ça de mieux. Il n'y a aucune humanité dans le système disciplinaire professionnel, mais absolument aucune; du moins pour moi qui a vécu ces expériences-là. Je sympathise énormément avec toutes les personnes qui ont vécues sûrement l'enfer, lors de ces audiences au Comité de Discipline du Collège des Médecins. Peut-être aussi ont-ils été plus chanceux que moi. Toutes les audiences du passé, devraient être connues du public. Ayant passé, suite à ces évènements qui se sont terminés en 1990, plus de 9 ans dans les corridors des urgences pour malaises physiques non diagnostiqués avant 2001, et pris aussi les sentiers de l'asile psychiatrique à plusieurs reprises, je n'ai pu suivre au complet le déroulement des évènements au sujet de la réforme des lois professionnelles du Québec. Je crois que les audiences au Comité de Discipline sont maintenant rendues publiques, et non plus à huit-clos comme le furent les miennes. Quatre audiences à 1,000$ chacune, vécue dans de luxueuses Auberges de Qubéec. C'est incroyable tout l'argent dépensé inutilement par ces Institutions démocratiques, alors que l'on pourrait bien vivre ces audiences, dans des salles paroissiales des régions ou des villes des personnes qui osent porter plainte. Jugement du Tribunal des Professions Même le Tribunal des Professions mentionne comme un reproche, le fait d'avoir utilisé les médias. C'est curieux pareil ! Sommes-nous réellement dans un pays aussi démocratique qu'on le laisse croire ? J'ai reçu du Tribunal des Professions, la facture totale à payer. Ce qui a conduit inévitablement à ma faillite financière personnelle, en mars 1990. Membres du Tribunal des Professions Les membres du Tribunal des Professions dans le jugement en date du 20 février 1990 et nos: 350-07-000002-885 et 350-07-000001-887: Juge Jacques Biron, Juge André Quesnel et Juge Bertrand Gagnon. Questionnement citoyen Je me suis toujours questionnée à savoir s'il n'y avait pas eu des interventions politiques" et de la corruption, pour conduire à un tel jugement qui a rejetée du revers de la main, toutes mes preuves écrites noir sur blanc, et en prenant les paroles de la partie adverse et de ses témoins. Heureusement, j’ai réussit à payer à mon avocat, la somme de 4,000$ pour les 4 audiences. Il y a eu des choses bien plus prioritaires que de gagner ou perdre. Mon intention n'est absolument pas de reprendre les procédures administratives, mais de rétablir brièvement certains faits, ainsi que pour remettre quelques points sur les « i ». Pour les barres sur les « t », on repassera dans la semaine des quatres jeudis. ni même de les commenter. Par contre, de les publier en entier lorsque je serai munie d'un scanneur, ça ce serait d'intérêt public. À la croisée des chemins Tel que citer dans l’article précédent, lorsque j'ai tenté de confier cette saga médiatique au psychiatre Métiver, je n'ai pu en discuter plus de deux secondes. Possiblement que mes limites humaines rencontraient ses limites humaines et professionnelles. Claire Lamarche, conférencière et communicatrice Heureusement que la conférence de Claire Lamarche au Georsgeville de Saint Georges (Québec) et à l'automne 2009, a dit que les citoyens ont le privilège de porter plainte, et ce, même dans le système médical, en ajoutant que ce n'est pas évident de faire bouger ces énormes bureaucraties publiques. Je reviens à cette plainte soulevée par le Tribunal des Professions et qui n'avait rien à voir dans cet appel de la décision du Comité de Discipline du Collège des Médecins. Tout de branle combat a eu lieu, parce que j’ai rapporté au syndic du Collège des Médecins, avoir reçu en milieu hospitalier, deux injections intramusculaires d'un puissant calmant, alors que j’étais convaincue être allergique à la première. Ce n’est qu’à l’automne 1985 après une demi-journée de travail, que je me suis rendue en toute vitesse et accompagnée, à l'urgence du même Centre Hospitalier. Les dents me claquaient comme un squelette qui passe la fête de l'halloween, des rougeurs feux au visage et aux bras, des battements extrêmement rapides du cœur et beaucoup de difficultés à respirer. J'ai vraiment eu peur de mourir. Heureusement, on m'a donné un remède puissant contre l'allergie de cette troisième injection intramusculaire de "Talwin," Le médecin de garde à l'hôpital ne pouvait savoir que j'étais réellement allergique au Talwin. Dans le rapport médical final de mon hospitalisation de janvier 1982, le médecin à qui j'avais porté une plainte à ce sujet, avait plutôt jugé nécessaire d'inscrire que je me plaignais de douleurs au dos, dans le but d’être payer par la CSST. Les présumés victimes d’erreurs administratives, bureaucratiques, judiciaires et médicales, sont plus dérangeantes 6 pieds sur terre, que les victimes d’erreurs administratives, bureaucratiques, judiciaires et médicales, enterrées 6 pieds sous terre. Dans les semaines qui ont suivit cette 3ième injection de Talwin, je me suis rendue lire mon dossier médical de l'hôpital. En effet, on m'avait bel et bien donné 2 injections intramusculaires de Talwin, en n'écrivant pas dans le rapport final, cette mention d'allergie très sérieuse. Le syndic du Collège des Médecins m'avait invité à lui envoyer toutes notes ou faits relatifs à cette plainte. Toutes les pièces médicales furent donc postées au syndic du Collège des Médecins. Question Devinez quelle pièce de mon dossier médical, a été enlevée, et ce, parce que la loi est ainsi crée ? Réponse Les deux semaines complètes de mon hospitalisation de janvier 1982, qui a fait l'objet principal de la plainte contre le médecin de l'hôpital, soit le Dr Laterreur, et des injections de Talwin, dont je mentionne un peu plus loin. Heureusement que dans l'expertise psychiatrique dont je parle plus haut, le psychiatre expert a noté le principal, lui ayant apportée mon dossier médical de cette hospitalisation. Sinon, je ne pourrais pas l'écrire, vu que ne ne posséderais plus aucune preuve de cette hospitalisation. Les lois permettent après 5 ans, d'enlever les dossiers médicaux On appelle cela: des points de lois, des articles aux lois, des points de droits et de jurisprudence......pour protéger le public et faciliter la vie de la population ? J'en doute fort. Si je devais vous donnez un seul conseil amical, se serait de toujours faire sortir vos dossiers médicaux, si vous ne voulez pas vous retrouver dans des situations délicates. Comment peut-on aboutir à des expertises, si les principales pièces de nos dossier médicaux sont enlevés, pour raisons légales ? Dans la filière 13 du Collège des Médecins Vu que je ne possède aucun diplôme dans le domaine de la santé, du droit et de la justice, il faut croire que recevoir autant d'injections de Talwin, n'est pas si important que je le croyais. Je comprends mieux aujourd'hui, pourquoi cette plainte fut classée neutre, c'est-à-dire, que ni moi et ni l'autre partie n'a eu raison ni tort. Et que cette plainte fut classée dans la filière 13 du Collège des Médecins. Attrapes-nigauds Suite aux représailles sérieuses subies du colérique et vengeur Dr Laterreur, suite à cette dénonciation que je considérais de très grande importance, je me suis retrouvée prise dans les pièges d'attrapes-nigauds majeurs d'intérêts publics, à travers tant de dédales administratives du Collège des Médecins, et suivies du Tribunal des Professions, pour une durée de 7 années, et ce, malgré ma demande de désistement. Le passé c'est le passé et je ne regrette rien, comme cite la chanson de Édith Piaf. Mais qu'est-ce que cela a donné à la population, j'ai bien hâte de le découvrir. Mais là, c'est comme si je me sors d'un semi-coma de tous ces évènements qui m'ont conduits très loin, là où je ne souhaite même pas au Dr Laterreur, d'y aller. Condamnée publiquement au cancer de la maladie mentale J’ai assumé toute mes responsabilités face à cette incroyable aventure d’intérêt public, qui m’a conduite dans les tristes sentiers de la maladie mentale, pendant plus de 8 ans. Depuis plus de 10 ans, je ne suis plus suivit pour la maladie mentale, en plus de ne plus consommer aucun remède pour la maladie mentale, et j'ajoute "pour aujourd'hui seulement". Pacifiquement, j’ai jeté de la lumière sur tous ces évènements passés d’intérêts publics. Lorsqu'une citoyenne est cataloguée du cancer de la maladie mentale dans un site internet d'un Tribunal administratif du Québec, c'est dans l'internet que tout se dévoile. Si le chapeau te fait, mets-le Ayant souvent partagé que je me suis rendue jusqu'à une tentative de suicide, au printemps 1993, qui fera l'objet principal de ce livre romancé à venir bientôt. Ainsi, je suis en mesure aujourd’hui de redonner aux parties concernées, la lourde part des responsabilités qui ne me revenaient pas tout à fait complètement. Vous lisez cet article qui fait aussi partie de mon mode de vie des 12 étapes. Alors, si le chapeau vous fait, mettez-le. Le Tribunal CLP Comme si tout cela ne suffisait pas, dans le jugement du Tribunal de la Commission des Lésions professionnelles (CLP), en date du 23 aout 2002, je suis condamnée publiquement dans ce site internet, à porter publiquement, le pire diagnostic du cancer de la maladie mentale. À mon avis de citoyenne ordinaire qui ne possède pas de diplômes en droit, je crois que l’on aurait dû prendre soin de rayer ce diagnostic de lourdes conséquences. Celui-ci n’a absolument rien à voir avec les séquelles d'entorses au dos, compensées par la CSST en 1982. Les présumés victimes d’erreurs administratives et médicales ne possèdent que très rarement, les moyens et la force, d’entreprendre des démarches judiciaires administratives ou civiles. Leurs chances de gagner se trouvent bien minces et peu probable, lorsque dans les derniers jugements administratifs perdus, on ne retient pas les principales preuves médicales. Lorsqu'un citoyen est traité publiquement dans un site internet d'un jugement du Tribunal administratif CLP, il devient prioritaire de publier la seule expertise psychiatrique au dossier. Que je sois ou que je sois pas atteinte du pire cancer de la maladie mentale, il est important de respecter la vie privée médicale des êtres humains. Membres de cette Commission CLP Devant le Commissaire Me Claude Lavigne et assisté des membres: Jean-Guy Guay des Associations d'employeurs, Réal Binet Associations syndicales et l'assesseur Dr Jean Tremblay. Audience tenue le 23 août 2002 à Lévis. Je note que ces personnes furent très humaines et professionnelles, lors de ma comparution devant ce Tribunal administratif, tout comme le contenu du jugement est assez représentatif de la réalité. Quoique pour venir à bout de la CSST, ça me prendrait au moins trois vies de plus. Références Finalement, ce ne sera pas trop dispendieux pour faire scanner des documents, puisque je cite dans ce texte témoignage, tous les numéros de jugements qui sont à la portée de ma main. Dans le site internet des jugements de la Commission des lésions professionnelles du Québec (CLP), en date du 23 août 2002 et dans les nos: 185512-03B-0206 du dossier CSST no: 077666121, on a sûrement fait l'erreur d'oublier d'enlever le diagnostic du cancer de la maladie mentale, ou encore, de préserver mon identité complète. C'est pour cela que j'ai écrit une lettre à la Commission d'accès à l'information, à travers les articles que vous lirez plus bas. Pour l'instant, je n'ai reçu encore aucune réponse ni accusé de réception à cette demande. Le système "D" Finalement, cette démarche fut menée absolument pour rien du tout. La CSST a toujours refusé la recommandation du Tribunal, de défrayer des soins de physiothérapies, etc. Le Tribunal CLP n'avait aucun pouvoir, que celui de faire cette recommandation, que la CSST n'est pas obligée de suivre. Plutôt que d'avoir des chaussures orthopédiques prescrites depuis plusieurs années, je me contente de me rendre au Dollarama du coin, pour me procurer des remontants à chaussures à 1$, que je renouvelle à chaque mois. Les remèdes contre la douleur chronique au dos, parviennent à remplacer les soins de physiothérapie ou autres soins conservateurs et palliatifs recommandés par le Tribunal CLP. Le système "D" est souvent utilisée par les Ti-Counes de ce monde. Caisse de Dépôt et de placement du Québec Compte tenu des 40 milliards en moins à la Caisse de Dépôt et de Placement du Québec, il ne reste sûrement plus beaucoup de sous à la CSST. Je suis bien heureuse en ce jour, de ne plus avoir affaire à la CSST et à tous ces Tribunaux administratifs, où des milliers de citoyens rencontrent le découragement et les adversités; quand ce n’est pas les chemins du suicide. La paix bénite...Amen. Tribunal administratif du Québec ( TAQ ) Section des affaires sociales en matière d'indemnisation. En date du 03 et certifié le 04 août 2004, Dossiers: SAS-Q-096813-0304 / SAS-Q-099039-0306 Membres du Tribunal: Me Yves Bergeron et Dr Isabelle Towner. Dossier avec la CSST nos: R07766612100002 et R07766612100003 Les deux personnes juges de ce Tribunal, furent aussi très sympathiques, humaines et professionnelles. Un paragraphe de lois et de droit qui finalement mentionne, si je résume tout ce jardon judique en mes mots ordinaires: Le Tribunal n’a pas le pouvoir de se prononcer sur l’assistance médicale….etc. Trop compliqué pour le commun des mortels. Je ne suis pas certaine, mais je crois que ce jugement ou rapport final n’a pas été publié, vu qu’il n’y a en réalité pas eu d’audience finale légale. Je m’y suis présentée après avoir déposer mes documents pendant un an, mais pour absolument rien du tout. Audience bidon En 2003, mon agent de la CSST avait écrit une lettre en disant que sa décision était sans appel de révision et finale. Néanmoins, une avocate au Protecteur du Citoyen m'avait suggéré fortement de réserver mes droits devant le Tribunal administratif de Québec. Par la suite, celle-ci s'est excusée car elle s'était carrément trompée., m'a t-elle dit par le biais du téléphone. Si j'avais su de quelle erreur elle parlait, j'aurais pu retirer cette cause devant le Tribunal TAQ. Cette affaire ne relevait pas de ce Tribunal, vu une jurisprudence. Possiblement que tous savaient que cette audience était bidon, lorsque je m'y suis présentée seule en compagnie des juges, et ce, sans la CSST. Abus de pouvoir J'ai tout de même rapporté à un haut dirigeant à la CSST, et ce, par le biais du téléphone, que cet agent m'a dit au téléphone: "Est-ce que ton médecin te prescrit des chaussures orthopédiques, parce que tu as mal à la tête?" On m’a informé par le biais du téléphone, que cet agent venait de prendre sa retraite, suite à un burn-out. Tous ces nombreux appels téléphoniques m'épuisaient au plus haut point, et cet agent en profitait largement. Plusieurs agents du Gouvernement et de l'État abusent de leurs pouvoirs. Ensuite, il n'y a aucune preuve pour démontrer ces allégations d’abus flagrants. Je ne suis sûrement pas la seule à dénoncer ces procédures abusives faites par le biais du téléphone. Pour se débarrasser de toi, ils nous disent de porter une plainte. Personne ensuite ne tient compte de tous les emmerdes administratifs dans lesquels on risque de s’embarquer tête première, et tout ça pour la parole de l’un contre la parole de l’autre. Le ridicule ne tue pas, mais il hypothèque souvent la vie des gens bien ordinaires. J'ai pris tout de même, toute la responsabilité de ma vie, mais je redonne aux autres, la part énorme qui ne me revenait pas tout à fait entièrement. Un second accident de travail Comme si l’accident d’automobile au travail de 1981 n’était pas amplement suffisant, voilà qu’un second accident d’automobile, survient à la fin d’une bonne journée de travail. Quel dommage, puisque je tentais désespérément de donner un dernier coup de cœur, pour ne pas perdre ou quitter le monde du travail. J’étais complètement épuisée physiquement et psychologiquement. Je refusais de croupir dans les rangs des assistés sociaux et des personnes invalides à la Régie des Rentes. Vu que je devais parcourir une bonne heure de route, avant d’arriver à mon domicile, j’ai jugé bon de faire un arrêt au Restaurant. Tout en me reposant de ces huit heures de travail, autant mêler le plaisir en sirotant un bon café, avant de terminer mon trajet en voiture. Épuisement total physique et mental ou pédale à gaz collée ? Hélas, j’ignore précisément ce qui s’est produit à l’instant même où je m’approchais de chez-moi. Peut-être que cette journée de travail fut trop longue pour mes forces déjà anéanties depuis le premier accident de travail de 1981 ? Possiblement aussi que, comme une nette impression que ma pédale à gaz s'était emballée ou je ne sais trop quoi, ne possédant aucune expérience dans la mécanique automobile. Les détails précis sont pour moi, encore très fous et imprécis. Une chose est certaine, c’est que mes réflexes m’ont permis de bifurquer vers le stationnement du Centre d’achat, plutôt que de me retrouver dans les eaux froides de la Rivière Chaudière. Un choc nerveux et des douleurs atroces aux jambes Durant cet accident, j’ai vécu un choc nerveux important. Mon automobile fut mise au rancart, puisque les 4 roues étaient enfoncées dans le dessous de l’auto. Exactement comme mes jambes qui me faisaient terriblement mal, comme si elles étaient enfoncées dans mon bassin. J’avais si mal et l’automobile que j’avais achetée neuve et à mon goût, fut remisée au cimetières des voitures décédées. Le policier arrive sur les lieux et me transfère aussitôt à l’hôpital. Malheureusement, on m’a transférée dans le département de la psychiatrie, étant donné que je criais comme une madone dans l’eau bénite, pour que l’on soulage ces douleurs aux jambes. On ne me croyait pas, puisque aucune radiographie aux jambes ou au bassin ne fut passée. Question Est-ce qu'un citoyen qui a fait une profonde dépression ou touché par une maladie mentale, peut aussi faire un choc nerveux, mais surtout, est-ce qu'il peut aussi avoir le bassin fracturé, les hanches brisées, ou bien, le second diagnostic affiché par le Tribunal CLP, dans le jugement internet de ce Tribunal, c'est-à-dire, une neuropathie axiale des deux nerfs sciatiques ? À venir d'autres détails....! Voir paragraphe un peu plus bas. Les préjugés envers ces citoyens, ne viennent pas seulement de la population. À suivre....! De plus, aucun rapport ne fut envoyé aux accidents du travail ou à l’assurance automobile. Mais cela, je ne l'ai découvert qu'en l'an 2000 et par un agent de la CSST, au téléphone. À suivre..... Des souvenirs remontent à ma mémoire Je n’ai découvert seulement vers l’année 2000, qu’il n’y a eu aucun rapport de fait par les professionnels de la santé, ni à la SAAQ ni à la CSST. C’est lors de mon ouverture de mon ancien dossier de la CSST, qu’un agent qui avait reçu mes dossiers médicaux en parties seulement, me dit que je n’ai pas déclarée cet accident de voiture au travail. Recherches Quelques semaines plus tard et après quelques recherches au poste de police, je vois remonté à la surface de ma mémoire, et ce, en lisant le rapport de police, la réalité de ces faits bien loin pour moi. Je citerai l’histoire en détails, dans le livre que je suis à tenter de terminer. Parce qu’elle n’est pas banale du tout, cette histoire-là. Pour plusieurs raisons, dont je vous en partage brièvement seulement une à travers ce témoignage. Dans le jugement du Tribunal CLP, l’avocate de la CSST avait réservée le droit d’ajouter un point ou un fait. C’est pour cela qu’au tout début du jugement, on ajoute ceci: « Au moins d’avril 1993, elle tente de mettre fin à ses jours, en absorbant une forte quantité de médicaments. À cette occasion, elle tombe dans la baignoire et y demeurant pendant une période approximative de 48 heures. Par la suite, elle présente une atteinte au plexus brachial gauche par compression et une neuropathie axiale des deux nerfs sciatiques. » Détails à venir bientôt......! Ça mentionne tout de même une partie captivante de mon livre, quoique vu que ce jugement est publié sur l’internet, j’ai trouvé cela assez déplaisant merci…et pire encore. Au premier abord, les apparences semblent donner ce diagnostic de neuropathie…., à cause de ma tentative de suicide. Ce que la partie adverse a bien essayé de démontrer, malgré ma défense moins connaissante et experte que la CSST, vu que je suis une simple citoyenne. Après ma tentative de suicide, après le premier et le second accident d’auto au travail, on ne m’a jamais passé aucune radiographie du bassin, des hanches et des jambes. D’ailleurs, après ma tentative de suicide, j’ai reçu neuf mois de physiothérapie, pour retrouver l’usage de mon bras gauche. Et, si on m’a transférée d’urgence à un hôpital de Québec, c’est parce que l’on a découvert au bout de trois semaines d’hospitalisation, un abcès pulmonaire causé suite à ce geste de désespoir. Donc, ce second diagnostic cité dans le paragraphe plus haut, provient d’où ? De mon premier accident d’automobile en 1981, de ce second accident de travail de 1992 ou de ma tentative de suicide ? L’aide juridique L’aide juridique ne paye qu’une seule expertise. Je n’ai pu en passer une seconde qui aurait coûtée près de 1,000$. C’est pour cela que je me suis présentée seule au Tribunal CLP, et avec cette seule expertise qui représente tout de même, un très bon bout de chemin, même si la CSST n’a jamais voulu suivre les recommandations de ce jugement du Tribunal. Pour gagner ses batailles avec ces grosses machines administratives, ça prends aux citoyens ordinaires, bien plus que l’aide juridique, mais des dizaines d’années de batailles devant les Tribunaux administratifs, ainsi que des milliers et des milliers de dollars pour payer plusieurs expertises et contre-expertises Bureau d’expertises médicales ( BEM ) Il existe un bureau d’expertises médicales mis à la disposition de qui, et à quoi cela sert-il, et comment peuvent se payer une deuxième ou une contre-expertises, les gens vivant au seuil de la pauvreté économique ? Je vous invite à visiter le site qui explique ces histoires-là, auxquelles je vous assure qu’une personne comme moi, n’a jamais eu accès à travers les Tribunaux administratifs empruntés. Seuls ceux qui ont pris ces sentiers, pourraient en témoigner véritablement et dans l’intérêt de la population. Si cela vous intéresse, faites des recherches sur les sites Web des citoyens plus expérimentés que je le suis en ce domaine. En attendant, vous pouvez aussi cliquer sur BEM. Je n'ai jamais eu à me payer ce genres d'expertises, non disponibles aux citoyens vivant au seuil de la pauvreté, car ceux-ci ont accès qu'à une seule expertise payée par les contribuables. Pourquoi tant d'expertises et de contre-expertises qui sont payées par le peuple ? À suivre.....! Les puissants de la bureaucratie administrative Il faut vraiment être super puissant légalement et financièrement, pour entreprendre de multiples expertises et contre-expertises médicales, pour contester une décision, par exemple, de la CSST ou du Tribunal CLP, etc. Je laisse ces choses trop dispendieuses pour les citoyens vivant de l’assistance-sociale, aux citoyens beaucoup plus aisés financièrement et aptes à se payer les plus grands cabinets d’avocats du Québec, comme aux professionnels et aux Corporations Professionnelles qui y ont accès, comme le Collège du Médecin. Les Ti-Counes de la population Mais lorsqu’il s’agit des citoyens qui ont accès à l’aide juridique ou qui décident de se défendent seuls, ceux-ci se retrouvent bien démunis financièrement et légalement, devant les puissants géants de la bureaucratie administrative de la société. L’aide juridique paye une seule expertise médicale, à mon humble avis de citoyenne; d’autant plus que je l’ai vécue personnellement, suite à une décision de la CSST, alors que je me suis rendue en Ti-Coune de la population, devant le Tribunal CLP. J’aurais bien apprécié à cette période-là de ma vie, recevoir la prescription médicale de chaussures orthopédiques et de soins de physiothérapie de la CSST. Malgré le jugement rendu par le Tribunal CLP, qui recommandait à la CSST de défrayer ces….etc. Tout a été refusé. Le prix de la Liberté et la véritable démocratie Un petit point de droit par çi, un gros point de loi par là, et tiens donc, une jurisprudence par là-bas, et cetera, et cetera. Finalement, je me suis ouverte ma propre clinique privée de physiothérapie naturelle à mon domicile, en me massant moi-même là où j’ai mal, en allant marcher à l’extérieur, en conservant le moral, etc. De plus, je me procure au Dollarama, mes remontants à chaussures. Néanmoins, la médication pour soulager les douleurs a toujours été en augmentant. Vaut encore mieux mourir en santé et debout, que de passer sa vie à se battre avec la CSST ou autres Institutions administratives. C’est le prix de la liberté. La véritable démocratie règne lorsque le système de justice prend en considération, les droits humains, les forces, les égalités et la transparence dans les luttes administratives et juridiques, ainsi que la charité humaine, et la vraie justice; au-delà de ces millions et milliards de points de lois et de droits légaux. Abus de pouvoir Pour revenir à cet agent de la CSST qui a fait un burn-out et qui est partit pour la retraite, après m’avoir insultée et harcelée par le biais du téléphone, je désirais mentionner que tous ces nombreux appels téléphoniques m'épuisaient au plus haut point, et cet agent en profitait largement, comme tous les agents du Gouvernement et de l'État, qui abusent souvent de leurs pouvoirs, par le biais du téléphone. Ensuite, il n'y a aucune preuve pour démontrer des abus flagrants. Je ne suis sûrement pas la seule à dénoncer ces procédures abusives faites par le biais du téléphone. Le suicide une priorité nationale Ensuite, on se demande pourquoi des gens sans aucun moyens de se faire entendent et de se défendent, se révoltent au point de retourner ces injustices, en des drames personnels ou publics. Pire encore, plus d’une personne se décourage au point de se rendre jusqu'à la tentative de suicide. C'est pour cela que les témoignages des expériences de toutes les personnes survivantes du suicide, deviennent des faits d'intérêts publics, et non seulement des évènements personnels; comme on le laisse croire dans la plupart des cas. Hélas, ils ne dérangent plus personne, ces malheureux citoyens enterrés 6 pieds sous terre, avec leurs lourds secrets personnels, familiaux, professionnels, administratifs et médicaux. La conscience individuelle et collective Sur la terre, on a l'impression que la justice ne se fait pas souvent, et cela est bel et bien vrai. Par contre, la plus grande justice ne se fait pas toujours publiquement, puisque celle-ci se vit dans la conscience individuelle et collective des êtres humains. Que d'injustices sociales en ce bas-monde! Fort heureusement, il y a plusieurs personnes qui se battent quotidiennement, pour obtenir et rechercher sans cesse, la lumière, la vérité et la justice. Il y a des priorités plus importantes que ces luttes de pouvoir, surtout lorsqu'on voit ce qui vient de se passer en Haïti. La société est aussi faible que le plus faible de son maillon, ne l'oublions surtout jamais. Réforme du système de justice administrative et Commission d'enquête à la CSST, et ailleurs aussi Le respect des droits humains, la charité humaine et la justice devraient faire parties de toutes les lois et de tous les points de droits, de notre système de justice Québécois, y compris la justice administrative, et ce, comme de toutes justices dans le monde entier, qui devrait être simplifié, humanisé et réformer de A à Z et de Z à A. Patricia Turcotte © Le 17 janvier 2010 P.S. Lettre du Protecteur du Citoyen en 1990, de Monsieur Daniel Jacoby. No Réf: 90-10388 " Madame, veuillez trouver ci-joint un nouvel exemplaire du mémoire que le Protecteur du Citoyen présentait en janvier 1992, au Ministre responsable de l’application des lois professionnelles, en vue de réformer le mécanisme disciplinaire prévu au Code des Professions. Le Protecteur du Citoyen y proposait en effet, un ensemble de moyens pour accroître la crédibilité, l’accessibilité et l’efficacité de ce système et pour permettre à l’Office des Professions de mieux remplir sa mission de surveillance des corporations professionnelles à cet égard. Cette intervention marquait l’aboutissement d’une recherche d’envergure que vous avez inspirée en alertant le Protecteur du Citoyen, au différend qui vous opposait depuis plusieurs années à la Corporation Professionnelle des médecins du Québec et à l’Office des Professions. L’énergie et la persévérance avec lesquelles vous avez cherché à défendre vos droits et à faire corriger les lacunes des mécanismes disciplinaires, auront ainsi marqué, et ce, de manière significative, cette étape de développement du droit professionnel au Québec. Soyez-en à nouveau remerciée. Je profite de l’occasion pour inclure aussi un autre mémoire diffusé en 1993, où le Protecteur du Citoyen exprimait son point de vue sur le projet de Loi modifiant le Code des professions et d’autres lois professionnelles qui fut présenté à l’Assemblée Nationale, peu après la diffusion du premier rapport. Veuillez accepter, Madame Patricia Turcotte ( Bisson, mon nom de femme mariée à l'époque ), mes plus sincères salutations." FIN À suivre: La justice administrative qui rend fou (5) Patricia Turcotte © Le 17 janvier 2010

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16 commentaires:

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